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Farid Alilat➖ Patron de la gendarmerie nationale sous Bouteflika, un métier dangereux.

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  • Farid Alilat➖ Patron de la gendarmerie nationale sous Bouteflika, un métier dangereux.

    Commençons par le général Boustilla. Il est en grande partie responsable de la mort de 126 personnes en Kabylie lors du printemps noir. Bouteflika ne lui pas donné l'ordre de tirer sur les foules, mais il ne lui a pas non plus ordonné de cessez les tueries. Il est mort sans rendre de compte. Bouteflika n'est pas mort, mais lui non plus n'a pas rendu de comptes sur ces tueries. Après Boustilla, il y a eu le général Nouba. Nouba n'est pas resté suffisamment longtemps à la tête de la gendarmerie, mais assez pour se retrouver en taule. 15 ans de prison. A la prison de Blida, Nouba est en chaise roulante, perclus par la maladie. Deux choses en commun qu'il a avec Bouteflika : la chaise roulante et les soucis de santé. Après Nouba, il y a eu le général Belksir. Bouteflika et Said son frère l'ont nommé à la tête de la gendarmerie en sachant pertinemment qu'il était impliqué dans un cartel de drogue. En fuite à l'étranger, Belksir fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. Le point commun entre ces trois généraux ? Bouteflika. Il ne serait pas tout à fait exagéré de penser que pour l'Algérie, les Bouteflika auront été un fléau aussi dévastateur que l'ont été les Banou Hillal.

    ✍🏻 Farid Alilat / 12 Août 2020
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    J'aime bien Farid Alilat mais il ne parle que de Bouteflika

    Aucun mot du rôle de Gaid Salah dans la nomination de Ghali Belksir par Bouteflika
    Dernière modification par shadok, 12 août 2020, 23h37.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #3
      J'aime bien Farid Alilat mais il ne parle que de Bouteflika

      Aucun mot du rôle de Gaid Salah dans la nomination de Gahli Belksir par Bouteflika

      Il roule peut-être pour un clan du pouvoir, c'est le cas de beaucoup de journalistes.

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      • #4
        Il roule peut-être pour un clan du pouvoir, c'est le cas de beaucoup de journalistes
        Je ne pense pas. C'est de l'autocensure. Il ne veut pas s'attirer des problèmes avec le pouvoir en place
        Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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        • #5
          Aucun mot du rôle de Gaid Salah dans la nomination de Gahli Belksir par Bouteflika
          Trop facile de coller toutes les tares à un mort

          yaw faqou !!

          Boutef a nommé Bleksir.. Gaid Salah l'a limogé !
          Ensuite, tout comme Nezzar et autres généraux, Belksir a pris la fuite !.. h'reb

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          • #6
            Gaid Salah l'a limogé !
            Et il l'a aidé à prendre la fuite à l'étranger lui et sa famille en toute impunité
            Dernière modification par shadok, 12 août 2020, 23h49.
            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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            • #7
              Selon Radio trottoir.. lol

              Belksir
              Bouchouareb
              Nezzar
              Chentouf
              Chakib Khalil

              Nous le savons tous.. tous ces gens seraient en prison s'ils n'avaient pris la fuite..

              ma fihach niqach..

              Affirmer le contraire équivaut à mentir..


              Mdrr..

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              • #8
                Il faut arrêter de mentir pour protéger ton Gaid Salah

                Bouchouareb a pris la fuite, il y a plusieurs années, lorsque Bouteflika était au pouvoir. Chakib Khelil a pris la tangente avec la chute de Bouteflika

                Le général major Habib Chentouf a pris la fuite juste au début du Hirak (avril 2019). Il a profité de son séjour médical en France

                Nezzar et Belkcir, qui détiennent des dossiers lourds, ont profité de l'aide des autorités pour les laisser partir

                Ghali Belkcir, l'un des généraux les plus corrompus, a pris la fuite en aout 2019 au moment, où les membres de la Issaba de Bouteflika étaient mis en prison ou frappés d'ISTN
                Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 00h46.
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #9
                  golna ga3 herbou !!

                  Quant à Belksir.. son affaire est documentée !
                  Il sabotait les enquêtes liées aux frères KOUNINEF jusqu'en Juillet 2019 où il fut limogé !
                  Il a pris la fuite 3 jours après l'installation de Zeghmati à la justice (1er Août)

                  Le procès des Kouninef est programmé pour le 19 Août..
                  On laisse toujours le meilleur pour la fin !!
                  Beaucoup de surprises en vue..
                  Une affaire de jours.. lol

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                  • #10
                    Une enquête préliminaire pour corruption avait été ouverte contre Tayeb Louh le 23 juillet 2019 qui faisait déjà l’objet d’une ISTN

                    Tayeb Louh était très lié à Ghali Belkcir. Tous les deux étaient sous le viseur de la justice

                    L’ex-ministre de la Justice Slimane Brahimi a été limogé et remplacé par Zeghmati car il a tenté de protéger Tayeb Louh et Belkecir

                    Malgré cela on laisse Belkecir s’en fuir. Il n’était même pas frappé d'une ISTN !!

