Silence obstiné
Tu as pris tout ce qui compte
Pour moi, mon cœur épris, l’héritier
De mon amour, protecteur de mon foyer.
Devant son sort se creva les yeux,
Il nourrit son âme de chimère,
Une éternité hors temps, plongeant
A jamais dans le l’obscurité et les ténèbres.
Si il savait ce qui est ardu,
Il pourrait changer mon destin.
Laisse moi laver ton corps des souffrances,
Laisse moi te dire ces mots
Et ces lettres a quatre syllabes.
Laisse moi toucher tes sentiments incessants.
Si il raconta un jour mon histoire
Laisser les dire que mon amour
N’est pas éphémère. Mes sentiments
Se germent et tombent comme
Les fleurs d’hiver mais leurs désirs
Ne meurent jamais.
Elle était une princesse que
La nature avait assez gâtée,
Elle se noya dans le sang a force
D’admirer Son reflet dans la revivre.
Une légende, un conte de fée,
Alors que, j’ai vécu l’époque,
Le soleil hante mon royaume,
Passant le plus claire de son temps,
A se contempler au miroir ardent,
Un miroir qui fascine la beauté
De mon beau oiseau éphémère.
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