Du plus profond des meandres
De mon coeur en ruine -à cause de vaines idylles-
Resuscita un phenix de ses minces cendres
Repondant au sourd appel d'une kabyle
Il s'appelle "feu" et me consume
Il est incendiaire et c'est moi qu'il brule
Il s'appelle "eau" et me noie
Sur sa mer que je flotte ou je coule je suis en joie
Il s'appelle "terre" et pourtant c'est lui qui me foule
et laisse sa belle empreinte en moi
Il s'appelle "bois" qui me ramene à la surface lorsque je coule
Il vient de nos majestueux oliviers, ou d'un autre de nos arbres, de nos rois
Il s'appelle "larme" qui de mon coeur s'echappe
Algerie rappelle moi, je suis perdu sans toi
Il s'appelle "son" qui dans mon coeur resonne
Algerie rappelle moi, je suis perdu sans toi
Mon pays rappelle moi, je suis perdu sans toi
Mon amour rappelle moi, je suis perdu sans toi
Ma patrie rappelle moi je suis perdu sans toi
De mon coeur en ruine -à cause de vaines idylles-
Resuscita un phenix de ses minces cendres
Repondant au sourd appel d'une kabyle
Il s'appelle "feu" et me consume
Il est incendiaire et c'est moi qu'il brule
Il s'appelle "eau" et me noie
Sur sa mer que je flotte ou je coule je suis en joie
Il s'appelle "terre" et pourtant c'est lui qui me foule
et laisse sa belle empreinte en moi
Il s'appelle "bois" qui me ramene à la surface lorsque je coule
Il vient de nos majestueux oliviers, ou d'un autre de nos arbres, de nos rois
Il s'appelle "larme" qui de mon coeur s'echappe
Algerie rappelle moi, je suis perdu sans toi
Il s'appelle "son" qui dans mon coeur resonne
Algerie rappelle moi, je suis perdu sans toi
Mon pays rappelle moi, je suis perdu sans toi
Mon amour rappelle moi, je suis perdu sans toi
Ma patrie rappelle moi je suis perdu sans toi
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