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Un docteur algérien découvre le traitement contre le diabète

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  • #16
    “Avant d’essayer ce médicament, nous avons reçu le fReu vert du ministère”

    emède contre le diabète/ Omar Boudi, journaliste à Echourouk TV:
    Société, Une mai 9, 2016mai 9, 2016 Abdou Semmar


    L’affaire du remède au diabète, prétendument découvert par un chercheur algérien, a défrayé la chronique, ces derniers temps, dans notre pays. Le journaliste d’Echourouk TV, qui a révélé la “découverte”, Omar Boudi, explique à Algérie Focus les tenants et aboutissants de cette affaire. Entretien.

    Algérie Focus: Vous êtes le journaliste qui a réalisé l’enquête diffusée par Echourouk TV sur le fameux médecin qui prétend avoir inventé un médicament contre le diabète, étiez-vous convaincus par ce qu’il vous a dit ?

    Omar Boudi: Tout a commencé avec une enquête sur les chercheurs et inventeurs en Algérie, où on avait parlé de plusieurs inventeurs dans différents domaines et parmi eux, il y avait Toufik Zaibet, qui avait découvert plusieurs traitements de différents maladies tels que Psoriasis et son médicament Soderma commercialisé depuis 2012 dans les pharmacies et qui est même exporté vers d’autres pays. Mais c’est sa déclaration sur son traitement efficace contre les symptômes du diabète, dont les recherches ont commencé depuis 12 ans, qui avait fait le buzz, surtout que jamais un tel traitement n’a été découvert. Une semaine après la diffusion de l’émission, Echourouk Touhakik (le 17 Février 2016), il a été reçu par le ministre de la Santé Abdelmalek Boudiaf au siège du ministère ou Toufik Zaibet a déposé un dossier complet concernant son traitement devant une commission de scientifiques de renommée internationale. Tout ces éléments prouvent que c’était du sérieux et qu’on était clairement devant une importante découverte pour toute l’humanité.

    A-t-il présenté un document, des arguments scientifiques prouvant ses connaissances académiques ?

    Depuis notre premier entretien, il y a de cela un an , où on avait parlé de son médicament contre le psoriasis , et vu la sensibilité du sujet, on avait demandé, comme pour chaque travail journalistique, tous les documents et arguments prouvant ses dires, tels que son doctorat soutenu en l’an 2000 à l’université de Genève en Suisse «spécialité médecine d’urgence» ainsi que d’autres diplômes. De retour en Algérie, il n’a pas exercé en tant que médecin mais comme chercheur au niveau du Centre de recherche et développement de Saidal entre 2004 – 2011, où il avait deux projets: Soderma et le traitement du diabète, avant d’aller poursuivre ses recherches dans plusieurs laboratoires européens et s’installer après un bon moment aux Emirat arabes unis.

    Que pensez-vous des médecins qui ont lancé une pétition contre ce médecin le qualifiant de “charlatan” parce qu’il n’a aucune légitimité scientifique pour parler de recherche scientifique ?

    J’ai lu comme beaucoup de gens la pétition qui se trouve sur le net et j’ai suivi la campagne médiatique menée par certaines pages sur les réseaux sociaux. Je n’en étais pas étonné vu qu’en Algérie on n’est pas habitué à voir de tels découvertes. C’est leur droit de donner leurs avis, positif soit-il ou négatif. Mais il fallait au moins attendre les résultats et le rapport de la commission des spécialistes au niveau du ministère, car Toufik Zaibet a déposé tout un dossier et l’idéal aurait été de le soutenir et non le contraire. Vous savez dans les pays développés, les recherches sont financées à coup de milliards de dollars et les chercheurs sont toujours soutenus. Hélas, c’est pas le cas ici en Algérie. Cela n’empêche que plusieurs sites et médias ont apporté leur soutien au docteur.

    Ne pensez-vous que c’était dangereux d’essayer ce médicament sur des patients alors qu’aucune instance scientifique ne l’avait encore validé ?

    Avant d’essayer ce médicament, nous avons reçu le feu vert du ministère qui a affirmé que ce médicament ne présentait aucun danger ni effets secondaires et on a une confiance totale envers les autorités concernés, sachant aussi que le docteur a insisté auprès des gens qui ont essayé ce médicament de rester toujours en contact avec leurs médecins traitant et de ne l’arrêter sous aucun prétexte. Après à peu prés un mois, l’état général des personnes qui avaient testé le médicament s’est nettement améliorés. Ils ne présentaient plus aucun symptôme du diabète.

