J’aime le bruit du feuillage,
doux mûrmure frissonant,
onde de vent à travers les buissons,
présage d’un imminent retour.
Demain je partirais,
j’irais très loin, dans la châleur
De la ville, sans le murmure
Des branchages, avec le coeur si éploré.
Une route très longue me sépare
Des choses les plus douces,
de mon éspoir, de mon amour,
des joies que le bonheur prépare.
La nostalgie consolatrice me parlera,
elle me diras d’attendre en paix,
les chers instants si délicieux,
où, folle de joie, mon âme lui parlera.
Alors l’amour aura des charmes
Consolateurs de ces tristesses,
de cette triste et douce détresse,
fruit éternel de mes alarmes.
doux mûrmure frissonant,
onde de vent à travers les buissons,
présage d’un imminent retour.
Demain je partirais,
j’irais très loin, dans la châleur
De la ville, sans le murmure
Des branchages, avec le coeur si éploré.
Une route très longue me sépare
Des choses les plus douces,
de mon éspoir, de mon amour,
des joies que le bonheur prépare.
La nostalgie consolatrice me parlera,
elle me diras d’attendre en paix,
les chers instants si délicieux,
où, folle de joie, mon âme lui parlera.
Alors l’amour aura des charmes
Consolateurs de ces tristesses,
de cette triste et douce détresse,
fruit éternel de mes alarmes.