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Le Pentagone livre des armes à Israël

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  • Le Pentagone livre des armes à Israël

    Le Pentagone dément vouloir livrer des armes à Israël

    il y a 34 min

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    LE PENTAGONE DÉMENT VOULOIR LIVRER DES ARMES À ISRAËL Agrandir la photo





    Discussion: Israël-Palestine


    Selon des documents du Military Sealift Command (MSC) de la marine américaine, le navire transporterait 325 conteneurs standards de 20 pieds contenant des "munitions" et effectuerait deux trajets entre le port grec d'Astakos et le port israélien d'Ashdod entre la mi-janvier et la fin du mois.
    Le Pentagone a nié que ces armes avaient un lien avec le conflit dans la bande de Gaza et a expliqué que les munitions étaient destinées à des stocks américains en Israël.
    "La livraison de munitions est destinée à des stocks américains installés en Israël suivant un accord passé entre les États-Unis et Israël en 1990", a dit le lieutenant-colonel Patrick Ryder, porte-parole du département d'État.
    "Ce ravitaillement qui était antérieurement prévu est un ravitaillement de routine et n'est pas destiné à soutenir la situation actuelle à Gaza", a déclaré Ryder.
    Une mention "matériel dangereux" figurant sur le carnet de bord ferait référence à des substances explosives et à des détonateurs, mais aucun autre détail n'est fourni.
    "Transporter quelque 3.000 tonnes de munitions en un seul chargement, c'est beaucoup", a déclaré un courtier maritime, sous couvert d'anonymat.
    "Ce genre de demande est plutôt rare et nous n'avons pas vu cela sur le marché depuis des années", a-t-il ajouté.
    RAISONS LOGISTIQUES
    Le MSC assure le transport de blindés et de fournitures militaires pour les forces armées américaines en utilisant d'ordinaire sa propre flotte de bateaux, mais il lui arrive parfois d'avoir recours à des navires marchands pour des raisons de logistique.
    La demande de fret a été faite le 31 décembre avec une arrivée de la première cargaison au plus tard le 25 janvier et la seconde à la fin du mois.
    Cette demande de fret intervient après la location d'un bâtiment commercial allemand en décembre qui avait transporté une cargaison encore plus importante de matériels militaires des États-Unis vers Israël avant le début des opérations dans la bande de Gaza.
    Les courtiers maritimes à Londres, spécialisés dans les convoyages d'armes pour l'armée britannique ou l'armée américaine, ont précisé que ce genre de livraisons à Israël sont rares.
    Un expert des questions militaires à Londres a indiqué, qu'en raison du calendrier, ces acheminements d'armes pouvaient être "irréguliers" et liés à l'offensive contre Gaza.
    Le navire, affrété par le MSC en décembre pour une durée de 42 jours, aurait transporté 989 conteneurs standards de 20 pieds entre Sunny Point en Caroline du Nord et Ashdod.
    Selon les documents, le navire possédait la capacité de "transporter 5,8 millions de livres (2,6 tonnes) en poids net d'explosifs", ce qui représente une très grande quantité, ont précisé des courtiers.
    Le navire avait été requis au début du mois de décembre pour un chargement au 15 de ce mois.
    Le Jerusalem Post, citant des responsables de la défense, avait rapporté la semaine dernière qu'une première cargaison de missiles était arrivée début décembre et que ces armes avaient été utilisées pour détruire les sites souterrains à partir desquels le Hamas tirait des roquettes contre le sud d'Israël.


    yahoo.fr

  • #2
    "Ce ravitaillement qui était antérieurement prévu est un ravitaillement de routine et n'est pas destiné à soutenir la situation actuelle à Gaza",
    et les autres ;ils se ravitaillent en creusant des tunnels sous terre en payant des contrebandiers egyptiens .
    ensuite on met dans la meme balance la resistance de Hamas avec l'armé israelienne.
    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

    Commentaire


    • #3
      la routine

      Commentaire


      • #4
        Moha

        Et l'arabe qui livre des armes aux palestiniens, on lui déclare la guerre, eh oui israël n'est pas daccord qu'il s'arme, par contre elle est pour qu'elle s'arme.

        Commentaire


        • #5
          Lisez moi ça , j'ai trouvé un article abject dans le Figaro , la presse sioniste la plus extrémiste ne ferait pas mieux ; la voix de son maitre reproche aux Palestiniens de résister avec des armes.
          Ils sont infects ces journaleux français , imaginez une seconde si les 800 victimes etaient du coté sioniste , ces ****** auraient appelé au lynchage des musulmans , beurrk ,ils me font vomir.
          ____________________________________________
          Le Hamas sent le pétrole iranien


          DE FRANCOIS D'ORCIVAL
          09/01/2009 | Mise à jour : 14:40|


          Ce que l'armée israélienne est allée chercher dans les souterrains de Gaza, ce sont les armes du Hamas. Les plus puissantes d'entre elles proviennent d'Iran. Le Hamas n'existe que par l'Iran. Or l'équation iranienne c'est : islamisme conquérant + pétrole = nucléaire. Sans pétrole, pas d'argent pour financer les centrifugeuses nucléaires et l'islamisme. Mais aujourd'hui, l'Iran est un pays asséché par la division par trois de ses revenus pétroliers. La guerre est pour lui une manière de redistribuer les cartes, et de peser à nouveau sur les prix du pétrole.

          Cet assèchement des recettes pétrolières est en train de constituer pour le pouvoir iranien, c'est-à-dire pour Ahmadinejad, une vraie bombe sociale dans un pays à l'économie chaotique pour une population à forte démographie. Celle-ci est de nature à peser lourdement sur le scrutin du mois de juin. Car il y a aussi des élections présidentielles en Iran ! Ahmadinejad aura un concurrent. Lequel, Khatami ou un autre, ne pourra faire campagne avec une chance de l'emporter qu'en s'appuyant sur la crise économique et sociale. S'il gagnait, les Américains et les Européens auraient alors à Téhéran un interlocuteur à qui parler.

          En déchaînant le Hamas à Gaza, pour entraîner ensuite les représailles massives des Israéliens, les mollahs iraniens ont notamment cherché à refaire autour d'eux l'union nationale de leur peuple tout en mobilisant les opinions publiques, « la rue arabe », dans les autres pays musulmans. Les Egyptiens, premiers concernés, comme les Saoudiens et les émirs du Golfe ont bien compris l'enjeu : tout succès du Hamas serait celui de l'islamisme radical et de l'expansionnisme iranien. Règle observée tacitement : l'ennemi de mon ennemi est mon ami.

          Un acteur demeure en réserve : Barack Obama. Dans dix jours, il sera investi des pouvoirs de président des Etats-Unis ; le seul qui ait une véritable influence dans la région. Il savait que le Proche-Orient ne lui laisserait aucun répit. Libéré de l'Irak, il comptait sur la baisse des prix du pétrole pour affaiblir l'Iran d'Ahmadinejad de manière à soutenir de nouveaux partenaires et empêcher la dérive vers le nucléaire. La guerre l'a pris de vitesse.

          Il est donc en train de réadapter son dispositif : il ne peut agir sur l'Iran qu'en laissant aux Israéliens le temps nécessaire pour briser toute capacité offensive du Hamas à Gaza. Une neutralisation rapide de cette organisation punirait l'Iran et ses relais sans pour autant provoquer de mouvement de reprise de la hausse des cours du pétrole.

          Le Figaro
          Dernière modification par DZone, 10 janvier 2009, 13h10.

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