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    ...............................

    ...........
    Désolé,
    les charognards des mots, adéptes du plagiat, m'ont poussé à retirer mes textes.

    .......................
    Dernière modification par Zacmako, 17 décembre 2011, 11h08.
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    J'aime la violence quant elle peinte avec les couleur de la douceur, un texte trés fort et tout en maitrise, ta plume fut la continuation de ton âme sur ce coup,

    Je dit bravo

    Resta un moment,
    Souffla autour d’elle
    Une haleine nouvelle
    Parfum de diamant.

    Parfum de diamant...j'aurais aimé trouver une telle merveille
    Je n'ai que mes mots pour pleurer...

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    • #3
      Très beau...Comme quoi, même dans la solitude on puise...
      Il me rappelle quelque chose...
      Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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      • #4
        Magnifique Zac.... Un parfum de diamant..ca doit etre tres riche comme parfum et, cher et introuvable !!!!- Merci de nous le faire respirer a travers tes belles lignes!!!
        " Le bonheur n' est pas une recompense mais une consequence, La souffrance n' est pas une punition mais un resultat...."
        NULLA DI NUOVO SOTTO IL SOLE.."

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        • #5
          ...Resta un moment,
          Souffla autour d’elle
          Une haleine nouvelle
          Parfum de diamant.



          Un diamant !...Parfumé ?...Y a que notre ami Zacmoko cet alchimiste, ce joaillier et parfumeur de renom à l'intelligence et aux mains de fée sans pareil qui pouvait produire, exclusivement, pour nous ce cadeau perlé aux couleurs et aux senteurs angéliques. Merci Zacmoko pour ce cadeau de valeur, cet immense bonheur de ces senteurs envoûtantes.
          "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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          • #6
            Zac,

            Encore une fois, je reste admirative de la manière avec laquelle tu as su introduire de la légèreté dans la tragédie de la mort !

            J'adore comment tu associes les mots : danse/ dense; seul /
            solitaire. Aussi comment tu dessines la solitude en pleine foule!

            L'image du linceul est aussi trés intéréssante.

            ... Dans cette foule si dense,...

            ... Dans cette foule hostile,...

            ... Dans cette foule cruelle...

            ... Et par la foule féroce...
            Toute cette agressivité insistante envers la foule, nous dévoile qu'en plus de son inutilité face à la mort, la foule menace la quiétude de l'âme... On est touché...

            Mais tu éffaces toute tristesse en nous confiant que la mort lui a été une rennaissance, un jour nouveau...

            Resta un moment,
            Souffla autour d’elle
            Une haleine nouvelle
            Parfum de diamant.

            Puis s’en est allé
            Sur ses blancs chevaux,
            Vers un jour nouveau
            Près de son palais.
            C'est un trés beau poeme, digne du gand poete que tu es !
            Dernière modification par Argelina, 30 mars 2010, 19h54.

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            • #7
              merci Zacmako pour le partage.
              Quand on aime, ou bien l’on n’a point de peine, ou bien l’on aime jusqu'à sa peine.
              Saint augustin

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              • #8
                Merci pour ton passage, Chaarar.
                Entre la violence et la bienveillance, il n’y a qu’un mot, il suffit juste de le prononcer.
                Parfum de diamant...j'aurais aimé trouver une telle merveille.
                Tes textes qui embellissent et font vivre la rue des perles sont, à chaque fois, porteur de messages parfois abstraits, mais dont tu as le don et surtout la facilité de faire passer.

                Suzanna et Rosier_Belda :
                Un diamant est précieux, certes, mais il le serait encore plus s’il était parfumé.
                Et seul l’amour, cette espèce de diamant si rare, peut dégager un parfum.


                Argélina, ton commentaire et ton analyse me laissent déduire que tu as probablement vécu, en totalité ou une partie, peu importe, cette forme de solitude décrite dans le texte.
                Décortiquer un texte en maniant la plume avec autant d’agilité me conforte dans mes soupçons. Peut être nous offriras-tu à ton tour, ce plaisir de partager ta solitude…
                Merci en tous cas, pour l’interêt que tu as porté à cet écrit.


                Walidk et Sami, merci pour votre passage par ici.
                Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                • #9
                  Argélina, ton commentaire et ton analyse me laissent déduire que tu as probablement vécu, en totalité ou une partie, peu importe, cette forme de solitude décrite dans le texte.
                  Décortiquer un texte en maniant la plume avec autant d’agilité me conforte dans mes soupçons. Peut être nous offriras-tu à ton tour, ce plaisir de partager ta solitude…
                  Merci en tous cas, pour l’interêt que tu as porté à cet écrit.
                  Bonjour Zac. ça va?

                  La solitude ne m'a pas épargné en effet, elle m'a isolé de mon propre monde sans que je le veuille vraiment:


                  La solitude ne nous donne pas le choix et vient
                  Nous enfoncer dans un insoupçonnable isolement.
                  Moi, elle ne m’a pas épargné et si je m’en souviens,
                  Ça remonte à depuis que je suis née, probablement.

