Sept clients d'un restaurant non homologué ont été intoxiqués lundi en mangeant du poisson "fugu" mal préparé dans le nord du Japon, et trois d'entre eux restent hospitalisés.
Le propriétaire de l'établissement situé à Tsuruoka, qui est aussi le cuisinier, n'avait pas de licence pour servir le dangereux mets, des testicules grillés et du sashimi de fugu. Il a été interrogé par la police, soupçonné de négligence professionnelle, a précisé mardi un responsable policier, Yoshito Awase.
Les sept consommateurs ont souffert de paralysie des membres, de troubles respiratoires et de perte de conscience, des signes caractéristiques de l'empoisonnement. L'un d'eux âgé de 68 ans était dans un état critique et deux autres, 55 et 69 ans, dans un état grave.
Si le fugu est mal préparé en cuisine, il peut libérer un poison, la tétradotoxine, qui peut tuer en 90 minutes. Il est près de cent fois plus puissant que du cyanure. Selon le ministère japonais de la Santé, trois personnes sont mortes et 44 autres ont été intoxiquées en 2007, dont beaucoup après avoir tenté de le cuisiner elles-mêmes à la maison.
source : La Presse Canadienne
Le propriétaire de l'établissement situé à Tsuruoka, qui est aussi le cuisinier, n'avait pas de licence pour servir le dangereux mets, des testicules grillés et du sashimi de fugu. Il a été interrogé par la police, soupçonné de négligence professionnelle, a précisé mardi un responsable policier, Yoshito Awase.
Les sept consommateurs ont souffert de paralysie des membres, de troubles respiratoires et de perte de conscience, des signes caractéristiques de l'empoisonnement. L'un d'eux âgé de 68 ans était dans un état critique et deux autres, 55 et 69 ans, dans un état grave.
Si le fugu est mal préparé en cuisine, il peut libérer un poison, la tétradotoxine, qui peut tuer en 90 minutes. Il est près de cent fois plus puissant que du cyanure. Selon le ministère japonais de la Santé, trois personnes sont mortes et 44 autres ont été intoxiquées en 2007, dont beaucoup après avoir tenté de le cuisiner elles-mêmes à la maison.
source : La Presse Canadienne
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