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L'Algérie réduit de moitié le budget de fonctionnement de l'État

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  • #76
    L'état coloniale essayé de résister depuis 1830..

    Les choses vont changer car l'état a vendu tous ses bien même le tabac
    Il ne reste que l'énergie gaz électricité même l'eau a été privatisé.

    Le secteur informel qui dit informel dit islamique depuis 1830.
    Ils avaient leur propre lois islamique zakate et finance

    En parallèle système coloniale impôt et banque t'avait aucun contact entre les deux a part les Laid et bachagha qui versaient leur collecte dans les banque colonial.
    Aucun producteur riche algérien n'allait dans les banque coloniale ni travailler chez les colons.
    Le mythe l'algérien esclave chez les colons n'a été créé que par les socialistes après l'indépendance. Boumedienne parlait de khamasse.
    Il ne sait pas ce que veut dire khamasse c'était une entente entre propriétaire et ouvrier saisonnier
    T'avait pas de monnaie dans les compagne l'ouvrier prend le 1/5
    De la récolte..l'ouvrier était payé en nature il n'avait pas besoin d'argent.
    Et au moment de la révolution agraire l'état prend la totalité de la récolte et donnait 300 da a l'ouvrier..
    Qu'il osent donner le 1/5..qui était esclagiste ??

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    • #77
      Il n'y a aucune transparence au niveau du budget de fonctionnement de l'état ainsi qu'à tous les niveaux en matière de chiffre et statistiques. A partir de là on peut tout promettre.

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      • #78
        Pour faire des économies, supprimer le conseil de la nation qui, d'une part ne sert à rien (hormis, placer ses copains) et d'autre part, il entraîne à la longue un gaspillage qui se chiffre en milliards de dollars
        « Même si vous mettiez le soleil dans ma main droite et la lune dans ma main gauche je n'abandonnerais jamais ma mission". Prophète Mohammed (sws). Algérie unie et indivisible.

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        • #79
          Les algériens sont tellement écoeurés par ce pouvoir que même un cadeau généreux, le dernier avant la disette se transforme en contestation syndicale... bébé Boumboum et sa bande d'enarques, pardon de stabilocrates, habitués au KARRARNA vont bientôt morfler...

          La suppression de l’IRG suscite la colère et les critiques des travailleurs
          AP - mai 5, 2020 - 10:28

          Par Mounir Serraï – La suppression de l’Impôt sur le revenu global (IRG) pour les salaires de moins de 30 000 DA a suscité de vives critiques et la colère de nombreux travailleurs qui parlent d’une mesure «irréfléchie» et «injuste».

          En effet, le premier à soulever cette injustice, c’est le secrétaire général du Syndicat national des pressionnels du secteur de l’Education nationale (Snapest), Meziane Meriane, qui fait état d’une flagrante injustice qu’on fait subir aux catégories salariales supérieures à 30 000 DA. «Un enseignant débutant à 31 000DA risque de voir son salaire dépassé par un factotum (avec tout le respect) qui touche 29 900 DA. La logique serait de le supprimer pour tous les fonctionnaires avec un pourcentage proportionnel au salaire», souligne Meziane Meriane qui qualifie cette décision d’«irréfléchie» qui pourrait même «porter atteinte à l’échelle des valeurs».

          Ainsi, pour lui, la suppression de l’IRG pour les salaires inférieurs à 30 000 DA ne constitue nullement une solution au faible pouvoir de ceux-ci et, en même temps, elle va aggraver les injustices dans les milieux professionnels. Que faire ? Pour ce responsable syndical, il faudra repenser tout cela et aller vers un système proportionnel pour tout le monde. A cela s’ajoutera la révision du point indiciaire afin qu’il passe de 45 DA à 70 DA. D’autres commentateurs critiquent également la revalorisation du SNMG de 2 000 DA. Cette revalorisation doit toucher toutes les catégories afin d’éviter un déséquilibre entre les classes, les statuts et les niveaux de rémunération.

          D’autres intervenants proposent de faire une «réduction intelligente de l’écart des salaires». «En réalité, l’enjeu est plus prononcé entre les plus gros et les plus faibles, c’est à ce niveau qu’il faut agir graduellement», estime un autre internaute.

          La question de la justice salariale est ainsi grandement posée. Elle semble constituer l’un des axes de travail des syndicats à la fin du confinement.

          M. S.
          Othmane BENZAGHOU

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          • #80
            c’est le secrétaire général du Syndicat national des pressionnels du secteur de l’Education nationale (Snapest), Meziane Meriane, qui fait état d’une flagrante injustice qu’on fait subir aux catégories salariales supérieures à 30 000 DA.
            Qu'il est mignon !!!

            Est-il prêt à accepter la suppression de l'IRG pour tout le personnel de l'éducation nationale contre la qualification délictuelle des "cours personnels" pour lesquels ils ne paient ni impôts ni déclaration et le tout dans des conditions "pédagogiques" abjectes.

