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Comment Gilead a caché la dangerosité de son médicament anti-covid

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  • Comment Gilead a caché la dangerosité de son médicament anti-covid

    Cher(e) ami(e) de la Santé,

    Dans ma dernière lettre, j’ai commencé à vous raconter l’incroyable histoire du « match » entre le remdésivir et la chloroquine, entre le laboratoire Gilead et l’IHU du Pr Raoult, entre Big Pharma et la médecine de bon sens.

    L’affaire est passionnante, sidérante mais aussi très grave.

    Car Big Pharma et Gilead viennent de gagner la première manche.

    Il y a quelques jours, ils ont obtenu l’autorisation de mise sur le marché de leur médicament hors de prix, le remdésivir.

    Ce médicament a beau être toxique et globalement inefficace, c’est désormais le seul traitement autorisé contre le Covid-19 en France, en Suisse, dans l’Union européenne en général et aux Etats-Unis.

    Cela veut dire que vous risquez désormais de recevoir des injections intra-veineuses de ce médicament, si vous avez le malheur d’être infecté et hospitalisé pour le Covid-19.

    Pendant ce temps, en Inde, en Chine, en Corée du Sud, au Maroc, en Algérie, au Brésil et dans beaucoup d’autres pays, la plupart des médecins soignent leurs malades avec le protocole du Pr Raoult ou des traitements naturels, avec des résultats très satisfaisants.

    Mais dans le monde médical, depuis janvier dernier, tout a été fait pour dénigrer l’hydroxychloroquine à 5 euros la boîte…

    …et tout a été fait pour pousser le remdésivir, à 2 000 euros le traitement.

    La semaine dernière, je vous ai raconté comment les dés ont été pipés en faveur du remdésivir de Gilead dès le départ.

    En France, ce médicament a été recommandé par le Haut Conseil à la Santé publique dès le 5 mars dernier, alors qu’on n’avait pas le moindre début de preuve de son efficacité.

    Trois semaines plus tard, nos autorités interdisaient aux médecins de ville de prescrire l’hydroxychloroquine, alors que c’était un médicament aux résultats prometteurs et aux effets indésirables parfaitement maîtrisés !

    C’est totalement absurde et condamnable.

    Car le remdésivir est un médicament inefficace… et très toxique :

    INEFFICACE : même ceux qui sont payés par Gilead le reconnaissent !
    C’est la Pr Karine Lacombe qui l’a avoué devant la commission parlementaire de l’Assemblée Nationale le 25 juin dernier : le remdésivir ne sauve pas de vies.

    On peut être sûr qu’elle dit la vérité sur ce point, car Karine Lacombe a touché des sommes énormes de Gilead et d’autres laboratoires pharmaceutiques comme Abbvie.

    Pour vous dire à quel point cette experte est biaisée en faveur du remdésivir depuis le début, voici ce qu’elle avait expliqué à la télévision le 24 mars dernier :

    « On a mis en place beaucoup plus rapidement que prévu les essais qu’il fallait et on montrera très rapidement que la chloroquine ne marche pas et que d’autres marchent »[1].

    Contre toute évidence à l’époque, elle était certaine que la chloroquine ne « marcherait pas »… et elle était tout aussi certaine d’autres médicaments seraient efficaces… le remdésivir et le Kaletra, des médicaments produits par Gilead et Abbvie, qui sont des laboratoires dont elle a touché de l’argent !

    Mais… patatras, ces deux médicaments se sont révélés inefficaces.

    Devant la commission parlementaire, Karine Lacombe a été obligée de le reconnaître :

    « Malheureusement, nous n’avons pas encore de traitement ayant fait ses preuves chez les patients montrant des signes de gravité, c’est-à-dire nécessitant une hospitalisation »[2].

    Elle a précisé que le remdésivir pourrait réduire la durée d’hospitalisation, mais en reconnaissant que ce n’est pas une grande avancée :

    « En tant que clinicienne, garder le patient à l’hôpital cinq jours de plus ne me gêne pas, s’il guérit.

    Ce qui m’importe, c’est de savoir si la molécule a un effet sur la mortalité. Or à ce jour les données publiées ne montrent pas d’effet du remdésivir sur la mortalité. »

    Et en effet, en plus de Discovery, deux grandes études ont conclu à son inefficacité : une étude chinoise publiée dans The Lancet [3] fin avril, et une étude américaine publiée dans le NJEM[4]fin mai.

    Pour les médecins qui ont gardé un peu de bon sens, c’était parfaitement prévisible.

    Car le remdésivir est un anti-viral, et les anti-viraux ne fonctionnent que lorsqu’ils sont donnés très tôt, dès le début de l’infection.