                    Pire encore jusqu’à maintenant Ghali Belkcir n’a pas été poursuivi pour corruption. Le mandat d’arrêt international contre lui est pour haute trahison !!
                    Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 04h29.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #11
                      Un article d'El-Watan de juillet 2019 de Salima Tlemcani qui parle des liaisons mafieuses de Tayeb Louh avec le général Belkecir

                      Ce n'est pas de la radio trottoir, Salima Tlemcani est bien informée

                      Tayeb Louh sous enquête et le général Belkecir dans le viseur de la justice : Les liaisons mafieuses

                      La décision de confier l’enquête préliminaire sur «des faits de corruption» impliquant l’ex-ministre de la Justice, Tayeb Louh, à l’Ocplc (Office central de prévention et de lutte contre la corruption) annonçait, pour les plus avertis, la fin inéluctable de l’ex-patron de la Gendarmerie nationale, le général Ghali Belkecir.

                      Depuis le début de cette campagne de lutte contre la corruption, toutes les enquêtes ont été confiées aux services de recherche et d’investigation de la gendarmerie et c’est la première fois qu’un dossier est remis à l’Ocplc, que dirige Mokhtar Lakhdari. Le choix de cet organe de police judiciaire (où police, gendarmerie et armée sont représentées) n’est pas fortuit.

                      Ancien directeur des affaires pénales, Mokhtar Lakhdari a eu à gérer de gros dossiers, dont celui de Khalifa, avec les autorités britanniques, sous l’ère de Tayeb Belaïz, mais aussi ceux de Sonatrach 1 et 2, qui lui ont valu d’être mis en congés payés durant des années, sur décision de Tayeb Louh.

                      L’ex-garde des Sceaux est d’ailleurs convoqué demain pour être entendu par les enquêteurs de cet organe (qui a qualité de police judiciaire) sur, entre autres, le marché des bracelets électroniques, nous dit-on, mais aussi sur d’autres affaires qui le lient à son ami, le désormais ex-patron de la Gendarmerie nationale, le général Ghali Belkecir, celui-là même qui l’a entraîné dans sa chute. Entre les deux hommes, la relation dépasse largement le cadre professionnel. Les deux familles se connaissent et s’échangent les visites de courtoisie.

                      Dès son installation en tant que ministre de la Justice, en 2013, Tayeb Louh a promu Mme Belkecir, de son nom de jeune fille Fatiha Boukhers, au poste de présidente de la cour de Tipasa, dont les décisions ont souvent suscité les plus vives critiques auprès de ses collègues, mais aussi des justiciables qui n’ont eu de cesse de saisir la chancellerie, en vain.

                      Durant les derniers rassemblements des magistrats en solidarité avec le mouvement de protestation populaire, elle a menacé ses pairs de représailles, suscitant la colère du Club des magistrats libres, à l’origine de ces manifestations. Mais elle a continué à avoir la protection de la chancellerie, malgré le départ de Tayeb Louh. Profitant des changements opérés à la tête du parquet général d’Alger et de la Cour suprême, en juin dernier, le ministère de la Justice a annoncé sa mise de fin de fonction.

                      Or, il s’avère que Mme Belkecir a bénéficié d’une mise en disponibilité, qu’elle avait demandée pour «des raisons personnelles», et qui est entrée en vigueur le 30 juin 2019. Droit ou privilège, on n’en sait rien. Il est cependant certain que pour les postes spécifiques, comme ceux des chefs de cour, la mise en disponibilité pour «des raisons personnelles» est exceptionnelle. En tout état de cause, sa situation était prévisible en raison des problèmes auxquels son mari, le patron de la gendarmerie, le général Ghali Belkecir, faisait face.

                      L’homme qui avait creusé la tombe d’Ahmed Boustila

                      Tout comme elle, en quelques années, il a bénéficié de promotions fulgurantes. Vers la fin de 2015, après l’affaire du rapt du jeune Yarichane (à Dély Ibrahim, à Alger), dans laquelle était impliqué le grand trafiquant de drogue Saïd Yousfi, connu sous le sobriquet de «Saïd l’émigré», évadé d’une prison française et rentré au pays alors qu’il faisait l’objet de plusieurs mandats d’arrêt internationaux, le commandant du groupement d’Alger est vite promu au poste régional de Blida.