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            • #81
              Jawzia
              Est-il prêt à accepter la suppression de l'IRG pour tout le personnel de l'éducation nationale contre la qualification délictuelle des "cours personnels" pour lesquels ils ne paient ni impôts ni déclaration et le tout dans des conditions "pédagogiques" abjectes.
              Pour ces cours particuliers, il est temps que l'état intervienne pour :
              - soit mettre un terme à tout ceux qui n'ont pas d'autorisation et font ca au noir
              - soit régularise avec des conditions et un cahier de charge bien précis.

              Car pour que des enseignants continuent donner des résultats des examens à ses élèves la veille des examens, ou gonfler les notes pour ceux de sa classe, ou réduire la qualité de ses cours en classe pour obliger ses propres élèves à venir à son cours du soir, est INACCEPTABLE !
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #82
                - soit mettre un terme à tout ceux qui n'ont pas d'autorisation et font ca au noir
                Personne n'a d'autorisation ! Absolument personne et ils brassent des fortunes.

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                • #83
                  Jawzia
                  Personne n'a d'autorisation ! Absolument personne et ils brassent des fortunes.
                  Justement? C'est ce que veux dire.

                  Il faut que cette incurie cesse bon sang !

                  Le niveau dans nos écoles et lycées creuse le fond avec cette prise en otage des enfants de ce peuple.


                  Ce laissez-aller de l'état et cette anarchie dans le coprs éducatif n'a que trop duré !
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                  Commentaire


                  • #84
                    Justement? C'est ce que veux dire.

                    Il faut que cette incurie cesse bon sang !
                    Je l'avais souligné à maintes reprises.

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                    • #85
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #86
                        Les farceurs, ils nous annonçaient 50% de coupe du budget de fonctionnement... résultat des course -3% ( à voir plus finement le train de vie de l'état, et l'impact de l'augmentation de la masse salariale et les cadeaux fiscaux...) Quel foutage de gueule...

                        Le projet de Loi de finances complémentaire 2020 en chiffres

                        Algérie Eco -27 mai 2020 / 9 :40

                        Le ministre des Finances, Abderahmane Raouya, a présenté mardi le projet de loi de finances complémentaire (PLFC) pour l’exercice 2020 devant l’Assemblée populaire nationale (APN).

                        Lors d’une séance plénière présidée par le président de l’Assemblée, Slimane Chenine, en présence de membres du Gouvernement, M. Raouya a souligné que ce projet de loi « a été élaboré dans un contexte qu’on pourrait qualifier d’exceptionnel et d’inédit, marqué par la conjonction de deux facteurs majeurs, à savoir: la stagnation économique mondiale et la crise sanitaire globale sans précédent ».

                        Le projet de Loi de finances complémentaire 2020 en chiffres
                        Le projet de Loi de finances complémentaire pour l’année 2020 (PLFC 2020), présenté mardi par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya devant l’Assemblée populaire nationale (APN), propose un nouveau cadrage macro-économique et budgétaire en tenant compte du contexte national et international caractérisé par une crise sanitaire sans précédent et une baisse drastique des prix du baril de pétrole.

                        Voici les modifications apportées par le PLFC 2020 au plan des principaux agrégats et indicateurs macroéconomiques et financiers :

                        -Le prix fiscal du baril de pétrole passerait de 50 à 30 dollars tandis que le prix du marché passerait de 60 à 35 dollars.

                        -Les recettes budgétaires diminueraient à 5395,5 milliards de dinars (mds DA) contre 6289,7 mds DA dans la Loi de finances initiale 2020. La fiscalité pétrolière budgétisée dans le PLFC 2020 s’élèverait à 1394,7 mds DA alors que les ressources ordinaires se situeraient à 4001,1 mds DA.

                        -Les dépenses budgétaires se situeraient à 7372,7 mds DA, contre 7823,1 Mds DA votées dans la Loi de finances initiale. Ces dépenses se ventilent en 4752,4 mds DA en dépenses de fonctionnement et en 2620,3 mds DA en dépenses d’équipement.

                        -Les dépenses de fonctionnement (hors masse salariale et hors transferts sociaux) baisseraient de 141 Mds DA (environ -3%) soit -150 mds DA de baisse de dépenses courantes et + 9 mds DA pour couvrir l’impact de la revalorisation du SNMG.

                        -Les dépenses d’équipement baisseraient de 309 mds DA (-10,5%) en passant de 2929,7 mds DA à 2620,3 mds DA.


                        -Un déficit budgétaire de 1976,9 mds DA, soit -10,4% par rapport au PIB, contre -1533,4 mds DA prévu dans la Loi de finances initiale pour 2020 (-7,2% du PIB).

                        -Les importations de marchandise-FOB (hors services non facteurs) baisseraient, en valeur courante, de 4,7 milliards de dollars pour atteindre 33,5 milliards de dollars, alors les importations de services baisseraient, en valeur courante, de 2,3 milliards de dollars.

                        -Les exportations d’hydrocarbures devraient atteindre 17,7 milliards de dollars à la fin de l’année 2020 contre 35,2 milliards prévues dans la LF 2020.

