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Les Arabes et la découverte de l'amérique

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  • #16
    On the 8th of March, 1421, the largest fleet the world had ever seen sailed from its base in China. The ships, huge junks nearly five hundred feet long and built from the finest teak, were under the command of Emperor Zhu Di’s loyal eunuch admirals. Their mission was ‘to proceed all the way to the end of the earth to collect tribute from the barbarians beyond the seas’ and unite the whole world in Confucian harmony. The journey would last over two years and circle the globe.

    When they returned Zhu Di lost control and China was beginning its long, self-imposed isolation from the world it had so recently embraced. The great ships rotted at their moorings and the records of their journeys were destroyed. Lost was the knowledge that Chinese ships had reached America seventy years before Columbus and circumnavigated the globe a century before Magellan. They had also discovered Antarctica, reached Australia three hundred and fifty years before Cook and solved the problem of longitude three hundred years before the Europeans…”

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    • #17
      Quelques données historiques sur l'art de la navigation maritime dans le monde musulman, présentées par le professeur Ahmed Djebbar, historien des sciences:

      "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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      • #18
        Envoyé par katiaret
        @ AMOKRANE15100
        le génies maritimes du nord Afrique existe depuis l'antiquité berbères et Égyptienne

        des Pétroglyphes Égyptien sont découvert en Australie et ile de Indonésie dans les océan indienne
        Ils n'ont pas trouvé nos pétroglyphes berbères

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        • #19
          Histoire Secrète :La découverte de l'Amérique par les Musulmans avant Christophe Colomb

          La meilleure preuve de la présence africaine en Amérique avant Christophe Colomb vient de la plume de Colomb lui-même. En 1920, un célèbre historien et linguiste américain, Leo Weiner de l’Université Harvard, dans son livre, l’Afrique et la découverte de l’Amérique, a expliqué comment Colomb nota dans son journal que les Amérindiens avaient confirmé que « les personnes à peau noire étaient venus le sud- est dans les bateaux, la négociation dans lances à bout doré. «

          Un des premiers cas documentés d’Africains qui voyagèrent et s’installèrent dans les Amériques étaient Egyptiens noirs conduit par le roi Ramsès III, lors de la 19e dynastie en 1292 en Colombie-Britannique. En fait, en 445 avant JC, l’historien grec Hérodote a écrit un grand marin des pharaons de l’Egypte ancienne et les compétences de navigation. Une autre preuve concrète, a souligné le Dr Imhotep et largement ignoré par les archéologues euro-centriques, comprend « artefacts égyptiens trouvés en Amérique du Nord dans les écrits des Algonquins de la côte Est à les artefacts et les noms de lieux égyptiens dans le Grand Canyon. »

          En 1311 après JC, une nouvelle vague d’exploration de l’Afrique vers le Nouveau Monde a été conduit par le roi Abubakari II, au milieu du XIVe siècle Empire du Mali, qui était plus grand que le Saint Empire romain germanique. Le roi envoya 200 navires des hommes, et 200 navires de matériel du commerce, les cultures, les animaux, le tissu et la connaissance cruciale de l’Afrique de l’astronomie, la religion et les arts..
          Saviez-vous que plus de 500 lieux en amérique portent des noms de racine arabe?
          Qu'il y avait des tribus amériendiennes dont les femmes portaient le voile ! Qu'un chef amérindien Cherokees s'appellait Ramadhan Ibn Wati?
          Qu'un Algérien, nommé Salem, fils d'une famille royale d'Alger du 18 ème siècle fu pris comme esclave par les Espagnols et amené en Amérique et a vécu parmi une tribu amérindienne de l'état de Virginie? etc...

          La théorie selon laquelle il y aurait eu des musulmans en Amérique avant les conquistadors n'est pas nouvelle.

          Il est déja évident que Colomb ne fut pas le premier navigateur de l'ancien monde ayant mis les pieds en amérique: L'histoire des vikings est déja connu, mais moins connu, des navigateurs du royaume du mali, envoyé par le roi abou bakar II, ont déja traversé l'atlantique.

