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Une base militaire israélienne près des frontières algériennes

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  • #61
    ensuite, les tetes qu'il a pensent mieux qu'ailleurs, la preuve , elles font fait et reussi une revolution.
    @dolby
    de quel révolution tu parles ? si celle confisqué par la France et le CNT , la je suis tout à fait d accord avec -toi
    PS
    @traks
    tu n avais rien compris à mon com /5 , j ai bien dit : SI !
    aussi le com/29
    Intox !
    La chaine de télévision libyenne qui avait diffusé l info : donc pour discréditer le « CNT »
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #62
      @dolby
      de quel révolution tu parles ? si celle confisqué par la France et le CNT , la je suis tout à fait d accord avec -toi
      PS
      confisquée ou pas , les lybiens ont demontré qu'ils ont du courage, pas comme d'autres qui ne font que denigrer les voisins et incapables de mettre fin à la dictature d'une junte .

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      • #63
        confisquée ou pas , les lybiens ont demontré qu'ils ont du courage,
        @dolby
        de quel courage tu parles ?
        donc les peuples tunisiens et les egyptiens sans l aide et l intervention des français , selon ta logique sont des lâches ?
        vraiment tu débites des conneries .
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #64

          moloud_arazgui à 19h37 le 17-5-11

          Effectivement Tolkien. C'est grace aux Chinois que le Pakistan a développé la bombe A mais aussi grace à l'argent Saudien qui a financé le développement de l'arme atomique pakistanais. l'Algérie pourrait faire la même chose avec la Chine.


          Tolkien à 20h00 le 17-5-11

          pakistan et Corée du Nord. Israel a aidée l'Afrique du Sud (qui fut une puissance nucléaire un certain temps quand israel a testé sa bombe dans le sous-sol africain), mais les sudaf ont renoncé à la bombe après les pressions occidentales...





          La Chine n’a fourni absolument d’aucune quelconque manière ni assistance au Pakistan, ni assistance à la Corée du Nord, lors du développement de leur propre programme nucléaire militaire respectif.

          Dans le club très restreint des nations disposant du feu nucléaire, aucune nation n’est suffisamment irrationnelle pour être disposé à accorder la moindre capacité de développement de l’arme nucléaire à un quelconque autre pays fusse-il même son allié et d’avantage s’il se trouve être situé à ses propres frontières (les ogives et les ICBM de la Grande Bretagne sont tous sous contrôle exclusif de leurs alliés les USA .Quand à la France, les USA ont absolument tout entrepris pour empêcher son programme nucléaire militaire d’aboutir). Puisqu'il échappera de facto purement et simplement à son contrôle permanent (politique et militaire) et pourrait soit la retourner contre elle à l’avenir dans un renversement d’alliance et d’intérêts ou bien soit la plonger par obligation d’assistance dans une guerre nucléaire imposée en cas de conflit régional ou d’envergure mondiale avec un ou d’autres pays en disposant également.

          Le programme nucléaire militaire Pakistanais a été initié par le premier ministre Bhutto après la guerre indo-pakistanaise de 1971 qui a mené à la perte de 150 000 km2 de son territoire national et la séparation avec des millions de ses concitoyens dans l’état nouvellement crée qui allait devenir le Bangladesh.

          Le père de ce programme est le professeur Muhammad Raziuddin Siddiqui. Il a été l’un des rares privilégiés à étudier les mathématiques et la mécanique quantique auprès d’Albert Einstein enseignant à l’université de Leipzig à cette époque. Il reçoit alors sa M.Sc. en mathématiques et un M. Phil. en Physique quantique sous la tutelle d'Albert Einstein lui même. Puis ensuite il a terminé un Ph.D en Physique Théorique, écrit une thèse de recherche sur un mémoire traitant de la Théorie de la relativité et de l'énergie nucléaire, sous la supervision du renommée Physicien et Lauréat du Prix Nobel le dr. Karl Werner Heisenberg en 1930. Au début des années 1940, Siddiqui a collaboré étroitement au programme d’armes atomiques de la Grande-Bretagne. Et a participé dans le secret à son projet de développement d'armes nucléaires dénommé Tube Alloys. Au début de l’année 1941, il fut invité de nouveau par les physiciens britanniques qui ont participé à Tube Alloys (le développement de l'arme nucléaire britannique classée secret) au Projet Manhattan. Il a rejoint le Projet Manhattan en tant que membre de la délégation britannique dirigée par le mathématicien William Penney. Là, en compagnie de William Penney, il a travaillé en étroite collaboration dans le développement de l'arme nucléaire américaine. Quelques autres Pakistanais, qui ont participé au programme nucléaire du Pakistan au coté de Siddiqui, ont également travaillé sur le Project Manhattan. Le Premier ministre Bhutto a fait le nécessaire pour recruter et mettre en place le programme secret de développement d’armes nucléaires Pakistanais où d'autres scientifiques nucléaires et ingénieurs pakistanais qui n'ont jamais travaillé aux Etats-Unis les rejoindront par la suite.