    Que pensez-vous enfin du récit de ce monsieur selon lequel le comité du prix Nobel l’a contacté et qu’il avait refusé de lui répondre ?

    Premièrement c’est un fait réel que je vais élucider car nombreux sont ceux qui l’ont détourné de son vrai sens. Premièrement, ce n’est pas le comité du prix Nobel qui l’a contacté, mais le responsable d’un laboratoire autrichien qui avait entendu parlé de sa découverte. Il avait proposé au chercheur de collaborer avec son laboratoire. Et vu l’importance de la découverte, il avait de fortes chances d’avoir le prix Nobel. Il se trouve juste que ce même responsable avait demandé de ne pas présenter le médicament comme produit découvert par un arabe musulman, chose qu’il a refusé catégoriquement.

    Au final, quelles sont les conclusions que vous tirez de cette affaire ?

    C’est un dossier très sensible , très difficile à traiter; mais, Dieu merci, je ressens un sentiment de fierté d’avoir été derrière cette enquête. Je tiens aussi a noter que j’étais soutenu, depuis le débu,t par le rédacteur en chef du service des enquêtes, Abdelatif Belkaim, ainsi que la directrice de l’information au niveau de la chaîne Echourouk News, Leila Bouzidi, qui ont cru en moi. Leila Bouzidi, par exemple, n’a pas arrêté de suivre ce dossier de prés en interviewant le ministre de la Santé et de suivre le moindre détail le concernant. De notre coté, on fera tout pour être à la hauteur des attentes de toute la population algérienne jusqu’à ce que ce traitement voit le jour, chose qui sera une fierté pour toute l’Algérie.

    Entretien réalisé par Abdou Semmar
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #17
      Diabétologues et endocrinologues appellent à la vigilance

      La corporation des diabétologues et endocrinologues crie au scandale suite à l’utilisation d’un médicament non validé par les instances nationales et internationales. Les praticiens dénoncent l’implication directe du ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, dans cette affaire.

      Anis, Fares, Rachid, Wissam, Azzedine, Faycal, Ahmed, Abdelhak sont des diabétiques insulinodépendants qui ont fait candidement la promotion du «médicalement miracle» contre le diabète inventé par un chercheur algérien, selon le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, qui l’avait reçu dans son bureau.

      La majorité des patients sont des enfants qui ont témoigné à visage découvert se sentir mieux avec moins de fatigue et la stabilité de leur glycémie depuis la prise de ce produit, sous forme de gélules et de sirop, dans un long reportage réalisé par la chaîne Echourouk. L’équipe de télévision a sillonné l’Algérie à la rencontre de tous ceux qui ont pris ce médicament qui est pourtant non enregistré dans la nomenclature nationale.

      Le «chercheur», Toufik Zaibet, a expliqué tout au long de ce reportage que son «médicament» réduit les risques de complications du diabète, qu’il définit comme «une perte d’eau», tout en recommandant aux patients de maintenir le suivi chez leur médecin traitant. Il a aussi affirmé que le produit en question n’est pas encore validé par les instances nationales.

      Pourquoi le propose-t-il alors à des malades sous traitement, notamment sous insuline, donnant ainsi de faux espoirs à leurs familles ? S’agit t-il d’un essai clinique autorisé par une autorité nationale telle que le ministère de la Santé, le Conseil national d’éthique des sciences de la santé ou simplement la promotion d’une potion assimilée à un médicament non soumis aux phases obligatoires dans le développement d’un produit pharmaceutique ? Aucun dossier technique portant sur ce produit n’a été soumis au Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (LNCPP) avons-nous appris.

      Des démarches ont été par contre introduites au niveau du groupe Saidal pour une éventuelle bioéquivalence, mais aucune suite n’ a été donnée à ce dossier. Pourquoi alors le ministre, Abdelmalek Boudiaf, a-t-il réitéré hier, sur les ondes de la Chaîne I de la Radio nationale sa déclaration faite à la télévision. «Le chercheur n’est pas un charlatan comme on veut le faire croire.

