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Maroc passage à vide dans la zone franche

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  • Maroc passage à vide dans la zone franche

    Si les investissements sont maintenus pour le port de Tanger Med, la crise se fait sentir dans la zone industrielle. « Depuis quatre mois, la zone franche connaît une baisse d’activité », confirme Abdelilah Elmansar, responsable des relations internationales et institutionnelles de l’Agence spéciale Tanger Méditerranée (TMSA). Certains opérateurs parlent d’un repli de 15 % à 20 %. Les plus affectées sont les entreprises les plus liées aux Européens. En raison des difficultés d’Opel, l’américain Delphi a réduit partiellement sa production.
    Jeune Afrique- Par : Cécile Manciaux -
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    il est clair que la crise allait finir par se faire sentir chez nous ....... et ceux qui en doutaient n'etaient que des clowns

    un systéme financier mondiale qui s'ecroule .... c'est pas de la tarte
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      ca c'est vrai, la vie sera dure pour tout le monde si cette crise persiste, bien que les guignols qui nous gouvernent algériens ou marocains essayent par tous les moyens de nous convaincre du contraire.

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      • #4
        personnellement , je vois cette crise comme un bon signe , c'est peut etre la fin d'un systéme injuste qui a privé de nombreux pays du monde de la croissance à laquelle ils avaient droit , tous ceci pour que le BLOND puiise manger ces 3 hamburgers par jours

        le maroc , l'algérie et d'autres pays QUASI-émergents peuvent etre les futurs gagnants de cette redistribution des cartes ; mais c'est clair qu'il va falloir qu'on en prenne un peu plein la tronche.
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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        • #5
          il est clair que la crise allait finir par se faire sentir chez nous ....... et ceux qui en doutaient n'etaient que des clowns

          un systéme financier mondiale qui s'ecroule .... c'est pas de la tarte
          En europe, et en france en particulier, rien qu'en aout dernier, on nous jurait que la crise etait propre à l'économie américaine et qu'elle ne traverserait pas l'océan. Souvenez-vous des discours de michele Alliot-Marie ou christine lagarde... aujourd'hui ils ont l'air totalement ridicule, avec un plan de relance économique acouché chaque semaine

          et bien chez nous c'est la meme chose... mais les bouffons et les idiots sont les résidents a l'etrangers qui croient aux theses des dirigeants locaux.
          Rabhine n'katlokoum, wo Rhassrine n'katlokoum... Tahia JSD !!! même si souvent, elle deconne vraiment!!! enfin tout le temps même...

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          • #6
            Cette crise est une chance pour certains pays moyens de s'affirmer, il suffit qu'ils ne tombent pas et qu'ils y resistent. Elle peut etre aussi une chance pour que ce qui est perdu d'une part soit rattrapé de l'autre...

            le Maroc s’organise pour bien traverser la crise
            De notre envoyé spécial à Casablanca, Moncef Mahroug

            «En chinois, le mot crise signifie à la fois danger et opportunités». En inaugurant la «première conférence économique », organisée par sa banque, le 13 novembre 2008, à Casablanca, pour «analyser les retombées de la crise sur l’économie marocaine et élaborer des scénarios. », Mohamed Kettani président d’Attijariwafa Bank, annonce ainsi la couleur : le pays du roi Mohamed VI risque certes de pâtir de la crise, mais il peut aussi, d’une certaine manière, en tirer profit.

            Car, note le patron d’Attijariwafa Bank, «la fin d’un monde n’est pas la fin du monde. » Constat confirmé par Alexandre Adler, journaliste et historien, qui pense qu’on assiste «à la fin d’un certain capitalisme, et non à la fin du capitalisme» et croit que «les règles du jeu vont être réécrites et pour longtemps. »
            Pour ce spécialiste de la géopolitique internationale, la crise financière internationale a ses gagnants –notamment la Chine et le Brésil- et ses perdants, «ceux –Russie, Vénézuela, Algérie- qui ont joué avec les rentes au détriment des développements industriels. »

            D’autres sont dans une position intermédiaire. C’est le cas Maroc qui, selon Alexandre Adler, «a la chance de ne pas avoir de matières premières », et peut tirer son épingle du jeu –«peut être un peu mieux que la Tunisie » qui est, selon lui, dans «une situation plus difficile, en raison de l’étroitesse de son marché intérieur.» Car, pour cet expert s’il y a une leçon à retenir, c’est celle-ci : «Il ne faut pas baisser de garde sur les produits manufacturés et développer davantage les marchés intérieurs.»