    « Nous le savons depuis la grippe : le Tamiflu, mis au point par Gilead, n’est efficace que pendant les deux premiers jours », avait rappelé le Pr Raoult devant la même commission d’enquête[5].

    Peut-être que le remdésivir pourrait être efficace si on le donnait aux patients au tout début de l’infection.

    Mais c’est impossible en pratique, car il doit être injecté en intra-veineuse, donc à l’hôpital.

    Et surtout, il serait fou de le donner à des patients très tôt, donc à des patients « peu malades », car c’est un médicament extrêmement toxique :

    TOXIQUE : c’est évident mais ils ont tout fait pour le cacher !
    Depuis les premiers essais cliniques du remdésivir sur Ebola, on sait que ce médicament est toxique pour les reins.

    Tout récemment, une étude française en a donné une illustration spectaculaire.

    Cette étude a décrit ce qui est arrivé à des patients gravement malades et traités par remdésivir à l’hôpital Bichat à Paris[6].

    Sur 5 patients qui ont reçu ce médicament :

    2 patients ont eu une insuffisance rénale grave, à tel point qu’ils ont dû recevoir une transplantation rénale ;
    2 autres patients ont dû arrêter le traitement car l’état de leur foie était en train de se dégrader rapidement.
    Donc 80 % des patients ont dû arrêter le remdésivir pour cause d’effet indésirable grave… et la moitié d’entre eux ont dû recevoir un nouveau rein !

    Et c’est ce traitement que l’Union européenne, les États-Unis et la France viennent d’autoriser contre le Covid-19 !!!

    En Inde, un responsable du Ministère de la Santé s’est aussi inquiété récemment des dégâts du remdésivir :

    « Nous avons reçu de multiples rapports d’hôpitaux publics et privés de patients traités par remdésivir et ayant souffert d’élévation de marqueurs sanguins qui peuvent conduire à une insuffisance rénale »[7].

    Mais Gilead a réussi à masquer les effets secondaires dans son étude « phare » parue dans le NJEM – l’étude qui a conduit les autorités de santé à autoriser le remdésivir.

    Maquiller les effets indésirables est un grand classique de Big Pharma – je vous avais raconté comment des « experts » achetés par l’industrie pharmaceutique avaient maquillé les tentatives de suicide causées par le Prozac, en évitant soigneusement de les mentionner dans leur rapport, et en parlant à la place de « cas de surdose de médicament »[8].

    Dans le cas du remdésivir de Gilead, c’est le détective Raoult qui a découvert le pot-aux-roses.

    Dans une vidéo publiée le 6 juin dernier, il explique comment l’étude « phare » sur le remdésivir a pu conclure à son absence d’effets indésirables sérieux[9] :

    « Dans les effets secondaires, les auteurs de l’étude font un truc que j’ai jamais vu, ils mélangent l’insuffisance rénale avec la constipation et la nausée.

    Quand vous comparez le groupe placebo avec le groupe qui a eu du remdésivir, il n’y a pas de différence significative quand vous additionnez tous ces effets secondaires.

    Mais il y a une différence significative quand vous ne prenez que l’insuffisance rénale – plus nombreuses dans le groupe remdésivir évidemment. »

    C’est sidérant non ?

    Grâce à un tour de passe-passe statistique, les auteurs de l’étude peuvent conclure qu’il n’y pas de différence significative entre le nombre d’effets indésirables du groupe placebo et celui qui a reçu le remdésivir…

    …alors que quand on creuse les chiffres, on voit que le médicament a causé davantage d’insuffisances rénales, ce qui est très grave !

    C’est la preuve, une fois de plus, que des experts biaisés ou de mauvaise foi peuvent faire dire ce qu’on veut aux chiffres.

    Et c’est exactement ce qui s’est passé « pour » le remdésivir et « contre » la chloroquine.

    Pourquoi, comment ? Quel était leur intérêt ?

    Ces experts ont-ils été « achetés » par Big Pharma ?

    Existe-t-il encore des experts impartiaux ? A qui peut-on encore faire confiance ?

    Je répondrai à ces questions dans ma prochaine lettre !

    Bonne santé,

    Xavier Bazin
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    la chloroquine le traitement est a 0,10 euro le remdésivir est a 800 euro le traitement
    le lobby de industrie pharmaceutique a pas lâcher le gâteaux
    Les experts médecins tous des mafieux du conseils scientifiques chargés d'éclairer Emmanuel Macron pendant la crise du coronavirus ont touché 450.000 euros des firmes pharmaceutiques

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    • #3
      malheureusement c est la regle,les labos ont infiltre les cercles du pouvoir et peuvent vendre tout et n importe quoi.
      beaucoups d hommes politiques meme en europe sont corrompus par ces labos.

      Commentaire

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