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Le Maroc soutien t'il l'état Sioniste ?

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  • Le Maroc soutien t'il l'état Sioniste ?


    Selon les documents des "Archives Nationales" d'Israël récemment ouvertes au publique, et selon les révélations faites par Nahum Goldman (ancien président - en même temps, pendant plus de vingt ans - du Congrès Juif Mondial et de l'Organisation Sioniste Mondiale) dans son livre "Le paradoxe juif", et selon les révélations de Mohamed Hassanein Heikal dans un article publié dans la revue libanaise "Achiraa", et selon les révélations du professeur Israël Shahak dans son livre "The open secrets":le despote Hassan II n'a en réalité été qu'un vulgaire espion au service du Mossad israélien!
    L'ironie du sort est qu'il y a même eu, en secret, - comme on vient de l'apprendre une parallèle concurrence et une précipitation "Harouala" entre le gauchiste caviar Ben Barka et la crapule despote Hassan II pour servir Israël et le Mossad: le premier pour s'emparer du pouvoir, le deuxième pour "l'éternellement" le conserver! Et puis il y a aussi le bourgeois" istiqlalien Balafrej qui s'est aussi volontairement mis aux service du Mossad.
    Israël a aussi soutenu Hassan II dans sa "Guerre des Sables" avec l'Algérie en lui livrant des blindés. Des officiers de Tsahal et du Mossad ont formé et encadré la jeune armée royale et les services de sécurité dont le célèbre Cab-1, l'embryon de la DST.
    Dernière modification par imzgn, 17 janvier 2009, 09h04.

  • #2
    oui
    l etat mais pas le peuple qui commence a se reveiller apres une longue nuit

    les manoeuvres du palais par la fermeture de l ambassade sont assez criardes pour detourner et eloigner le support du peuple de la rue de la cause palestinienne

    le lien est trop voyant avec israel
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Maroc/Mossad, des liens anciens