          Les peuples Pakistanais et Indiens ont le même sang et le même esprit qui coulent dans leurs veines. Ils font parties d’un même et unique peuple qui avaient des milliers d’année d’existence bien avant sa partition religieuse en deux états distincts en 1947. Celui d’une civilisation brillante qui a engendré les chiffres et le Zéro.



          Pour en apprendre d’avantage : Livre de Shahid-Ur-, Rehman (1999). "A Manhattan Project Scientist". Long Road To Chagai.





          Le sixième test nucléaire du Pakistan
          du nom de code Chagai-II fut effectué le 30 mai 1998 dans le désert de Kharan.







          ...
          Dernière modification par Adama, 18 mai 2011, 06h33.

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          • #65
            Suite 1 :

            Citation:

            La Corée du Nord


            Le programme nucléaire remontent à environ 1962, lorsque le gouvernement de la RPDC s'est engagée à ce qu'il a appelé "all-fortressization" qui a été le début de l'hyper militarisée Corée du Nord d'aujourd'hui. Dans le milieu des années 1960, il a établi le complexe atomique à grande échelle de Yongbyon recherche sur l'énergie où des spécialistes sont formés par les étudiants qui avaient étudié en Union soviétique. En vertu de l'accord de coopération conclu entre l'URSS et la Corée du Nord, un centre de recherche nucléaire a été construit près de la petite ville de Yongbyon. En 1965, un réacteur de recherche IRT-2M soviétique a été assemblé pour ce centre. De 1965 à 1973 un combustible (éléments combustibles) enrichi à 10 pour cent a été fourni à la DPRK de ce réacteur.


            La Corée du Nord entretient des mines d'uranium de quatre millions de tonnes de haute qualité exploitable.

            Dans les années 1970, elle s'est concentrée sur l'étude du cycle du combustible nucléaire, y compris le raffinage, la conversion et la fabrication. En 1974, des spécialistes coréens ont indépendamment modernisée un réacteur soviétique de recherche IRT-2M de la même manière que les autres réacteurs de fonctionnement de l'URSS et que d'autres pays ont modernisées, ce qui a porté sa capacité de 8 mégawatts et la commutation de combustible enrichi à 80 pour cent. Par la suite, le degré d'enrichissement du combustible a été réduit. Dans la même période, la RPDC a commencé à construire un réacteur de 5 MWe de recherche, ce qu'on appelle la «deuxième réacteur." En 1977, la RPDC a conclu un accord avec l'Organisation internationale de l'énergie atomique [AIEA], permettant à ce dernier d'examiner un réacteur de recherche qui a été construit avec l'aide de l'URSS.

            Le programme d'armement nucléaire de la Corée du Nord remonte aux années 1980. Dans les années 1980, mettant l'accent sur les utilisations pratiques de l'énergie nucléaire et l'achèvement d'un système de développement d'armes nucléaires, la Corée du Nord a commencé à exploiter des installations de fabrication d'uranium et de conversion. Il a commencé la construction d'un réacteur de 200 MWe nucléaires et les installations de retraitement de Yongbyon et Taechon, respectivement, et a effectué des essais de détonation d'explosifs brisants. En 1985, les autorités américaines ont annoncé pour la première fois qu'ils avaient des données des services secrets prouvant qu’un réacteur nucléaire secret était construit à 90 km au nord de Pyongyang à proximité de la petite ville de Yongbyon. L'installation de Yongbyon avait été connue huit ans auparavant à partir de rapports officielle de l'AIEA.


            Les estimations des stocks


            Il est estimé que la Corée du Nord a terminé le cycle du combustible nucléaire de l'acquisition au retraitement du combustible nucléaire et est sur le seuil d'une capacité d'armement nucléaire. Néanmoins, il est difficile de savoir si elle a effectivement produit ou possède des armes nucléaires en raison de difficultés dans les dispositifs de détonation en développement et des véhicules de livraison, qui nécessitent des technologies high-tech et de précision. Selon diverses sources d'information, la Corée du Nord semblait avoir retraité assez de plutonium pour produire une ou deux armes nucléaires. En outre, suffisamment de plutonium pour une autre ou six armes nucléaires supplémentaires resté dans le carburant retiré du réacteur à Yongbon mais stockées sous supervision internationale, en vertu des dispositions du cadre convenu en 1994.