      C’est un médecin connu et un enfant de la famille révolutionnaire qui a déjà fait ses preuves avec d’autres médicaments. Le produit en question est effectivement non enregistré en Algérie. Il est actuellement entre les mains des experts. Il ne faut pas se précipiter, il faut attendre d’abord les résultats.

      De plus, les diabétiques qui l’ont pris ont vu leur état s’améliorer même sur le plan psychologique. Je déplore la campagne médiatique menée à propos de cette affaire», a-t-il lancé fermement, sans se soucier de l’illégalité de cette opération répréhensible. Une déclaration qui vient enflammer la polémique enclenchée depuis la diffusion du reportage par la chaîne de télévision arabophone. Les spécialistes en diabétologie, endocrinologie, médecine interne et autres crient au scandale à travers leur sociétés savantes, relayés par les réseaux sociaux. Ils dénoncent «les agissements ministère de la Santé et du pseudo-chercheur qui prétend être un médecin mais non inscrit au tableau de l’Ordre des médecins.

      C’est scandaleux de faire la promotion d’un homme et d’un produit sans prendre les précautions nécessaires pour protéger les patients. Si les choses avancent à ce rythme, des milliers d’enfants tomberont dans le coma et les conséquences seront irréversibles» déplorent la Société algérienne de diabétologie, l’Association nationale des endocrinologues et diabétologues libéraux, la Société algérienne de médecine interne et le conseil national de l’Ordre des médecins. «On s’interroge justement sur les constituants de ce produit et si toutes les procédures prévues par la réglementation ont été respectées.

      On ne sait pas grand-chose. On ne peut pas donner un médicament sans l’avoir soumis à des contrôles rigoureux, après avoir fait des études cliniques dans toutes les phases. On ne sait pas s’il a été testé sur les animaux aussi. C’est un produit inconnu. Maintenant, si des patients disent se sentir mieux, cela ne peut être que sur le plan subjectif car sur le plan objectif, les résultats pourraient plutôt se compliquer dans les jours ou prochains mois.
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #18
        Au vu des déclarations de l’inventeur de ce produit, on comprend déjà qu’il confond le diabète de type 1 avec le diabète de type 2», a déclaré le professeur Zakia Arbouche, présidente de la Société algérienne de diabétologie. Le docteur Hamza Benmaadi, président de l’Association des endocrinologues et diabétologues libéraux, est formel : «On ne guérit pas du diabète. Donner un produit qui n’ a pas fait l’objet de toutes les procédures obligatoires, notamment les phases prévues par la réglementation, est criminel.» Les spécialistes sont unanimes à dénoncer la légèreté par laquelle ce dossier est géré aujourd’hui : «Le ministre de la Santé doit être loin de ce type de charlatan qui affirme avoir découvert le produit grâce à Dieu.

        Il doit plutôt protéger la santé et la vie des Algériens. Il faut rétablir les choses.» «Le monsieur est loin des bonnes pratique de la diabétologie. Il y a aujourd’hui des traitements qui ont montré leur efficacité et la prévention des complications passe justement par le respect de ces traitements. C’est du charlatanisme et nous sommes loins de la preuve scientifique. Il y a des critères et des méthodologies pour faire valoir un produit.

        Ce n’est pas par enchantement que cela arrive. Nous sommes dans l’irrationnel et les parents d’enfants diabétiques sont aujourd’hui déstabilisés et perturbés. Il ne se passe pas un jour que de patients se présentent et parlent de ce ‘nouveau produit’ dans l’idée d’abandonner leur traitement, à savoir l’insuline, qui n’est plus secrétée par leur pancréas. Le diabète de type 1 est bien connu aujourd’hui. En diabétologie nous avons des critères objectifs mesurables, tels que la glycémie et l’HB1C. Par contre, là, on est dans le subjectif et tous les efforts consentis risquent d’être anéantis.

        C’est scandaleux et cela relève du pénal», dénonce le docteur Azam Boujemaa, membre de l’AEDL, qui craint une démotivation des patients et les conséquences désastreuses que cela pourrait engendrer. Le Comité national diabète a décidé de saisir le ministre de la Santé à propos de cette affaire. De son côté, le président du conseil national de l’Ordre des médecins, le docteur Bekkat Berkani Mohamed, estime que «toute pratique thérapeutique en dehors du cadre scientifique légal et réglementaire relève du charlatanisme.

