je pense que tu aurais du poster ça dans la section humour
Bledard
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Pas aussi amusant que ce qui suit
Combien les Britishs (constructeurs) et les russes (lanceurs) ont gagné pour 5 ans d'utilisation et 13 000 images qui ne nécessitent pas une grande précision ?
Alsat1, le premier satellite algérien ne répond plus
Par yasmine amari le 21/06/2008 à 15:56
Cinq ans et demi après son lancement, le premier « satellite » algérien Alsat 1 a arrêté d’émettre depuis quelques semaines, a appris TSA de bonnes sources. La cause ? Alsat 1 manifestait depuis déjà quelques mois des signes d'usure de son système d'énergie de bord notamment avant de cesser définitivement d’émettre. Cette situation est due, selon les mêmes sources, au cycle normal de vieillissement de ses batteries.
Certes, dès son lancement, il était prévu que la durée de vie initiale d’Alsat1 était de cinq ans. Mais sa surexploitation, avec environ 13 000 images captées et téléchargées depuis sa mise en orbite, a également contribué à accélérer l’usure du satellite algérien. Pour tenter de rallonger sa durée de vie, il a été décidé, il y a quelques mois, de télécharger les images en temps réel, de réduire la taille et l'intervalle des différentes prises d'images et enfin réduire au maximum les temps d'émissions. Mais finalement, les Algériens ont fini par se rendre à l’évidence : Alsat1 bouclait son cycle de vie.
Pire : les onze chercheurs algériens formés dans le cade de ce projet ambitieux ont été tous débauchés par d’autres entreprises, y compris chez le constructeur de Alst1, le britannique SSTL.
Un paradoxe quand on sait que le projet Alsat1 prévoyait un programme de transfert de technologie et de savoir-faire.
Lancé le 28 novembre 2002, à partir du cosmodrome de Plesetsk (Russie), Alsat1 a transmis environ 13 000 images à 32 mètres de résolution, exploitable surtout dans les domaines (déforestation, lutte antiacridiennes, les feux de forêts, ….) qui ne nécessitent pas une grande précision, selon la même source.

Bledard
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Pas aussi amusant que ce qui suit

Combien les Britishs (constructeurs) et les russes (lanceurs) ont gagné pour 5 ans d'utilisation et 13 000 images qui ne nécessitent pas une grande précision ?

Alsat1, le premier satellite algérien ne répond plus
Par yasmine amari le 21/06/2008 à 15:56
Cinq ans et demi après son lancement, le premier « satellite » algérien Alsat 1 a arrêté d’émettre depuis quelques semaines, a appris TSA de bonnes sources. La cause ? Alsat 1 manifestait depuis déjà quelques mois des signes d'usure de son système d'énergie de bord notamment avant de cesser définitivement d’émettre. Cette situation est due, selon les mêmes sources, au cycle normal de vieillissement de ses batteries.
Certes, dès son lancement, il était prévu que la durée de vie initiale d’Alsat1 était de cinq ans. Mais sa surexploitation, avec environ 13 000 images captées et téléchargées depuis sa mise en orbite, a également contribué à accélérer l’usure du satellite algérien. Pour tenter de rallonger sa durée de vie, il a été décidé, il y a quelques mois, de télécharger les images en temps réel, de réduire la taille et l'intervalle des différentes prises d'images et enfin réduire au maximum les temps d'émissions. Mais finalement, les Algériens ont fini par se rendre à l’évidence : Alsat1 bouclait son cycle de vie.
Pire : les onze chercheurs algériens formés dans le cade de ce projet ambitieux ont été tous débauchés par d’autres entreprises, y compris chez le constructeur de Alst1, le britannique SSTL.
Un paradoxe quand on sait que le projet Alsat1 prévoyait un programme de transfert de technologie et de savoir-faire.
Lancé le 28 novembre 2002, à partir du cosmodrome de Plesetsk (Russie), Alsat1 a transmis environ 13 000 images à 32 mètres de résolution, exploitable surtout dans les domaines (déforestation, lutte antiacridiennes, les feux de forêts, ….) qui ne nécessitent pas une grande précision, selon la même source.
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