                  Avant, pour faire cesser mon abominable solitude,
                  Je me suis refugié dans le reflet d’un entourage.
                  J’y ai trouvé de la présence et de la sollicitude
                  Mais l’hypocrisie y avait fait trop de ravages.

                  Alors j’ai tenté l’amitié, cette alliance sincère !
                  Aveuglément, j’y ai déversé toutes mes confidences
                  J’étais aussi loyale que l’ont pouvait le souhaiter ; entière
                  Et malheureusement trop naïve pour avoir fait confiance

                  Comme une incorrigible, j’étais prête aussi à céder
                  Aux promesses de l’amour, qui m’ont toujours séduite.
                  Mais l’amour se faisait si rare que jamais je ne lui ai accédé.
                  J’ai donc fini par abandonner définitivement sa poursuite.

                  Aujourd’hui, je demeure encore plus seule que jamais
                  Et pour faire cesser cette solitude, je me dessine un univers
                  Peuplée de fantômes, de rêves et d’espoirs affamés
                  Juste par quelques mots, des phrases et des vers.


                  Pour ce qui est de mon commentaire, c'était plus mon vif intérêt pour ton texte que j'ai voulu témoigner... loins de moi l'idée de le décotiquer juste pour le décortiquer...
                  Dernière modification par Argelina, 02 avril 2010, 18h53.

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                  • #10
                    Bonjour tout le monde


                    J'ai peur de la foule et peur de la solitude
                    J'ai peur du doute et peur des certitudes
                    J'ai peur de rester et peur de partir
                    J'ai peur de la vie et peur de mourir
                    J'ai peur d'avoir peur et peur d'abandonner
                    La peur qui fait peur dans la peur fomentée
                    Dernière modification par le sage, 31 mars 2010, 11h48.

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                    • #11
                      Des vers courts mais poignants!
                      Texte très parlant, je pense que chacun de nous s'est retrouvé un jour ainsi seul dans foule... mais toi t'as su le décrire ce moment!

                      Un plaisir de lire tes mots ZAC!
                      une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

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                      • #12
                        A l'horizon, sous un ciel de plomb
                        S'est envolé ton innocence
                        Tu ne peux nier les jours gris,
                        Tu ne peux les faire passer constants

                        Dérivent alors de tes yeux les rêves d'enfant
                        Ta bouche se ferme, refuse la poussière
                        Ton âme caresse un rêve éphémère
                        Du pain et de l'eau, tu oublierais la guerre

                        L'insouciance de l'enfance, tu oublies
                        Quand des pierres de la rue tu fais ton nid
                        Et que ton regard se fige sur ces épaules à fusils
                        Tes lèvres se serrent, ton sourire s'évanouit

                        Tu égares ton âme, à l'orée de tes pensées
                        Ton cœur devient flamme
                        Par tes peurs, consumé

                        Si je pouvais voyager dans le temps
                        J'effacerai tes jours à contretemps
                        Tristes, comme tes larmes d'enfant

                        Si je pouvais effacer du calendrier
                        Les jours troublés par le flot de te pleurs
                        Où ton cœur peine des heures
                        Si je pouvais…
                        Je te ramènerai la paix...

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                        • #13
                          Le sage:
                          A l'horizon, sous un ciel de plomb
                          S'est envolé ton innocence
                          Tu ne peux nier les jours gris,
                          Tu ne peux les faire passer constants

                          Dérivent alors de tes yeux les rêves d'enfant
                          Ta bouche se ferme, refuse la poussière
                          Ton âme caresse un rêve éphémère
                          Du pain et de l'eau, tu oublierais la guerre

                          L'insouciance de l'enfance, tu oublies
                          Quand des pierres de la rue tu fais ton nid
                          Et que ton regard se fige sur ces épaules à fusils
                          Tes lèvres se serrent, ton sourire s'évanouit

                          Tu égares ton âme, à l'orée de tes pensées
                          Ton cœur devient flamme
                          Par tes peurs, consumé

                          Si je pouvais voyager dans le temps
                          J'effacerai tes jours à contretemps
                          Tristes, comme tes larmes d'enfant

                          Si je pouvais effacer du calendrier
                          Les jours troublés par le flot de te pleurs
                          Où ton cœur peine des heures
                          Si je pouvais…
                          Je te ramènerai la paix...
                          Un trés beau poeme, le sage ! Il est de toi?

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                          • #14
                            Un trés beau poeme, le sage ! Il est de toi?
                            ce sont mes sentiments

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                            • #15
                              Trés bien, je te félécite !

                              Le sage:
                              Quand des pierres de la rue tu fais ton nid
                              Là tu parlais de la rue au sens propre ou tu voulais faire une métaphore à la rue des petites perles?

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