        L’utilisation d’un médicament répond à toute une panoplie de textes réglementaires. Mais ce produit a été utilisé avant même d’être validé par les experts cliniciens. On a procédé dans l’illégalité et ceci est condamnable car on donne de faux espoirs aux patients». Une halte s’impose dans cette affaire, qui connaîtra sans doute des rebondissements, surtout si les patients continuent à croire en cette potion magique.

        Djamila Kourta
        El Watan 10/05/2016
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #19
          Je vous ai dit qu'il fallait fermer cette chaîne de gbala de chourouk, qui depuis son ouverture ne fait que la promotion des charlatans, escrots ... Contre toute étique du métier, sans prendre en considération la santé morale ou physique de patients ou personne fragiles, comme faire la promotion d'un autre charlatan belahmar, qui était responsable de la mort d'une jeune fille lors d'une de ses roqia.

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          • #20
            Si j'ai un conseil à donner à ce chercheur, est qu'il ne se laisse pas décourager par les prises de position des uns et des autres et d'aller jusqu'au bout de ses convictions, sachant pertinemment que toute sa crédibilité est en jeu.

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            • #21
              Un docteur algérien découvre le traitement contre le diabète


              Quand un joueur de football perçoit des centaines de millions pour une partie de foot réussie, je pense que notre Docteur mérite bien un budget consistant pour la poursuite de ses recherches et la formation de nos médecins spécialistes.

              Je lui souhaite d’autres réussites, et qu’Allah lui garde la vie et le protège contre les coyotes importateurs de Générateurs d'hémodialyse et d’insuline !

              Merci Docteur pour ce que vous faites pour le Peuple algerien et l'humanité toute entiere.
              Dernière modification par abderahmane1, 10 mai 2016, 22h35.
              "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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              • #22
                Cet amateurisme et travail anarchique contre le code éthique du métier ne peut se faire qu'en Algérie, le comble reçu par le ministre qui doit défendre la santé et la politique de santé dans son pays.
                Je ne suis pas contre ce Docteur mais contre la façon dont il a agit et travaillé: commercialiser ou même donner gratuitement un produit à des cobayes humains est inadmissible sans préparer un dossier de recherche clinique (médical et pharmaceutique sur les différentes phases (de I à IV qui prennent des années).
                Surtout que ce type est scientifique et a été en Europe et Dubai, pourquoi a t il choisi l'ALgérie ? supposons que ce produit est toxique à long terme ? supposons que ce produit est incompatible avec des gens qui ont d'autres maladies (insuffisante rénale, cardiaque, hypertension ou autres ? est ce qu'il y a des essaies de contre indications ? et si par malheur un patient est mort suite à ce produit ? comment il va se défendre ?
                Dans tout pays qui se respecte, une vente de tel produit doit suivre des démarches administratives, avoir une autorisation de mise sur le marché" et Marhba.
                supposons que c'est un autre chercheur d'une autre nationalité qui le vend en Algérie ? son statut de fils de résistant ne lui permet pas de jouer avec la santé des citoyens.
                Je suis dans le domaine et je sais de quoi je parle. en faisant abstraction au produit même s'il est efficace à 1000 %, et rapportera des milliard, ça doit passer par la voie universelle. Je pense qu'il sera judicieux de retirer ce produit et attendre les phases de recherche au labo, sur les souris, sur les humains et après on verra et ceci dépendemment du financement et d'autres équipes qui doivent aider ça pourra prendre au moins 4 à 5 ans.
                A bon entendeur
                Je dis aussi très très bonne chance mais dans les règles de l'Art et le code éthique
                Dernière modification par fido1, 11 mai 2016, 02h16.