          De même il est permis de penser, puisque Colomb aurait utilisé des cartes établis par les andalous musulmans, que ceux ci l'auraient précédé.

          Témoins de la présence de musulmans, il semblerait que la ville de Mecca dans l'Indiana viendrait du nom de Mecca en arabie. De meme pour Medina dans l'Ohio, le texas...
          Ces noms sont d'origine amérindienne, et non institué par les colons.
          Pour la plupart des musulmans et non-Musulmans d'aujourd'hui, ce type d'information est inconnu et n'a été jamais mentionné dans n'importe lequel de ces livres d'histoire.
          Il y a beaucoup de documents, traités, législation et résolutions qui ont été passées entre 1600s et 1800s qui prouvent que les musulmans étaient en fait ici et étaient très en activité dans les communautés dans lesquelles ils ont vécu.
          Traités tels que la paix et l'amitié qui a été signée sur le fleuve du Delaware dans l'ours de l'année 1787 les signatures d'Abdel-khak et de Muhammed Ibn Abdullah.

          Ce traité détaille notre droite continue à existent en tant que communauté dans les secteurs du commerce, maritime, embarquant, forme courante de gouvernement à ce moment-là qui était accord de I avec l'Islam. Selon une affaire en jugement fédérale du congrès continental, nous aidons avons mis le souffle de la vie dans la constitution nouvellement encadrée.
          Tous les documents sont actuellement dans les archives nationales aussi bien que la bibliothèque du congrès.

          Si vous avez accès aux disques dans l'état de la Caroline du Sud, lisez amarre la Loi diverse de 1790.
          Dans un futur article, Inshallah, j'entrerai dans plus de détails au sujet des diverses tribus, leurs langues; dans ce que certains sont influencés par l'Arabe, Persan, presque tout le vocabulaire de tribus incluez le mot "Allah" que le code traditionnel de robe pour les femmes indiennes inclut le kimah et les longues robes.
          Pour les hommes, le prix standard est des turbans et de longs dessus qui descendent aux genoux.
          Si vous deviez regarder un quelconque des vieux livres sur l'habillement Cherokee vers le haut jusqu'à la période de 1832, vous verrez les hommes porter des turbans et les femmes portant de longues bâches principales. Le dernier chef Cherokee qui a eu un nom musulman était Ramadan Ibn Wati du Cherokee en 1866.
          dz(0000/1111)dz

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          • #20
            Au passage veuillez noter la ressemblance physique de certains hispaniques avec les maghrébins...
            J'aime surfer sur la vague du chaos.

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            • #21
              Le dernier chef Cherokee qui a eu un nom musulman était Ramadan Ibn Wati du Cherokee en 1866.
              __________________
              oui, en effet...
              et Hitler était musulman et en secret, on l'appelait el 7aj Abdallah hitler.
              et Armstrong, celui a marché sur la lune, en fait était un basané d'Ain el nemmel du sud d'Algérie.

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              • #22
                @ AMOKRANE15100
                Ils n'ont pas trouvé nos pétroglyphes berbères
                Voila a quoi ressemble les route du commerce de l'huile d'olive et vin entre la gaule et Rome dans la méditerranée


                maintenant c'est a vous d’imaginée comment les romaine transporte le blé Berbères et le vin et le safran ,les pot de cuire de l'océan atlas jusqu'a Rome par bateaux ....
                Les Colonnes d'Hercule ou Colonnes d'Héraclès est le nom donné, dans l'Antiquité classique, aux montagnes qui bordent le détroit de Gibraltar. Il s'agit du rocher de Gibraltar1 (Calpe en latin) au nord, sur la rive européenne, et du mont Abyle (Mons Abyla), aujourd'hui djebel Musa, sur la rive marocaine. Pour les Romains, elles symbolisaient la frontière entre le monde civilisé (Mare nostrum) et un au-delà océanique inconnu et dangereux.

