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Les gens d'Oran II

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  • #61
    l'accent du mec en chapeau m'a fait mal aux oreilles , il a exagéré




    sinon pour réponde à la vidéo, pour moi Oran comme elle st maintenant sans même être rénovée reste pour moi la plus belle ville d'Algérie
    Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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    • #62
      Sbah el kheir!

      Mouhim fel vidéo galkom قمة مرماجو
      Dernière modification par sonett, 08 décembre 2019, 10h07.

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      • #63
        alloo allooo fawtoulii mdinaaa jdidaaaa allooo allooo
        Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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        • #64
          Bonne année 🎊 Saha yennayer

          Haka smahtou fe les gens d’Oran ?!

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          • #65
            we samhou fih
            Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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            • #66
              Hi Evi' et gaa les oranais.


              Sonettaaaaaaaaaaaaaa waouuuuuh ça fait bizarre de te revoir
              J'espère que tu vas bien, contente de te lire, kissou, si tu repasses par là.
              Ou pas !
              Osef

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              • #67
                Kirakom lwahraniète wa lwahraniine ? kighadi tfewtou essahrat n'ta3 ramdane m'3aa l'corona wa tebla3 ?

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                • #68
                  Bonjour bnate we wlad Wahran

                  Un texte d'un ami architecte sur le Marché Michelet:
                  Le marché Michelet est un drôle de marché !
                  Porte de l’Est.
                  Des femmes ou ce qui en reste, obstruent l’accès du temple. Spectacle étrange. Une plaque qui annonce une «Société d’Histoire et de Géographie». Quelle société? Quelle Histoire? Et quelle Géographie ? Serait-ce cette petite troupe de presque vieux qui, de mercredi à mercredi discutent âprement sur le trottoir? Échangeant force salamalecs entrecoupés de tirades sur l’Émir Abdelkader.

                  Le manège incohérent de femmes de ménage et autres femmes… de ménage n’en a cure, ni ce rat qui dort. Mort.

                  C’est le matin. Tôt. Un couple de jeunes collégiens se faufile déjà dans la cour de l‘Antinéa qui abritera leur école buissonnière, leurs premiers baisers et premières cigarettes.

                  Un jeune vendeur de cigarettes qui, par la grâce d’un papier communal, n’est plus à la sauvette, s’est adjugé un coin. Il fut «Table à cigarette» puis «roulotte» pour enfin «s’enluminer» d’aluminium lui aussi.

                  La façade est d’Est mais sans soleil. L’Antinéa est bien trop haut.

                  Façade Nord
                  Prisonniers entre deux caissons d’aluminium et de vitres brisées qui furent cabines téléphonique avant d’être téléphoniquées; les marchands de fleurs ont déjà lavé leur morceau de trottoir.

                  Un fou pas fou et un marchand de pépites (l’Emploi des Jeunes qu’ils disent…), se disputent la place.

                  Ce grand gaillard, pas agressif quoiqu’en laisse penser son regard illuminé, ses cheveux hirsutes et, de temps en temps, une gestuelle incohérente quand passent les jeunes ou de moins jeunes filles, a marqué son territoire, mural, par de beau dessins.
                  Le mur fraîchement repeint est pratique pour l’énergumène qui l’utilise comme tableau. S’y étale des pensées fantasques, Des dessins aux courbes sensuelles. Les références bibliques des pensées plutôt misogynes faisant bon ménage.

                  Façade Sud
                  Adossées au mur du collège, les clochards clochardisent. Chassent la cigarette ou la pièce de dix dinars. Ils ne prétextent plus de surveiller les voitures, ce rôle ayant été accaparé par une armée de gosses emmatraqués.


                  Couvée déjà par l’œil concupiscent de quelques mâles ringards en quête d’amour à peu de frais, une petite fille brune et osseuse a la tête fourrée dans un sachet en plastique. Tout à l’heure, elle errera, titubante sous l’effet de la colle qu’elle aura inhalé à longueur de journée.

                  Une partie des femmes de ménage s’est assemblée là. Il y a eu sécession. Les plus vieilles, plus sérieuses ou moins belles râlent contre le sort et vitupèrent contre «ces filles de rien qui déshonorent le métier et portent atteinte à leur réputation…»

                  Ce qui reste est occupé par un tas d’immondice en attente d’un camion de l’A.P.C qui tarde à venir.

                  Un vieux monsieur triture les ordures déniche une vieille valise et délicatement y installe une portée de chatons.
                  Absorbé par sa tâche.
                  Amine Si Youcef (architecte)
                  Juin 2005

                  "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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                  • #69
                    ALLO
                    Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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                    • #70
                      Le temps passe vite.

                      Trigue Lycee


                      Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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                      • #71
                        [IMG]https
                        Dernière modification par Humain, 01 octobre 2020, 10h46.

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                        • #72

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                          • #73
                            C'est le boulevard Joffre , aujourd'hui bd Maata , mais il y a quelque chose d'étrange sur cette photo ! ! ! L'as tu remarqué ?

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                            • #74
                              Je ne sais pas du tout, ça fait des années que je ne suis pas revenue à Oran.

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                              • #75
                                Le bd est étrangement vide, il est tous les jours y compris les weekend et les jours fériés archi plein de monde et la circulation des véhicules y est très intense , du pare choc contre pare choc .

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