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                • #23
                  fido1,
                  C'est loin d'être une question de déontologie et d'éthique. Il existe une certaine maffia du médicament, qui ont été jusqu'à brûler des usines et emprisonner des responsables produisant des produits importés, leur chasse-gardée.
                  La crise de confiance et la suspicion ont pris le dessus, les gens se questionnent et avec raison au sujet de la non homologation d'un remède miracle!
                  S'agit-il d'un chercheur (nationaliste à la moelle) se battant contre une Cosa-Nostra protégeant ses petits intérêts ou juste un illuminé profitant du désarroi des malades et des trous politiques.
                  Tu constateras aussi que dans cette affaire, très scientifique et normalement dédiée au grands professeurs, que le politique s'est mêlé avec la conviction de protéger le ''scientifique'' contre les cercles d’intérêts.
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #24
                    @okba
                    Ces produits miracles on en entend souvent des exemples, en Émirates, au Yémen, en Inde, en Chine, Guatemala... même un contre le virus d'Ébola en Afrique. Si on se base sur le ouï-dire et voir la réponse des individus on n'est pas sortis de l'auberge.
                    Si ce produit est efficace, il n' y a pas 36 voies, il faut publier les résultats des recherches ou à la rigueur patenter le produit, et suive la voie universelle de recherche pour prouver son efficacité. On ne profite pas de l'ignorance des gens et la mollesse du politique dans un pays pour s'enrichir ou se faire connaitre d'avantage. c'est contre productif et non scientifique.
                    En recherchant, aucune publication dans ce sens, les journaleux qui publient leur interviews ne connaissent que dalle.
                    Dernière modification par fido1, 11 mai 2016, 16h23.

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                    • #25
                      Il existe une certaine maffia du médicament, qui ont été jusqu'à brûler des usines et emprisonner des responsables produisant des produits importés,
                      vrai okba
                      la science a perdu de sa noblesse et le milieu est redvenue pourri..en dehors de ce cas de decouverte ils ya des milliers de chercheurs qui sont arnaquées pillé et meme menacé..
                      les publications apres la première guerre mondiale est redevenue une arnaque trop de desinformations de faux resultas tout le monde évite ce couffin a serpent a sonnette
                      les brevets pareilles on t'oblige de créer un brevet rienque ppour divulguer la recettes une fois lue aucun inventeur ne savoir ou sa recette est produite ça se peut dans une caserne militaire qui pourra entrer pour la verifier..
                      et enfin les industriels les multinationale a part les société dite familliale sont dirigés par des comis donc sans pitié pour les chercheur et inventeurs copie des procedé vol espionage raquette etc..
                      les plus grand voleurs sont aux etats unis sauf les société dite familliale car on discute directement avec le proprio mais sinon les multinational ou le proprio est une société anonyme tu ne sais pas qui la possede ça se peut un ex dealers vendeur d"heroine qui a fait fortune dans le commerce de la zatla en afrique du nords..deja ces vendeurs sont des ex ignards sans diplome qui ont raté leurs etudes et qui n'ont pas eu leurs bacs comment peuvent respecter les personnes porteuse de savoir et savoir faire..
                      celui qui a decouvert la carte a payement c'etait un egyptien il a cru deposé un brevet les multinationale ont atendu 20 ans pour l'experations de son brevet pour le prendre et l'exploiter sans payer un sous..l'egytien a payé les anuités pour son brevet pour rien..faut pas etre con et croire a ce que disent les americians asiatique et europeens...les sociétés anonyme et multinational tous dirigé par des aoportunistes et posédé par des bandits qui ont fait des detournement ailleurs

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                      • #26
                        Il ne faut pas faire de préjugés et condamner quelqu'un avant de voir les résultats de ses recherches.

                        Commentaire


                        • #27
                          Ces produits miracles on en entend souvent des exemples, en Émirates, au Yémen, en Inde
                          Je me souviens plus de l'autre docteur qui avait annoncé avoir trouvé le remède du SIDA...
                          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                          Commentaire


                          • #28
                            Il y avait à Blida un laboratoire appartenant au docteur Djebbar qui produisait un médicament contre la chute de cheveux. Les Blidéens ont flairé l'arnaque, lorsqu'ils ont vu ce docteur complètement chauve

                            Il a baissé les rideaux.