            Concernant le Maroc, Jacques Attali, l’ancien conseiller de François Mitterrand, puis président de la Banque Européenne de Reconstruction et de Développement (BERD), partage l’analyse d’Alexandre Adler. Il pense qu’avec une «économie et, en particulier, une industrie, bien développée, un tourisme qui vu le nombre de touristes augmenter de 3 millions en cinq ans, des banques marocaines bien gérées, une banque centrale qui a mis la législation aux meilleurs standards et peu d’investissements étrangers en bourse », ce pays est «bien placé pour résister. »

            Toutefois, à l’image de l’Afrique, qui, dans son ensemble, est moins affectée par la crise que d’autres, en raison de sa «croissance forte, de sa faible contamination par les produits financiers sophistiqués », le Maroc, «ne pourra pas ne pas être touché.»

            Les conséquences de la crise internationale prendraient la forme d’une baisse dans domaines : exportations, IDE, transferts des Marocains Résidents à l’Etranger (MRE) et recettes du tourisme. Mais ce secteur n’est pas pour autant condamné au Maroc. Il pourrait même «tirer avantage de cette situation », à condition de sacrifier à plusieurs conditions.

            Biens qu’il ait, selon Jacques Attali, «le meilleur rapport qualité/prix de la Méditerranée », le Maroc va devoir, d’abord, donner de lui l’image d’«un produit de qualité à bas prix», car on va assister «à l’échelle mondiale à une concurrence sur les prix », D’autant que, selon l’ancien patron de la BERD, le développement du commerce électronique va jouer un rôle considérable dans la baisse des prix.

            Ensuite, ce pays doit «afficher son ambition politique et continuer à construire des hôtels. » Enfin, il va devoir «développer des moyens de transport low cost, car nous sommes de plus en plus dans un environnement où les décisions seront prises à la dernière minute ».

            L’ancien patron de la BERD entrevoit également des opportunités dans l’offshoring industriel, car «la crise va pousser les industriels à rechercher des travailleurs à plus bas prix. »

            Cela tombe bien, car le Maroc «entend se battre pour saisir les opportunités » qui vont s’offrir, affirme Slaheddine Mezouar. Se disant «optimiste, mais d’un optimisme béat », le ministre de l'Economie et des Finances marocain pense que son pays peut gagner ou, à tout le moins «maintenir la dynamique » dans laquelle il se trouve. Surtout qu’il a construit, à cet effet, un «modèle de développement pour 2009 sur quatre piliers » : «relance de la consommation –à laquelle 44 milliards de dirhams vont être consacrés-, diversification des sources de croissance, nouvelles stratégies de développement sectorielles (tourisme, phosphate), avec un soutien aux petites et moyennes entreprises et, enfin, un effort exceptionnel en faveur du social (notamment un programme de 8,5 milliards de dirhams pour l’éducation) », énumère M. Zouhair Chorfi et des Financements extérieurs, directeur du Trésor. Bref, «il y a des opportunités dans le contexte actuel au Maroc. Il faut les saisir », recommande Slaheddine Mezouar. Qui termine par un «je vous fais confiance », en forme d’appel lancé aux hommes d’affaires réunis pour l’occasion par Attijariwafa Bank.

            M.M
            WMD Tunisia

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            • #7
              Qu'il y ait un passage à vide après les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la région, puis la crise économique est normal.
              Cette zone a une activité dirigée vers l'export. Il est naturel qu'elle pâtisse de la conjoncture. Mais sur un plan global la santé économique marocaine se tient plutôt bien. Plus sereinement qu'ailleurs en tout cas.
              Cette crise Cell je la vois comme une chance pour nous. Par contre il va falloir se mouiller.
              La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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              • #8
                Qu'il y ait un passage à vide après les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la région, puis la crise économique est normal.
                tout a fait
                un vrai guignol c'est celui qui fait mieux ouvrir sa bouche que bouger sa cervelle

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