Alger ; des bouquets de fleur
Sur une chaussée parfumée
Des rires espiègles
Sous le soleil joyeux de l’été
De l’amour à profusion
Pour si peu de déshérités
Les regards des passants
S’embrasent en sourires
Et font de notre cité
Le plus tendre des empires
La bonté est reine
L’espoir est vizir
Et la vertu ; la déesse adorée par l’empire
(Excusez le mensonge )
Sur une chaussée parfumée
Des rires espiègles
Sous le soleil joyeux de l’été
De l’amour à profusion
Pour si peu de déshérités
Les regards des passants
S’embrasent en sourires
Et font de notre cité
Le plus tendre des empires
La bonté est reine
L’espoir est vizir
Et la vertu ; la déesse adorée par l’empire
(Excusez le mensonge )
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