Douleurs humaine
Il m’est impossible de tout écrire, de tout penser
De libérer ma plume, les carcans son déposés
Aux gardes fous qui immobilise mon âme
Au garde a vous se tienne mes drames
Je doute de ma faculté à garder en vie mon bonheur
Je suis captif d’une prison dont je suis le geôlier
Des souvenirs froids s’accroche sur mon pallier
De ces images qui annihile toute la candeur
On appelle cela « l’introspection » a ce qu’il parait
On arrive même à en tirer des conclusions parfois
Et l’on vous tend une camisole, le sourire narquois
La folie est mon refuge…je le reconnais
On décide de regarder le ciel, parce que cela repose
Comme si nos âmes étaient faites du même bleu
Mais c’est en admirant l’orage que naît la symbiose
Entre le tumulte de mon corps et le royaume des cieux
« Ma condition d’homme », voilà tout ce que j’ai à offrir
Je ne veux en retour qu’un regard neuf sur mes semblables
Ne jugez pas cette envie que j’ai de vouloir m’enfuir
Mais on signe mon arrête de mort, en lisant ces syllabes
Chaarar,
Il m’est impossible de tout écrire, de tout penser
De libérer ma plume, les carcans son déposés
Aux gardes fous qui immobilise mon âme
Au garde a vous se tienne mes drames
Je doute de ma faculté à garder en vie mon bonheur
Je suis captif d’une prison dont je suis le geôlier
Des souvenirs froids s’accroche sur mon pallier
De ces images qui annihile toute la candeur
On appelle cela « l’introspection » a ce qu’il parait
On arrive même à en tirer des conclusions parfois
Et l’on vous tend une camisole, le sourire narquois
La folie est mon refuge…je le reconnais
On décide de regarder le ciel, parce que cela repose
Comme si nos âmes étaient faites du même bleu
Mais c’est en admirant l’orage que naît la symbiose
Entre le tumulte de mon corps et le royaume des cieux
« Ma condition d’homme », voilà tout ce que j’ai à offrir
Je ne veux en retour qu’un regard neuf sur mes semblables
Ne jugez pas cette envie que j’ai de vouloir m’enfuir
Mais on signe mon arrête de mort, en lisant ces syllabes
Chaarar,
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