            Essaie nucléaire d'une puissance mal connue


            Paul G.Richards est un expert reconnu mondialement dans le domaine de la détection des essais nucléaires à l’aide des méthodes de la sismologie. Avec ses collègues, il vient d’estimer à quelques kilotonnes de TNT la puissance du test nord-coréen. En 2006, lui et son collègue Won-Young Kim avaient déjà publié dans Nature Physics un article sur le premier test de la Corée du Nord le 9 octobre de cette même année.


            Pour Richards, alors qu’un doute existait pour le premier test, moins puissant, il semble exclu que le séisme d’une puissance de 4,5 à 4,7 qui s’est produit en montagne à une quarantaine de kilomètre au nord de la ville de Kilju soit causé par une explosion de nature chimique. La forme du sismogramme exclut déjà de toute façon un séisme d’origine naturel comme on peut le voir tout en bas de l’article. La proportion d’ondes P, semblable aux ondes de compression dans l’air, est en effet trop importante par rapport aux ondes S.

            La puissance exacte de l’explosion du 25 mai 2009 est encore incertaine. Pour Kim, elle est de l’ordre de 2,2 à 4 kilotonnes (milliers de tonnes de TNT) mais pour ses collègues européens, le chiffre pourrait se situer entre 3 et 8 kilotonnes. Les sismologues russes, quant à eux, n’excluent pas une puissance comparable à celle de la bombe d’Hiroshima, c'est-à-dire 15 kilotonnes. Les stocks US et russes d’armes thermonucléaires (les bombes H) comportent des bombes dont l’explosion peut atteindre une puissance de 50 mégatonnes, soit plus de 3.000 fois celle de la bombe atomique d’Hiroshima.





            Globalesecu






            ...
            Dernière modification par Adama, 18 mai 2011, 04h47.

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            • #66
              Suite 2 :


              Israël et l’Afrique du Sud.



              Quand au cas de l’Afrique du Sud qui est par nature occidental et dont ne peut pas véritablement qualifier son embryon de programme nucléaire militaire comme une dissuasion nucléaire viable et réellement crédible. Ils n’ont été plutôt que les simples dindons de la farce d’un énorme jeu de dupe.

              Le teste nucléaire à faible rendement qui a été effectué par Israël pour valider ses dispositifs en situation réel et non plus dans un rendement nul (essai non-nucléaires ou test simplement d’implosion survenue le 2 Novembre 1966, peut-être à Al-Naqab dans le Néguev) dans le sud de l'océan Indien en 1979 en Afrique du Sud était atmosphérique.

              A 01H00 GMT précisément (d'autres sources prétendent 00:53 GMT) le 22 Septembre 1979, les capteurs à bord du satellite militaire américain d’alerte précoce VELA 6911 ont détecté deux clignotements espacés de lumière. L'événement se serait produit à 47 deg. S, 40 deg. E dans l'Océan Indien, près de l'île d'Afrique du Sud Prince-Édouard. L'explication la plus évidente est que quelqu'un avait fait exploser une bombe atomique. La liste des suspects a rapidement désigné l'Afrique du Sud et Israël.

              En Février 1980, CBS a été le premier à suggérer que Israël a aidé l'Afrique du Sud a effectué un essai nucléaire. CBS a reçu des informations provenant de "sources informées", mais aucun représentant du gouvernement sud-africain n’était disposé à prêter au rapport toute crédibilité.

              Dans un article du 20 avril 1997 paru dans le journal israélien Ha'aretz Daily, le sous-ministre d’Afrique du Sud des Affaires étrangères Aziz Pahad a confirmé pour la première fois qu'une explosion au-dessus de l'océan Indien a été détecté par un satellite américain en Septembre 1979 et était issue d'un essai nucléaire. Cette déclaration a été confirmée par l'ambassade américaine à Pretoria, en Afrique du Sud, comme un compte rendu exact de ce Pahad a officiellement reconnu. L'article dit qu’Israël a aidé l'Afrique du Sud a développé ses plans de la bombe en échange de 550 tonnes d'uranium brut et autres formes d'assistance.

              Selon les informations fournies à l'AIEA, l'Afrique du Sud a fabriqué son premier engin nucléaire explosif en Novembre 1979, deux mois après le flash, et ce premier dispositif expérimental est resté dans une réserve jusqu'en 1989. Les investigations de l'AIEA des registres de production d'uranium, et les stocks réels de l'uranium hautement enrichi, ne pouvait pas cacher suffisamment d'HEU pour façonner une bombe dissimulé.






              ...


              Dernière modification par Adama, 20 août 2011, 03h33.

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              • #67
                Foutaises

                J'y crois un pas un mot à cette histoire.

                Franchement, le problème libyen devient de plus en plus ridicule !
                "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                • #68
                  j'offre un ensemble de coloriage ......ca occuperas peut etre ...au lieu de delirer sur un truc a l'evidence faux

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