                les premier phase de l'évolution des bateaux
                Préhistoire ...bateaux de la Néolithique en suite bateaux de l'age du bronze puis bateau Antiquité

                Antiquité
                Les Égyptiens, il y a 5000 ans, ont déjà une parfaite maîtrise de la construction des voiliers, dont on a retrouvé un exemplaire remarquable, la célèbre barque solaire, devant la pyramide de Gyzeh.
                La barque, en bois de cèdre, à bordage cousu, mesure 43,5 m de long, sa proue s'élève à 5 m et sa poupe à 7 m. Si cette barque est un outil de culte funéraire, il est évident qu'elle a été construite par simple copie des techniques alors maîtrisées par les égyptiens. Selon les dernières études réalisées, il semble très probable que ce voilier ait été théoriquement capable de remonter au vent, et de naviguer en haute mer, mais la démonstration grandeur nature reste à faire.
                Les Égyptiens savent déjà à l'évidence naviguer autant sur le Nil qu'en mer.
                Le pharaon Sésostris III (1878 av. J.-C. - 1839 av. J.-C.) fait creuser un canal dirigé d'ouest en est à travers le Wadi Tumilat, ancêtre du canal de Suez, faisant se joindre le Nil et la mer Rouge. D'après Hérodote,
                les Égyptiens réalisent vers 600 avant notre ère une première circumnavigation de l'Afrique.

                S'inspirant des techniques égyptiennes, les Phéniciens et les Grecs achèvent progressivement de maîtriser la navigation en mer à bord des trières, explorent puis colonisent toute la Méditerranée à bord de leurs navires.
                Ptolémée Ier fait construire pour guider les marins le Phare d'Alexandrie. Mais la plupart du temps, ceux-ci font du cabotage, et ne s'aventurent que rarement hors de vue des côtes.
                Leurs navires ont principalement une fonction de commerce et de transport de personnes, bien qu'ils ne dédaignent pas les utiliser parfois pour faire la guerre. Mais le navire reste alors un simple moyen de transport, permettant éventuellement l'utilisation d'armes de jet pour affaiblir l'adversaire avant l'abordage du navire ennemi.

                Vers 340 av. J.-C., un scientifique et explorateur grec de Massalia, Pythéas, franchit à bord de son navire les colonnes d'Hercule (détroit de Gibraltar), remonte les côtes de la Gaule, accoste en Bretagne (l'actuelle Angleterre), passe les Orcades et, poussant plus au nord, atteint un pays nommé Thulé qu'il ne peut dépasser, bloqué par la banquise. Pythéas rapporte de son voyage la preuve de la rotondité de la terre, ce que la majorité des astronomes de l'époque supputent.
                Ses mesures de latitude, à l'aide d'un gnomon, sont d'une précision étonnante pour l'époque. Aristote l'a démontré indirectement à la fin du vie siècle av. J.-C. par le calcul, Pythéas le confirme par un relevé des positions stellaires, et par la mesure des durées diurnes et nocturnes.
                Flotte vénète
                Selon Jules César, les navires vénètes étaient supérieurs à ceux des Romains : leurs carènes étaient plus plates et étaient donc plus adaptées aux hauts-fonds et aux reflux.
                Les proues et les poupes étaient très relevées ce qui leur permettait de naviguer plus facilement par gros temps et par tempête.
                Les bateaux étaient en bois, les ancres étaient retenues par des chaînes et les voiles étaient faites à partir de peaux.

                En outre, ils étaient plus grands et plus massifs que les navires romains et leurs coques étaient si solides qu’elles résistaient parfaitement à leurs coups d’éperons. Leurs bords étaient également plus hauts, ce qui protégeait les soldats des tirs des Romains, qui eux-mêmes étaient en position vulnérable, enfin ces hauts bords rendaient difficile un abordage de l’ennemi.