      L'intérêt du Mossad pour “l'objectif Maroc” ne
      date pas d'aujourd'hui. Non sans raison. De par
      sa situation géographique, le Maroc, trait d'union
      entre l'Afrique et l'Europe, mais aussi entre le
      Maghreb arabo-musulman et le Vieux Continent,
      constitue depuis des siècles un carrefour stratégique.
      C'est en outre en cette terre d'accueil musulmane,
      que, s'ajoutant aux milliers de Juifs berbères
      autochtones, sont venus se réfugier les Israélites
      chassés d'Andalousie lors de la Reconquista chrétienne
      en 1492.
      Au fil des siècles, la communauté judéo-marocaine
      est allée grandissante, atteignant environ 270.000
      âmes en 1948. C'est vers cette époque, date de la
      naissance d'Israël, que certains analystes et historiens
      font remonter les premières relations entre le
      Royaume chérifien et le Mossad, créé en 1951.
      Avec l'avènement de l'indépendance, des agents du
      Mossad auraient ainsi conclu un accord tacite avec
      le Maroc pour permettre aux Juifs Marocains de
      quitter leur terre natale vers Israël.
      Mais, à en croire Agnès Bensimon, auteur de l'ouvrage
      Hassan II et les Juifs (octobre 1991, Le Seuil),
      les liens entre le Maroc et le Mossad se sont réel-
      lement renforcés lorsque ce dernier a livré au Palais des renseignements
      détaillés sur une conspiration visant à assassiner, en février
      1960, le prince héritier Hassan Ben Mohammed. D'autres soutiennent
      que les rapports entre le Royaume et les services israéliens ont
      véritablement débuté en 1963, avec la rencontre entre le Général
      Mohamed Oufkir, alors patron des services secrets, et l'officier du
      Mossad Yaakov Karoz. Et, que dans les années qui suivirent, les services
      extérieurs des deux pays échangèrent renseignement et savoir-
      faire dans de nombreux dossiers. D'aucuns voient même dans
      le rapt de Mehdi Ben Barka, le 29 octobre 1965 à Paris, la main invisible
      du Mossad. Aujourd'hui, plus d'un demi-siècle après l'exode
      massif des Juifs marocains vers Israël, l'Europe et l'Amérique,
      ceux-ci conservent leur nationalité d'origine et le statut conféré par
      leur marocanité. Chaque année, la diaspora judéo-marocaine et ses
      enfants (plus d'un million de membres en tout dans le monde et environ
      800.000 résident actuellement en Israël) vient en pèlerinage
      chez leurs saints enterrés au Maroc. Ou en simples touristes nostalgiques.
      Autant d'éléments socio-culturels susceptibles de faciliter
      l'entrée au Maroc d'éléments des services secrets israéliens.
      Il ne faut pas oublier non plus que le Maroc a joué et continue à jouer
      un rôle majeur dans les tentatives de stabilisation de la région proche
      et moyen-orientale en particulier, et dans le rapprochement
      d'Israël avec le monde arabe en général. Le Maroc, sous le règne
      de Hassan II, a ainsi abrité de nombreux sommets arabes et islamiques.
      Dont la rencontre du 25 septembre
      1969 à Rabat, au lendemain de l'incendie
      criminel de la Mosquée Al-
      Aqsa d'Al Qods, par un terroriste juif,
      le 21 août 1969. Réunion qui aboutira
      à la naissance, en mars 1970, de
      l'Organisation de la Conférence islamique.
      Et c'est dans la capitale marocaine
      également, le 26 octobre 1974,
      lors du huitième sommet arabe, que
      l'Organisation de Libération de la
      Palestine (OLP) sera reconnue par
      les États membres de la Ligue arabe
      comme « seul et légitime représentant
      du peuple palestinien». Quoi qu'il en
      soit, une chose est sûre: les services
      secrets marocains et israéliens ont
      toujours eu à coopérer depuis des décennies.
      Encore plus, à l'heure des
      menaces planétaires communes et grandissantes représentées par le
      terrorisme et l'intégrisme islamiste, ils ont mené ensemble des opérations
      ponctuelles sous l'égide de la CIA, notamment après le choc
      du 11 septembre 2001. Le monde du renseignement a, par nature,
      des raisons où la sensibilité n'a pas de raison d'être.o MI
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        torchons contre torchons

        Friday, March 28, 2008
        L'implantion d'Israel en Algerie



        La base américaine en Algérie précisément localisée

        Par Mecanopolis,
        http://mecanopolis.**************/20...ent-localisee/

        Différentes source d’informations se recoupant permettent maintenant de localiser précisément cette base américaine.

        Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit exact où les douristes, allemands, suisses et autrichiens avaient été enlevé le 18 août 2003.

        Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement de cette base :

        - Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS du CPMI. Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le “Quotidien d’Oran” en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les “révélations” faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.

        - Le général Abdelmajid Saheb, qui dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.

        Mais il y a encore plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.

        Il s’agit “d’Executive Outcomes,” ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS. Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.

        Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération :

        Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.

        Le capitaine Stefan Desmond. Ancien officier du contre-espionnage sud-africain. Expert en armes chimiques et en explosifs, il aurait supervisé le largage de gaz de combat sur des maquis islamistes en Algérie. Chargé de la sécurité intérieure d’Executive Outcomes, on le présente aussi comme un spécialiste de la torture dite “scientifique.” Les Français ont quelques raisons de lui en vouloir car il a monté des mises en scène macabres de prétendus charniers de l’armée française. Les squelettes, supposés remonter à l’époque coloniale, avaient les mains attachées dans le dos par du fil de fer. Étrangement, et en dépit des années, aucune piqûre de rouille ne marquait le métal. Desmond est très proche du colonel Othman Tartag, dit Bachir, le chef du CPMI (3) et successeur à ce poste du général Kamel Abderrahamane (voir plus haut). Très brun et les cheveux frisés, Desmond se fait passer pour un Égyptien quand il doit se fondre dans l’environnement.

