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Deux enfants tués à Gaza par des munitions non explosées
21/01/2009
Deux enfants de Gaza ont été tués par des munitions non explosées restées sur le terrain, a indiqué le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en mettant en garde contre "ce nouveau grave danger". Les deux enfants ont été tués hier dans la zone de Shaaf, près de Jabaliya (à l'est de la ville de Gaza), a précisé le CICR dans un communiqué.
"La plupart des enfants sont restés à la maison au cours des trois dernières semaines à cause des combats incessants. Maintenant que les combats ont cessé et qu'ils s'aventurent de nouveau dans les rues ils courent le risque d'être tués ou estropiés par ces restes de la guerre", a averti M. Imad Abou Hasirah, du CICR à Gaza. Des munitions non explosées jonchent le sol dans des zones peuplées. "Le fait que Gaza est la zone la plus densément peuplée au monde rend encore plus pressant ce problème", a relevé le chef du bureau du CICR à Gaza, M. Antoine Grand. La présence de munitions non explosées "représente une grave menace pour la population et pour les équipes de secours qui travaillent à présent sur le terrain. Cela peut ralentir le travail humanitaire", a-t-il souligné.
Le Figaro
Deux enfants de Gaza ont été tués par des munitions non explosées restées sur le terrain, a indiqué le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en mettant en garde contre "ce nouveau grave danger". Les deux enfants ont été tués hier dans la zone de Shaaf, près de Jabaliya (à l'est de la ville de Gaza), a précisé le CICR dans un communiqué.
"La plupart des enfants sont restés à la maison au cours des trois dernières semaines à cause des combats incessants. Maintenant que les combats ont cessé et qu'ils s'aventurent de nouveau dans les rues ils courent le risque d'être tués ou estropiés par ces restes de la guerre", a averti M. Imad Abou Hasirah, du CICR à Gaza. Des munitions non explosées jonchent le sol dans des zones peuplées. "Le fait que Gaza est la zone la plus densément peuplée au monde rend encore plus pressant ce problème", a relevé le chef du bureau du CICR à Gaza, M. Antoine Grand. La présence de munitions non explosées "représente une grave menace pour la population et pour les équipes de secours qui travaillent à présent sur le terrain. Cela peut ralentir le travail humanitaire", a-t-il souligné.
Le Figaro