Qu'est ce que ça soulage ....
Il y'a diverses séparations
Mais pas toutes sont douloureuses
C'est quand se mele la frustration
Que la souffrance devient affreuse
Quand on a vecu des malheurs
Qu'on s'en est sorti grace à la foi
On comprend alors la valeur
De croire à ce qu'on conçoit
Quand on a entre les mains une vie
Un navire dont on est le capitaine
On ne s'en separe à aucun prix
Si ce n'est par force, contre la haine
S'accrocher lorsqu'on croit
Meme face au plus delicieux des discours
Ne pas tomber en proie
Entre les griffes des vautours
Quand on se blesse de tout ce qu'on voit
Ses yeux de sang ont changé de couleur
Les larmes empechent toute voix
D'exprimer sa douleur
Quand on reve tout bas
D'un monde meilleur
Et qu'on hate le pas
Sous l'effet de la fureur
Pour se reveiller soudain
Nez a terre, bras accablés
Mais on garde l'espoir en vain
D'un jour se detacher
Lorsque son frere vient
Et moque son trepas
A l'aise, d'aider il se tient
Nonchalant qu'on creve ou pas
Plus de forces, le corps fragile et affaibli
Le coeur dechiré par la déception
Quand meme nos freres nous ont trahis
On songe à la séparation
On se relève, malgré l'ame meurtrie
Chaque jour le soleil se leve, et on relevera le defi
Meme dans nos reves, on vit pour l'Algerie.
asirem
Le grand MOHYA (allah irehmou) a dit un jour à son neuveu: si tu aimes reellement tamazight il faut vivre et non pas mourir pour elle. Cela s'applique à tout.
Il y'a diverses séparations
Mais pas toutes sont douloureuses
C'est quand se mele la frustration
Que la souffrance devient affreuse
Quand on a vecu des malheurs
Qu'on s'en est sorti grace à la foi
On comprend alors la valeur
De croire à ce qu'on conçoit
Quand on a entre les mains une vie
Un navire dont on est le capitaine
On ne s'en separe à aucun prix
Si ce n'est par force, contre la haine
S'accrocher lorsqu'on croit
Meme face au plus delicieux des discours
Ne pas tomber en proie
Entre les griffes des vautours
Quand on se blesse de tout ce qu'on voit
Ses yeux de sang ont changé de couleur
Les larmes empechent toute voix
D'exprimer sa douleur
Quand on reve tout bas
D'un monde meilleur
Et qu'on hate le pas
Sous l'effet de la fureur
Pour se reveiller soudain
Nez a terre, bras accablés
Mais on garde l'espoir en vain
D'un jour se detacher
Lorsque son frere vient
Et moque son trepas
A l'aise, d'aider il se tient
Nonchalant qu'on creve ou pas
Plus de forces, le corps fragile et affaibli
Le coeur dechiré par la déception
Quand meme nos freres nous ont trahis
On songe à la séparation
On se relève, malgré l'ame meurtrie
Chaque jour le soleil se leve, et on relevera le defi
Meme dans nos reves, on vit pour l'Algerie.
asirem
Le grand MOHYA (allah irehmou) a dit un jour à son neuveu: si tu aimes reellement tamazight il faut vivre et non pas mourir pour elle. Cela s'applique à tout.
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