                        – Le solde de la balance des paiements prévu pour l’année 2020 s’établirait à -18,8 milliards de dollars contre -8,5 milliards prévu dans la Loi de finances initiale pour 2020.

                        – Le solde du Trésor devrait atteindre -2954,9 mds DA, représentant -15,5% du PIB dans le PLFC pour 2020, contre -2435,6 mds DA prévu dans la LF initiale pour 2020 (–11,4% du PIB).

                        -La croissance économique prévue dans le PLFC, serait négative, elle s’établirait à -2,63% contre 1,80% prévue dans la loi de finances initiale.

                        – La croissance économique hors hydrocarbures se situerait à -0,91% contre 1,78% dans la loi de finances initiale.

                        Les principales mesures législatives proposées dans le PLFC2020
                        -Augmentation de la taxe sur les produits pétroliers (TPP) ou assimilés de 3 dinars/litre pour les trois catégories d’essence et de 5 dinars/litre pour le gasoil.

                        – Augmentation de la valeur de la taxe (timbre) appliquée aux transactions de véhicules neufs.

                        – Remplacement de l’impôt sur le patrimoine par l’impôt sur la fortune, avec élargissement du champ des personnes auxquels il sera imposé et l’augmentation de sa valeur selon un barème progressif. Le taux actuel fixé à 0,1% sur tout patrimoine dont la valeur dépassait 100 millions de DA sera remplacé par un barème progressif avec un taux de 0,15% pour le patrimoine dont la valeur variée entre 100 et 150 millions de DA, de 0,25% pour le patrimoine dont la valeur variée entre 150 et 250 millions de DA, de 0,35% pour le patrimoine dont la valeur variée entre 250 et 350 millions de DA et de 0,5% si la valeur du patrimoine variée entre 350 et 450 millions de DA.

                        – Reconduction, jusqu’à 2025, de l’abattement de 50% en matière d’IRG et d’IBS, au profit des revenus réalisés dans les régions du Sud, et ce à compter du 1er juin prochain.

                        – Réorganisation et reformulation du régime de l’Impôt forfaitaire unique (IFU), en annulant le régime de la déclaration contrôlée pour les métiers non commerciaux, à l’instar des avocats.

                        – Exonération totale de l’IRG pour les revenus n’excédant pas 30.000 DA par mois applicable à compter du 1er juin prochain.

                        – Révision du seuil du SNMG passant de 18.000 DA à 20.000 DA au bénéfice des bas revenus. Cette mesure prend effet à compter du 01 juin prochain.

                        – Suppression de la règle de répartition du capital social 49/51%, à l’exclusion des activités d’achat et revente de produits et celles revêtant un caractère stratégique.

                        – Annulation du droit de préemption de l’Etat, sur toutes les cessions d’actions ou de parts sociales réalisées par ou au profit d’étrangers, prévu dans le LFC 2010 et la loi 16-09 relatifs à la promotion de l’investissement.

                        – Annulation des dispositions obligeant le financement des investissements étrangers par recours aux financements locaux.

                        – Instauration d’un nouveau régime préférentiel visant à relancer les industries mécanique, électronique et électrique, à travers des exonérations fiscales et l’exemption des droits de douane, mais en écartant les collections destinées à l’industrie de l’assemblage et montage automobiles (CKD).

                        – Exonérations des droits de douane et de la taxe sur la valeur ajoutée, pour une période de deux (02) ans renouvelable, pour les composants et matières premières importés ou acquis localement par les sous-traitants.

                        – Autorisation des concessionnaires automobile à importer des véhicules neufs mais avec un nouveau barème des droits de douanes et augmentation des taxes sur les véhicules neufs.

                        – Introduction de nouvelles incitations au profit des start-ups.

                        – Transfert de la propriété des locaux réalisés, à titre gracieux, dans le cadre de l’Agence national de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) vers le patrimoine privé des communes en vue de leur exploitation et la garantie de leur attractivité économique.

                        – Introduction des mesures d’aide exceptionnelles destinées aux secteurs économiques face à la pandémie de Covid-19 et prolongation des délais des déclarations fiscales et douanières pour les entreprises.

                        – Révision à la baisse du montant minimum en devises soumis à la déclaration douanière de 5.000 euros à 1.000 euros.

                        APS
                        Dernière modification par ott, 20 juin 2020, 06h55.
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #87
                          Quand c'est Le Figaro qui rapporte cette info il faut le croire ou pas?
                          Voyons ! C'est évident que c'est une main étrangère qui veut déstabiliser l'Algérie

                          Alger n'a pas encore contesté et rappeler son ambassadeur qu'elle vient de renvoyer à la capitale des lumières chère aux épouses des dignitaires pour les courses des WE ? étonnant

                          Le pauvre ! il va faire des aller/retour pendant le mandat de Tebboune le sauveur de la novembria-badissiya-zdimouhiya.
                          Dernière modification par democracy, 20 juin 2020, 09h36.

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                          • #88
                            Un constat implacable sur ce que nous bassinaient les adeptes de "l'Algérie Nouvelle"... que de temps de perdu...



                            Othmane BENZAGHOU

                            Commentaire

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