                Cette description des navires vénètes est la seule description contemporaine à la Guerre des Vénètes qui nous soit parvenue :

                « Les vaisseaux des ennemis étaient construits et armés de la manière suivante : la carène en est un peu plus plate que celle des nôtres, ce qui leur rend moins dangereux les bas-fonds et le reflux ; les proues sont très élevées, les poupes peuvent résister aux plus grandes vagues et aux tempêtes ; les navires sont tout entiers de chêne et peuvent supporter les chocs les plus violents.
                Les bancs, faits de poutres d'un pied d'épaisseur, sont attachés par des clous en fer de la grosseur d'un pouce ; les ancres sont retenues par des chaînes de fer au lieu de cordages ; des peaux molles et très amincies leur servent de voiles, soit qu'ils manquent de lin ou qu'ils ne sachent pas l'employer, soit encore qu'ils regardent, ce qui est plus vraisemblable, nos voiles comme insuffisantes pour affronter les tempêtes violentes et les vents impétueux de l'Océan, et pour diriger des vaisseaux aussi pesants.
                Dans l'abordage de ces navires avec les nôtres, ceux-ci ne pouvaient l'emporter que par l'agilité et la vive action des rames ; du reste, les vaisseaux des ennemis étaient bien plus en état de lutter, sur ces mers orageuses, contre la force des tempêtes.
                Les nôtres ne pouvaient les entamer avec leurs éperons, tant ils étaient solides ; leur hauteur les mettait à l'abri des traits, et, par la même cause, ils redoutaient moins les écueils. Ajoutons que, lorsqu'ils sont surpris par un vent violent, ils soutiennent sans peine la tourmente et s'arrêtent sans crainte sur les hauts-fonds, et, qu'au moment du reflux, ils ne redoutent ni les rochers ni les brisants ; circonstances qui étaient toutes à craindre pour nos vaisseaux. »
                Dernière modification par katiaret, 19 septembre 2019, 03h42.
                dz(0000/1111)dz

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                • #23
                  comment les éléphants d’Hannibal ont'il arriver en Numidie et comment ils ont traverser la mèr de Gibraltar vert l'îles ibérique
                  Dernière modification par katiaret, 18 septembre 2019, 23h18.
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #24
                    Le dr Aid Al Yahia fait une émission historique archéologique sur les arabes qui s'appelle Sur les Pas des arabes, une très belle émission :

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                    • #25
                      Une épave romaine dans le port antique d'Antibes

                      Une équipe d'archéologues de l'Inrap fouille actuellement une partie du port antique d'Antibes.
                      Ces recherches, menées à l'occasion de la construction d'un parking souterrain porté par la société QPark, viennent de mettre au jour une épave romaine.
                      Conservé sur plus de 15 m de long, le bateau est couché sur le flanc.
                      Une équipe d'archéologues de l'Inrap fouille actuellement une partie du port antique d'Antibes (Alpes-Maritimes).