        Le commandant Uri Barsony. Il met en valeur une autre facette de la politique algérienne: les liens tissés entre Alger et les Israéliens. Si Barsony est un ancien officier supérieur sud-africain, il a aussi la nationalité israélienne. Il supervise l’entraînement des hommes d’Executive Outcomes et celui des Forces spéciales algériennes à Biskra. Mais, surtout, c’est lui qui effectue les achats d’armement sur le marché israélien, en particulier les lunettes de vision nocturne, autrefois fournies par les Français, et le napalm, plusieurs fois utilisé dans les montagnes de Kabylie. Barsony travaille en étroites relations avec le Shin Beth, le contre-espionnage israélien. Il s’est rendu à de nombreuses reprises, afin d’y enquêter, sur l’île de Jerba (Tunisie), après l’attentat commis contre la synagogue (avril 2001, 21 morts).

        En outre, Barsony apparaît comme l’un des principaux responsables des liens nouvellement tissés entre l’Algérie et Israël. Très proche du général Sadek Kitouni, ancien ambassadeur d’Algérie en Afrique du Sud, il a travaillé avec lui à la création d’une “Association d’amitié et de solidarité économique Algérie-Israël,” installée à Alger.

        Barsony n’est pas seul à s’activer en faveur du rapprochement entre Israël et l’Algérie. Déjà cité, son collègue Damink a organisé un voyage en Italie au cours duquel Abdelaziz Bouteflika, le Président de la République, a rencontré Dany Yatom, l’ancien patron du Mossad (5). Il a aussi mis sur pied des stages de formation d’officiers de la DRS (2) au centre du Mossad basé dans la banlieue de Tel-Aviv.

        On mesure l’importance prise par les mercenaires sud-africains en Algérie. On se demande cependant la raison de leur présence autour d’une base perdue dans le désert.

        Uri Barsony donne, à qui veut l’entendre, trois raisons: La lutte contre l’islamisme, la protection des champs de pétrole, et celle des gisements d’uranium.

        Manque de chance. L’affaire d’otages est sans doute montée par les services algériens dans la région de la base d’Ihérir, et quant aux champs de pétrole, ils sont à plus de 300 km et les mines d’uranium sont dans un autre pays, le Niger, à 700 km.

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        • #5
          Ma grand mère est aussi agent maussad

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          • #6
            mdr, ils tiennent tout le maghreb par les c*****es !!
            bon ba y a plus rien a esperer, je rompt mon boycot et vais m'acheter du coca et du jambon aussi tant qu'a faire.
            Dernière modification par Assif, 17 janvier 2009, 11h39.

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            • #7
              mdr, ils tiennent tout le maghreb par les c*****es !!
              bon ba y a plus rien a esperer, je rompt mon boycot et vais m'acheter du coca et du jambon aussi tant qu'a faire.
              bon apétit :


              PS : pas mal ton avatar , c'est un réve ou une réalité que tu souhaite voir se concrétiser.......
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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              • #8
                Il ya bien longtemps que j'ai plus de doutes sur le gouv marocains, trop de similitudes...
                Grand Maroc, Grand israel.....
                Les regrets profitent aux vivants et pas aux morts

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                • #9
                  Vous avez beau dire, vous avez beau faire en remuant toutes les archives que vous voulez, auusi bien le algeriens que les marocains.
                  La réalité c'est que au maghrèbe c'est toujours l'arabe qui te met un coup de poignard dans le dos, ce n'est as le juif.

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                  • #10
                    Il ya bien longtemps que j'ai plus de doutes sur le gouv marocains, trop de similitudes...
                    Grand Maroc, Grand israel..
                    c'était bien le rôle de la presse de faits divers algerienne
                    que de répéter et chercher les points communs au fin fond des choses
                    si tu veux rester un homme libre je te conseille de ne pas lire un article algerien quand ça parle du Maroc
                    même la propagande israelienne sur le Maroc est encore moins imposante

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