@ElPatRon,
Le but des Français est double : maintenir une zone d'influence via la francophonie (même si l'Algérie ne fait pas partie de l'organisation) et disposer d'une main-d'oeuvre fonctionnelle capable d'exécuter des tâches subalternes, à moindre coût, dans le secteur des services.
Les véritables concepteurs du programme culturel mondialiste ne sont pas à chercher du côté de la France en tant qu'Etat mais au niveau des organismes internationaux qui pondent des "bilans", des "rapports prospectifs" et des "recommandations" sous couvert de "collaboration" infra-étatique. Cela se traduit un travail de fond, planifié sur plusieurs décennies : uniformisation des pratiques scolaires avant la réforme des programmes scolaires. Le plan d'action immédiat pour les pays Africains consiste à tisser et / ou à densifier le réseau au détour de programmes internationaux se présentant comme visant les objectifs suivants : sensibiliser les enfants au " réchauffement climatique", prévenir "l'extrémisme violent", promouvoir "l'égalité" et lutter contre racisme, introduction de journée de célébration à l'échelle mondiale...etc. Le premier mouvement pour contourner les pays récalcitrants et déborder les Etats consiste à inscrire les initiatives dans le sillage de "jumelage" et de collaboration entre les écoles. La suite de la valse viendra après.
Mais tu te trompes, si tu penses que les gens qui y participent sont des "collaborateurs" ou des "exécutants" conscients de la réalité du plan à long-terme : dans la plupart des cas, ce sont des personnes bien intentionnées qui pensent améliorer les choses. Les concepteurs de ces agendas mondialistes sont passés maître dans l'art de fourrer la cigüe dans le bonbon et engager des gens à "l'insu de leur plein gré" pour citer un célèbre cycliste. Ces personnes (les participants malgré eux) sont d'autant plus efficaces qu'ils croient vraiment en la justesse de leur démarche.
Le but des Français est double : maintenir une zone d'influence via la francophonie (même si l'Algérie ne fait pas partie de l'organisation) et disposer d'une main-d'oeuvre fonctionnelle capable d'exécuter des tâches subalternes, à moindre coût, dans le secteur des services.
Les véritables concepteurs du programme culturel mondialiste ne sont pas à chercher du côté de la France en tant qu'Etat mais au niveau des organismes internationaux qui pondent des "bilans", des "rapports prospectifs" et des "recommandations" sous couvert de "collaboration" infra-étatique. Cela se traduit un travail de fond, planifié sur plusieurs décennies : uniformisation des pratiques scolaires avant la réforme des programmes scolaires. Le plan d'action immédiat pour les pays Africains consiste à tisser et / ou à densifier le réseau au détour de programmes internationaux se présentant comme visant les objectifs suivants : sensibiliser les enfants au " réchauffement climatique", prévenir "l'extrémisme violent", promouvoir "l'égalité" et lutter contre racisme, introduction de journée de célébration à l'échelle mondiale...etc. Le premier mouvement pour contourner les pays récalcitrants et déborder les Etats consiste à inscrire les initiatives dans le sillage de "jumelage" et de collaboration entre les écoles. La suite de la valse viendra après.
Mais tu te trompes, si tu penses que les gens qui y participent sont des "collaborateurs" ou des "exécutants" conscients de la réalité du plan à long-terme : dans la plupart des cas, ce sont des personnes bien intentionnées qui pensent améliorer les choses. Les concepteurs de ces agendas mondialistes sont passés maître dans l'art de fourrer la cigüe dans le bonbon et engager des gens à "l'insu de leur plein gré" pour citer un célèbre cycliste. Ces personnes (les participants malgré eux) sont d'autant plus efficaces qu'ils croient vraiment en la justesse de leur démarche.
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