Tout d’abord l’œil se pose sur une simple image,
Un simple petit rien, découvrir ce visage.
Et puis de ce clavier inerte, former un mot,
Quatre lettres d’humour, parties au grand galop.
Retour d’une réponse qui tient en une question,
Fragiles liaisons virtu-ailes d’un papillon,
Les déployant au soleil de cet écran froid,
Ambivalence d’un langage qui dit à moitié,
Des clins d’œil mutins, qui nous tiennent éveillés,
Petites confidences prêtées heures après heures,
Distillation en ligne, parfum plein de douceur.
Et après quelques nuits à partager ces mots,
Maux d’hivers et d’aujourd’hui, allant crescendo,
L’impression de se connaître depuis toujours,
Frôler les jeux interdits en parlant d’amour.
Puis de cette complicité en haut débit,
De cette connexion liant deux indécis,
Ne retenir au fond que la plus belle chose,
Donner vie aux pseudos, afin que l’un d’eux, ose
Un simple petit rien, découvrir ce visage.
Et puis de ce clavier inerte, former un mot,
Quatre lettres d’humour, parties au grand galop.
Retour d’une réponse qui tient en une question,
Fragiles liaisons virtu-ailes d’un papillon,
Les déployant au soleil de cet écran froid,
Ambivalence d’un langage qui dit à moitié,
Des clins d’œil mutins, qui nous tiennent éveillés,
Petites confidences prêtées heures après heures,
Distillation en ligne, parfum plein de douceur.
Et après quelques nuits à partager ces mots,
Maux d’hivers et d’aujourd’hui, allant crescendo,
L’impression de se connaître depuis toujours,
Frôler les jeux interdits en parlant d’amour.
Puis de cette complicité en haut débit,
De cette connexion liant deux indécis,
Ne retenir au fond que la plus belle chose,
Donner vie aux pseudos, afin que l’un d’eux, ose
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