                            Commentaire


                            • #29
                              MI_rou
                              Il y avait à Blida un laboratoire appartenant au docteur Djebbar qui produisait un médicament contre la chute de cheveux. Les Blidéens ont flairé l'arnaque, lorsqu'ils ont vu ce docteur complètement chauve

                              Il a baissé les rideaux.
                              Haha elle est belle celle là.
                              Oui @hben. y en avait au moins 3 au moyen orient (Zandani, un autre Sidki et un 3eme), et Zandani se présentait aussi comme Docteur et bon orateur sur des chaines de TV et donnait des conseils en médecine prophétique et après a profité pour déclarer qu'il a découvert un remède contre le SIDA. c'est avéré après que c'est bidon.
                              Même chose pour le diabète, on ne sait pas le produit ou le principe actif de ce produit, Qui nous dit que c'Est un simple produit arabe (médecine traditionnel) comme les racines de plusieurs plantes qu'on dit efficace contre le diabète. Ça pourrait être vrai, mais je ne crois pas que c'est un remède (ou médicament qui guérira le Diabète), mais c'est plutôt un supplément qui améliore l'état générale (à vérifier).
                              À suivre
                              Dernière modification par fido1, 12 mai 2016, 02h13.

                              Commentaire


                              • #30
                                la crème contre le psoriasis qu'il a développé, ne soigne aucunement cette maladie, elle est considéré comme un cosmétique qui peut soulager des démangeaisons!!!
                                CE N'EST AUCUNEMENT UN MEDICAMENT.
                                Ce traitement contre le diabète sent encore une belle arnaque.

                                Car avant qu'un médicament ne soit commercialisé, il faut plusieurs années :
                                1/
                                Pour identifier une molécule présentant un intérêt thérapeutique potentiel, plus de 10 000 molécules auront été testées au préalable. Généralement extraite ou inspirée du monde végétal ou animal, la molécule candidate est synthétisée puis développée chimiquement avant d’être protégée par un dépôt de brevet industriel. Ce dernier permet de sécuriser l’innovation sur une période de 20 à 25 ans.

                                Vient alors le temps des études précliniques. Elles consistent dans un premier temps à réaliser des tests in vitro permettant d’évaluer l’effet de la molécule sur des cellules en culture puis in vivo, c’est à dire directement sur des animaux vivants (souris, rats,…). Ces études consistent notamment en l’évaluation de divers points pharmacologiques incontournables à savoir : l’efficacité, la toxicité éventuelle du produit, sa vitesse d’assimilation par l’organisme ou encore sa cancérogénicité potentielle.

                                Une fois ces phases terminées, 5 ans se sont, généralement, écoulés.
                                2/
                                Les études cliniques ne sont mises en place que si les effets de la molécule précédemment déterminés s’avèrent satisfaisants chez l’animal. Dans ce cas, elles se décomposent en 3 étapes ou « essais cliniques de phase 1 à 3 »
                                La phase 1 d’un essai clinique représente la première administration du produit chez l’homme. Elle est réalisée sur des volontaires sains et consiste à évaluer par palier la dose maximale tolérée sans effet indésirable.
                                La phase 2 est réalisée sur un petit nombre de patients. Elle permet de déterminer les doses optimales efficaces et tolérées par les malades. Des prélèvements sont effectués afin d’évaluer le métabolisme du médicament par exemple.
                                La phase 3 est la phase clinique proprement dite puisqu’elle permet de confirmer l’efficacité réelle de la molécule à plus grande échelle tout en évaluant son rapport bénéfice/risque. Elle est réalisée sur un grand nombre de patients (souvent plusieurs centaines) sélectionnés et répartis au hasard en deux groupes, l’un traité avec la nouvelle molécule et l’autre avec le traitement de référence lorsqu’il existe ou à défaut, avec un placebo. Il est important de noter que ces essais sont réalisés « en double aveugle » c’est à dire que ni le patient, ni les professionnels en charge de l’évaluation, ne connaissent le groupe auquel le malade appartient.
                                2/
                                La délivrance d’une autorisation de mise sur le marché nécessite au préalable le dépôt d’un dossier par un industriel, regroupant les résultats de l’ensemble des phases que nous venons de décrire. L’AMM ne sera délivrée qu’après évaluation de la qualité de la fabrication (reproductibilité des doses,…), de la sécurité (effets indésirables, assimilation,…), et de l’efficacité du médicament (caractère bénéfice/risque par rapport au(x) médicament(s) déjà présent(s) sur le marché).
                                A part si en Algérie, les chercheurs sont les plus rapide du monde, ils ne peuvent en aucun cas déroger à ces étapes, sinon ce n'est pas un médicament mais un complément alimentaire!!!
                                l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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