L'arrogance des pharaons d'Egypte
Depuis l'annonce du tirage au sort ayant placé l'équipe nationale algérienne dans le groupe de l'Egypte en compagnie du Rwanda et de la Zambie , la presse égyptienne s'est déchaînée en prenant pour cible les " verts ".
La hache de guerre est déterrée et le calumet de la paix mis au placard. On ne sait pas si c'est l'effet de la panique, en sachant que les équipes maghrébines ne réussissent pas aux doubles champions d'Afrique, ou alors de la phobie de tout ce qui est algérien en matière de football.
Les Algériens n'ont pas oublié l'élimination des "verts " du Mondial de 1990 au Caire après un match marqué par l'injustice et la hogra. Comme ils n'ont pas oublié les commentaires de la presse égyptienne au lendemain du match nul concédé à Annaba et qui a permis au Sénégal de se qualifier au Mondial au moment ou les pharaons attendait un geste de " fraternité " de la part de leurs " frères ". Les égyptiens gardent aussi un autre mauvais souvenir lors de la CAN de Tunisie qui a vu le but de Achiou achever une Egypte arrogante. Le but d " El Harami " hante toujours les esprits de nos futurs adversaires qui tremblent à l'idée d'évoluer au stade du 5 juillet. Un stade qu'ils qualifient volontiers d' " enfer ".
Nous disons alors à nos amis égyptiens qu'il ne sert de trop palabrer puisque le " rectangle vert " tranchera la question de la suprématie. Les doubles champions d'Afrique auront la pression et nous la motivation. Si bien sûr l'entraîneur Rabah Saadane cesse d'adopter un profil bas. L'EN n'a plus rien à perdre. Alors pourquoi ne pas jouer toutes les cartes à fond ? Le football n'a jamais été une science exacte et les "fennecs" ont plus d'un tour à jouer dans leur sac.
ladepeche-dz.com
Depuis l'annonce du tirage au sort ayant placé l'équipe nationale algérienne dans le groupe de l'Egypte en compagnie du Rwanda et de la Zambie , la presse égyptienne s'est déchaînée en prenant pour cible les " verts ".
La hache de guerre est déterrée et le calumet de la paix mis au placard. On ne sait pas si c'est l'effet de la panique, en sachant que les équipes maghrébines ne réussissent pas aux doubles champions d'Afrique, ou alors de la phobie de tout ce qui est algérien en matière de football.
Les Algériens n'ont pas oublié l'élimination des "verts " du Mondial de 1990 au Caire après un match marqué par l'injustice et la hogra. Comme ils n'ont pas oublié les commentaires de la presse égyptienne au lendemain du match nul concédé à Annaba et qui a permis au Sénégal de se qualifier au Mondial au moment ou les pharaons attendait un geste de " fraternité " de la part de leurs " frères ". Les égyptiens gardent aussi un autre mauvais souvenir lors de la CAN de Tunisie qui a vu le but de Achiou achever une Egypte arrogante. Le but d " El Harami " hante toujours les esprits de nos futurs adversaires qui tremblent à l'idée d'évoluer au stade du 5 juillet. Un stade qu'ils qualifient volontiers d' " enfer ".
Nous disons alors à nos amis égyptiens qu'il ne sert de trop palabrer puisque le " rectangle vert " tranchera la question de la suprématie. Les doubles champions d'Afrique auront la pression et nous la motivation. Si bien sûr l'entraîneur Rabah Saadane cesse d'adopter un profil bas. L'EN n'a plus rien à perdre. Alors pourquoi ne pas jouer toutes les cartes à fond ? Le football n'a jamais été une science exacte et les "fennecs" ont plus d'un tour à jouer dans leur sac.
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