                      Sa relation suspicieuse avec le richissime père de Yarichane, concessionnaire d’automobiles de luxe, domicilié à Dély Ibrahim, et les milieux d’affaires n’est un secret pour personne. Plus d’une année après cette affaire que Tayeb Louh lui avait confiée, alors qu’elle relevait des prérogatives de la police (zone urbaine), Belkecir est promu général et hissé au poste de chef d’état-major du commandement de la Gendarmerie nationale. Belkecir se retrouve ainsi au cœur même du dispositif.

                      Ce qui lui permet d’avoir l’œil sur tout et d’intervenir tantôt pour classer des dossiers compromettants, tantôt pour les mettre à la disposition de la justice et neutraliser ainsi des personnes ou personnalités gênantes. Comme il a réussi à creuser la tombe de feu Boustila, en remettant – en tant que commandant du groupement d’Alger – un rapport accablant sur ses affaires, il fait de même pour le général-major Menad Nouba, son successeur, débarqué du commandement de la Gendarmerie nationale, en juillet 2018, après les déclarations de Abdelghani Hamel, alors Directeur général de la Sûreté nationale, à propos de l’affaire des 701 kg de cocaïne.

                      A la tête de ce corps d’élite, le général Belkecir est chargé de mener la guerre aux internautes, à travers la brigade de recherche et d’investigation que dirigeait alors le colonel Mourad Zeghdoudi, un de ses proches collaborateurs et homme de confiance.

                      En s’assurant la confiance du ministre de la Justice, Tayeb Louh, d’un côté, et celle du chef de l’état-major de l’Anp et vice-ministre de la Défense nationale, de l’autre, le général Belkecir se retrouve avec les pleins pouvoirs. Il va cristalliser toute la colère de ceux qui se sont retrouvés en prison à la suite d’enquêtes souvent bâclées ou orientées. Ses relations avec les hommes d’affaires et les milieux suspicieux et l’implication de son épouse dans une campagne contre le Club des magistrats libres, le mettent au-devant de la scène médiatique sans pour autant l’inquiéter.

                      C’est à lui que sont d’ailleurs confiées toutes les enquêtes sur la corruption ouvertes à la faveur du mouvement de protestation populaire. Mais l’arrestation et l’incarcération de son directeur de la brigade de recherche et d’investigation, le colonel Mourad Zeghdoudi, va annoncer sa chute.

                      Par l’inculpation et la détention de ce dernier, le général Belkecir a perdu son bras droit et son homme de confiance. Son épouse se retrouve au milieu d’une vague de protestation menée par les magistrats, qui l’accusent d’être «une privilégiée de la chancellerie, malgré le départ de Tayeb Louh, qui continuait de gérer son département de l’extérieur». Mme Belkecir dépose une demande de mise en disponibilité et s’offre un voyage à l’étranger, où ses frères ont acquis des biens, au cours de ces dernières années. Même si certains considèrent cette mesure comme «un privilège», d’autres y voient le début de la fin.

                      En effet, alors que pour toutes les affaires de corruption impliquant les membres du gouvernement c’est le parquet général d’Alger qui en chargé et après enquête préliminaire de la brigade de la gendarmerie, pour le cas de Tayeb Louh, c’est le parquet de Sidi M’hamed qui a annoncé, dans un communiqué, avoir confié à l’Office central de lutte contre la corruption les investigations sur des faits liés justement à la corruption.

                      Pour les plus avertis, ce communiqué est annonciateur de la fin du général Belkecir. Moins de 48 heures après, ce dernier est débarqué de son poste, et c’est son chef d’état-major (qui l’avait remplacé comme régional à Blida) qui lui succède.

                      Dans sa chute brutale, l’ex-patron de la gendarmerie a entraîné avec lui l’ex-garde des Sceaux, Tayeb Louh, auquel il était très lié. L’enquête sur les «faits de corruption», que l’Office a déjà entamée en convoquant l’ex-ministre de la Justice, risque de l’éclabousser lui aussi, dans les jours à venir.

                      Mais au-delà de ce que pourraient mettre en lumière les enquêteurs de l’Office, la responsabilité politique et judiciaire sur tout ce qui s’est passé durant le 4e mandat du Président déchu, notamment toutes ces affaires de corruption actuellement en justice, incombe en premier lieu à l’ex-garde des Sceaux, nommé à ce poste en septembre 2013, après la longue hospitalisation de Bouteflika, dans un hôpital militaire à Val-de-Grâce, en France.

                      Il avait succédé à Mohamed Charfi, limogé pour avoir soutenu la mise en branle de l’article (devenu 102 et qui évoque la fin de mandat du Président pour cause de maladie) et aussi le lancement des mandats d’arrêt internationaux contre Chakib Khelil, l’ex-ministre de l’Energie, et des membres de sa famille. Aujourd’hui, aussi bien Tayeb Louh que le général Belkecir sont sur la voie d’une poursuite judiciaire.