                      Ces recherches, réalisées sur prescription de l'État (Drac Provence-Alpes-Côte d'Azur), sont menées à l'occasion de la construction d'un parking souterrain
                      L'antique Antipolis...
                      Les archéologues explorent actuellement, sur 5 000 m², le fond du bassin portuaire antique qui s'est progressivement ensablé. Véritable dépotoir, il livre quantité d'objets -- déchets rejetés depuis les bateaux au mouillage ou pièces de cargaison perdues lors des transbordements -- et témoigne de la vie quotidienne des marins et du commerce maritime. Les couches de mobilier archéologique se succèdent depuis le IIIe siècle avant notre ère jusqu'au VIe siècle de notre ère. Coulés dans les eaux de l'anse Saint-Roch, plusieurs dizaines de milliers d'objets de toutes sortes ont d'ores-et-déjà été exhumés, notamment des marchandises en provenance du pourtour du bassin méditerranéen. À eux seuls, ils illustrent le dynamisme du port antique et du commerce dans cette partie de la Méditerranée.
                      Les sédiments fouillés se trouvaient sous le niveau marin et n'ont été asséchés qu'à l'occasion des travaux de construction du parking. Ces conditions particulières ont favorisé la conservation des matériaux organiques et permettent de mettre au jour des objets absents dans les fouilles terrestres : bouchons de liège d'amphores, semelles de chaussure en cuir, éléments en bois, conservés en milieu anaérobie.
                      L'épave
                      Dans la dernière zone explorée par les archéologues de l'Inrap, l'épave d'un navire romain a été découverte. Conservé sur plus de 15 m de long, le bateau est couché sur le flanc dans un endroit peu profond (à moins de 1,60 m sous le niveau marin antique). Dans le cadre d'une coopération avec le Centre Camille Jullian, l'Inrap a associé à l'analyse et l'interprétation de cette découverte, une archéologue du CNRS, spécialiste de l'archéologie navale.
                      Les vestiges se composent d'une quille et de plusieurs virures de bordé (planches constituant le revêtement de la coque), assemblées entre elles par des milliers de languettes chevillées dans des mortaises creusées dans l'épaisseur des planches. Transversalement, une quarantaine de membrures sont présentes, dont certaines sont assemblées à la quille par des broches métalliques.
                      Des éléments du plancher de cale ont également été identifiés. La carlingue, qui servait à loger le pied du mât n'a pas été conservée.
                      Cette épave est un voilier de commerce de taille moyenne (longueur de 20/22 m ; largeur de 6/7 m ; hauteur de cale 3 m environ). Le bois utilisé dans la construction est principalement du conifère.
                      Sur les nœuds de bois, la coque est renforcée par des plaquettes de plomb maintenues par de petits clous.
                      Ces plaquettes servent à pallier les défaillances d'un bois de qualité moyenne, utilisé par le chantier de construction car disponible et facile d'approvisionnement. Les traces d'outillage sont également bien visibles (scie, herminette) ainsi que la poix qui servait à la protection de la coque.
                      Les caractéristiques architecturales confortent la datation proposée par la stratigraphie et les céramiques récoltées dans les niveaux formés après l'abandon du bateau
                      - les IIe-IIIe siècles de notre ère - et permettent de classer le navire dans les bateaux romains impériaux de Méditerranée occidentale.

                      Les raisons de son naufrage sont pour l'heure inconnues : a-t-il été jeté à la côte lors d'une tempête ?
                      Abandonné au pourrissement dans ce recoin du port ?
                      Coulé volontairement pour servir de base à un appontement ?
                      Ces deux dernières hypothèses pourraient expliquer l'absence de chargement.

                      La suite des investigations apportera la réponse.
                      L'Inrap
                      Avec plus de 2 000 collaborateurs et chercheurs, l'Inrap est la plus importante structure de recherche archéologique française et l'une des toutes premières en Europe. Institut national de recherche, il réalise la majorité des diagnostics archéologiques et des fouilles en partenariat avec les aménageurs privés et publics : soit près de 2 000 chantiers par an, en France métropolitaine et dans les Dom. Ses missions s'étendent à l'exploitation scientifique des résultats et à la diffusion de la connaissance archéologique au public.
                      dz(0000/1111)dz

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                      • #26
                        katiaret

                        Quel rapport avec le sujet du topic ? ou tu fais juste de la pollution ?

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                        • #27
                          @ zaki17
                          je cherche les trace et lien des routes du commerce antique entre le berceaux de l'humanité d’Afrique est les autres civilisation antique d’Amérique Amérindiens (aborigènes, natifs américains ou Autochtones américains) par la voix marine et l'art rupestre
                          Dernière modification par katiaret, 19 septembre 2019, 03h20.
                          dz(0000/1111)dz

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                          • #28
                            Envoyé par hmida
                            Au passage veuillez noter la ressemblance physique de certains hispaniques avec les maghrébins..
                            ressemblants aux arabes de la péninsule arabique surtout les mexicains

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                            • #29
                              Somalie: des peintures rupestres vieilles de 5.000 ans

                              dz(0000/1111)dz

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                              • #30
                                gravure rupestre archéologie nord afrique







                                dz(0000/1111)dz

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