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Bachi, au delà des résultats scienntifiques, il y a effectivement un malaise au sein de la communauté universitaire. Ce n'est pas du aux moyens mais plutot que les pouvoirs publiques rendent aux scientifiques la place qui leur revient de droit.
Je crois non plus que c'est la faute aux scientifiques !! ceux là n' atendent que l 'occaison de faire des recherches !!
C'est surtout des moyens qui est la cause et l'inexistance d'une plate forme journalistique pour couvrir les activités scinetifiques !
A titre d'Exemple: Combnen y a t-il donc de journals ou de magazines specialisés ???
Un autres probleme est que la recherche est limitée uniquement a l'université avec ses modestes moyens alors que l'industrie quan a elle ( le vrais moteur de rechrche aileurs) n'en pensent meme pas hormis quelques compagnies bien sûr !!
J'ai lu quelques part que l' Algerie aussi a projeter de reserver 1 % du PIB pour la recherche ! je sais pas ce qu'il en est sur le tearrain !!
Tizi
Ce n'est pas une question de moyens matériels. Je ne connais pas beaucoup d'université européenne disposant d'un réseau intranet en wireless. Nous l'avons.
Le problème est de remettre l'enseignant/chercheur à la place qui lui revient de droit dans l'echelle des valeurs.
Quant à la recherche privée ou la relation université- secteur industrielle, crois moi, c'est un large débat qui dépasse l'universitaire (très souvent). J'ai eu l'occasion (je l'ai toujours) de collaborer avec des collègues Marocains et Tunisiens, ils m'ont fait (sur l'impact de la recherche universitaire sur le secteur industriel) le même constat.
concernant le budget de la recherche fixé à 1% du PIB, une loi adoptée par le parlement le stipule. Nous n'y sommes pas encore arrivé. Nous tournons à la moitié à peu près.
Dernière modification par jawzia, 04 novembre 2006, 15h40.
Moi j'ai apprit une chose a la fac , il faut compter sur moi même.
faut faire des recherches , ne pas se limiter a ce que les profs nous donnent
on a le net hamdouleh,c'est a nous de bosser de faire des recherches si on veut réussir
ils nous aident , nous orientent mais c'est a nous de détailler , on es plus au college ou au lycée
Bachi, au delà des résultats scienntifiques, il y a effectivement un malaise au sein de la communauté universitaire. Ce n'est pas du aux moyens mais plutot que les pouvoirs publiques rendent aux scientifiques la place qui leur revient de droit.
Donc, les chercheurs ne sont pas valorisés par les pouvoirs publics...
Je crois ( de ce que j'ai constaté à l'université de Biskra) que c'est effectivement un problème.
J'ai constaté aussi qu'il y a un manque évident d'équipements, des budgets presque inexistants...Ceci pour les moyens matériels.
En ce qui concerne l'effort des chercheurs eux-mêmes, j'ai constaté une absence de cohésion entre les chercheurs d'un même département, une absence de travail d'équipe, et encore moins de travail multidisciplinaire.
Je ne leur reproche, quant à moi, rien du tout.
C'est balbutiant, ils font avec les moyens du bord.
Je suis convaincu qu'avec le temps, et un peu plus de reconnaissance et de moyens, ils parviendront à faire beaucoup mieux.
Dernière modification par Bachi, 04 novembre 2006, 16h03.
ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
Donc, les chercheurs ne sont pas valorisés par les pouvoirs publics...
De deux choses l'une:
1. Y a ceux qui s'investissent dans leur travaux de recherches et en tirent beaucoup de satisfaction personnelle.
2. Y a ceux qui, en plus de leurs charges pédagogiques recherchent un gain pécunier complémentaire. Les uns s'autoproclamant "consultants", d'autres faisant de l'expertise pour des etablissements privés ou d'état (comme la justice, la direction des domaines, expertise pour les assurances...). Je ne donne que les exemples "pas avilisants" de la fonction d'universitaire.
Malheuresement les seconds sont plus nombreux que les premiers.
Tout a fait vrai Jawzia. Un point très important semble être négligé chez nous : le problème d’organisation, les moyens technologiques même s’ils existent-ils sont mal employés (un simple exemple, on trouve le secrétaire qui dispose de tout et pas le scientifique…). C’est aussi un problème de priorités.
"Le Travail d'équipe" ou "équipe multidisciplinaire regroupant plusieurs branches" soulevé par Bachi, tres exacte... cela est rare. Mais les séminaires et les journées d'études sont organisées dans le but de faire rencontrer ceux qui s'intéressent aux mêmes objectifs (études). C'est pourquoi ces initiatives doivent être intensifiées
"Le Travail d'équipe" ou "équipe multidisciplinaire regroupant plusieurs branches" soulevé par Bachi, tres exacte... cela est rare. Mais les séminaires et les journées d'études sont organisées dans le but de faire rencontrer ceux qui s'intéressent aux mêmes objectifs (études). C'est pourquoi ces initiatives doivent être intensifiées
Entièrement d'accord.
Bien que Rome ne s'est pas faite en un jour.
Je veux juste montrer (convaincre serait encore mieux) que la recherche scientifique (et par ricochet, que le transfert technologique -pour faire un clin d'oeil à un autre sujet) ce n'est pas le vide sidéral.
Le 1% pour la recherche ils le donnet peut être mais il mettent dedans les salaires des enseignants chercheurs des travailleurs d'université la gestion de l'université. c'est le reliquat qui sert soit disons proprement à la recherche. Voilà le discours politique en Algèrie.
A
“The need to impress others causes half the world's woes. Don't add to them. Be real, not impressive." Vernon Howard
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