                      El-Watan
                      Salima Tlemcani
                      28 juillet 2019
                      Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 04h34.
                      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                      • #12
                        Mdr..

                        D'abord Farid Alilat, et ensuite Salima Tlemcani !

                        L'affaire Boustila ne rime en rien avec l'année 2019, et encore moins 2020.. lol
                        Trop facile de copier-coller des phrases tirées sauvagement d'internet !

                        Voyons ce qu'il en est de ces fichus raccourcis :

                        - Gaid Salah accorde confiance en 2017..
                        - Gaid Salah retire sa confiance en 2019..

                        Et alors ?.. On fait quoi avec ça ?..


                        A part cela,

                        Ce topic n'a rien de sérieux..

                        Que Farid Alilat roule pour l'ex DRS.. c'est son droit.. on s'en fiche !
                        Mais je ne pense pas qu'un journaliste de sa trempe aurait balancé une telle ineptie sur le web :

                        Il ne serait pas tout à fait exagéré de penser que pour l'Algérie, les Bouteflika auront été un fléau aussi dévastateur que l'ont été les Banou Hillal
                        Je soupçonne là du fake.. une manipulation grossière.. mais j'ai pas le temps de chercher !
                        Les articles de Farid Alilat sont tous payants.. et j'ai pas d'argent à lui donner !
                        A mes yeux, il est impossible qu'un intellectuel s'exprime de la sorte !
                        Mais si Farid Alilat a bien dit ça (et je ne le crois pas).. ses écrits, ses analyses, ne méritent aucun respect !!!


                        ...


                        Oups.. J'oublie !

                        Il est un peu con tout de même ce romancier de Farid Alilat :
                        Son dernier article sur Jeune Afrique avait une section cuisine.. lol
                        C'est de la foutaise de produire de tels sujets en Juillet 2020





                        Dernière modification par Absent, 13 août 2020, 13h57.

                        Commentaire


                        • #13
                          Baratin pour ne pas répondre à l'essentiel sur les liaisons mafieuses entre Tayeb Louh et Belkcir

                          Tayeb Louh est frappé d'ISTN et mis en examen mais Belkcir trouve le moyen de sortir sans être inquiété

                          Galek, Gaid Salah a retiré sa confiance à Belkcir. Au contraire, il lui a assuré une protection en le laissant partir (avec des documents secrets en plus)

                          Une enquête préliminaire pour corruption avait été ouverte contre Tayeb Louh le 23 juillet 2019 qui faisait déjà l’objet d’une ISTN

                          Tayeb Louh était très lié à Ghali Belkcir. Tous les deux étaient sous le viseur de la justice

                          L’ex-ministre de la Justice Slimane Brahimi a été limogé et remplacé par Zeghmati car il a tenté de protéger Tayeb Louh et Belkecir

                          Malgré cela on laisse Belkecir s’en fuir. Il n’était même pas frappé d'une ISTN !!

                          Pire encore jusqu’à maintenant Ghali Belkcir n’a pas été poursuivi pour corruption. Le mandat d’arrêt international contre lui est pour haute trahison !!
                          Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 15h41.
                          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                          • #14
                            Retour au sujet du topic..

                            Boustilla, Nouba, Belksir !

                            Il est dit que ces 3 généraux ont un point commun.. BOUTEFLIKA !

                            Et l'auteur du torchon, Farid Alliat, rajoute :

                            Il ne serait pas tout à fait exagéré de penser que pour l'Algérie, les Bouteflika auront été un fléau aussi dévastateur que l'ont été les Banou Hillal.


                            Deux questions se posent :

                            - Quel lien entre 3 chefs de gendarmerie nommés par Bouteflika et la conquête des Banou Hillal en Afrique du nord ?

                            - Et de quel fléau parlons nous ?



                            La question ne vise personne..

                            Je la répéterais 10 fois..

                            Ensuite, si je n'y vois pas clair.. je me désabonne.. lol


                            hadi hiya..

                            Commentaire


                            • #15
                              Tu ne pourras pas défendre le fait que Ghali Belkcir n'a pas bénéficié de la protection de Gaid Salah pour prendre la fuite

                              Au mois de mai 2019 la DCSA a remis un rapport à Gaid Salah sur une affaire de 150 milliards de centimes de pots de vins donnés par les frères Oulmi au général Belkecir et le colonel Mourad Zaghdoudi. Mystérieusement, le rapport de la DCSA a été étrangement étouffé

                              Autre chose, le colonel Mourad Zaghdoudi, bras droit de Ghali Belkcir a été arrêté mais pas son chef Ghali Belkcir
                              Dernière modification par shadok, 13 août 2020, 17h05.
                              Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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