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Les 100 personnalités qui feront l'Afrique en 2009 : Argent et affaires

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  • Les 100 personnalités qui feront l'Afrique en 2009 : Argent et affaires

    Argent et affaires

    La bourrasque financière qui menace l’économie mondiale ne devrait pas épargner le continent au cours de l’année 2009. Toutefois, des entrepreneurs continuent de nourrir des projets ambitieux, et pas seulement dans les secteurs liés à l’exploitation des matières premières. Certains misent sur l’agro-industrie, le transport aérien ou la production d’énergie, domaines dans lesquels le retour sur investissement est souvent plus long qu’ailleurs.

    Salwa Akhannouch
    Femme d’affaires, 35 ans, Maroc

    Après la signature d’un accord avec les Galeries Lafayette pour l’ouverture du plus grand centre commercial d’Afrique à Casablanca, l’épouse du ministre de l’Agriculture et patron d’Akwa, Aziz Akhannouch, est en négociations avec Ikea. La « reine de la franchise » a déjà introduit au Maroc la marque Zara.

    Mouatassim Belghazi
    Président de l’ONA, 40 ans, Maroc

    Président de l’Omnium nord-africain (ONA) depuis avril dernier, Mouatassim Belghazi doit faire évoluer le holding royal en proie aux difficultés de Wana, sa filiale spécialisée dans les télécoms. Docteur en sciences économiques, Belghazi a occupé plusieurs hautes fonctions au sein de l’administration publique avant d’être nommé en 2006 président-directeur général de la société Maroc-Émirats arabes unis de développement (Somed).

    Abdelwahab Ben Ayed
    PDG de Poulina, 70 ans, Tunisie

    À 70 ans, Abdelwahab Ben Ayed veut conquérir le monde. Le patron de Poulina Group Holding, qui a démarré ses activités avec une unité avicole en 1967, contrôle aujourd’hui soixante et onze filiales en Tunisie. Son conglomérat a été évalué à 600 millions d’euros un mois avant l’introduction en Bourse. L’année 2009 sera marquée par l’ouverture d’une unité industrielle à Shanghai et d’une aciérie en Algérie.

    Driss Benhima
    PDG de la RAM, 54 ans, Maroc

    L’année 2009 pourrait représenter un tournant dans l’histoire du transporteur Royal Air Maroc (RAM). La privatisation annoncée de la compagnie aérienne, la hausse des prix du carburant et la crise financière internationale sont autant de défis qu’aura à relever son président, Driss Benhima. À la tête de la compagnie depuis 2006, ce polytechnicien de 54 ans a déjà œuvré à l’ouverture de la RAM vers le continent africain et en a fait l’un des fleurons de l’économie marocaine. Après un passage à l’Office chérifien des phosphates puis à l’Office national de l’électricité, il est nommé ministre des Transports, de la Marine marchande, du Tourisme, de l’Énergie et des Mines en 1997. En juillet 2001, il devient wali de la région du Grand Casablanca puis directeur général de l’Agence pour le développement des provinces du Nord.

    Abdelwahid Bouabdallah
    PDG d’Air Algérie, 55 ans, Algérie

    Nommé à la tête d’Air Algérie le 1er mars 2008, Abdelwahid Bouabdallah s’est engagé à propulser la compagnie nationale parmi les plus performantes du Bassin méditerranéen. Le PDG doit désormais démontrer sa capacité à relancer Air Algérie (110 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2007). Membre du comité exécutif du FLN, député jusqu’en 2007, il bénéficie d’une réputation de redresseur d’entreprises publiques après avoir présidé aux destinées de la Caisse nationale d’épargne, de l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (Anep) ou du groupe de BTP Cosider. Mais, à 55 ans, il lui faudra aussi convaincre les 7 600 salariés du bien-fondé de sa stratégie pour restaurer la compétitivité de la compagnie dans un ciel amené à s’ouvrir bientôt à la concurrence.

    Hynd Bouhia
    Directrice de la Bourse de Casablanca, 35 ans, Maroc

    En ces temps de crise, la directrice de la Bourse de Casa va devoir maintenir le cap et redorer le blason de son institution, terni par plusieurs scandales. Née à Casa, diplômée de Centrale (Paris) et de Harvard, elle a commencé sa carrière à la Banque mondiale, avant de devenir conseillère économique du Premier ministre Driss Jettou en 2004. Depuis mars 2008, elle est à la tête de la troisième Bourse d’Afrique. Celle que le magazine Forbes a classée à la 29e place des 100 femmes les plus influentes du monde doit prouver qu’elle sait s’adapter à une conjoncture difficile.

    Saïd Boujbel
    Président de la Société nouvelle de brasserie, Tunisie

    Il préside l’un des principaux groupes familiaux de Tunisie. Leader dans l’hôtellerie (Sunny Hotels), Boujbel œuvre aussi dans l’agroalimentaire (dattes, boissons) ainsi que dans le secteur pharmaceutique avec Medis, laboratoire de fabrication de médicaments. En 2008, il s’est lancé dans l’huile d’olive et la bière. Saïd Boujbel préside le conseil d’administration de la Sonobra (Société nouvelle de brasserie), fruit d’un joint-*venture avec Heineken.

    Alassane Diallo
    DG des Industries chimiques du Sénégal, 52 ans, Sénégal

    Lorsqu’il a pris la direction des ICS en 2006, le défi paraissait insurmontable. Aujourd’hui, la société semble sortie d’affaire. Le consortium indien emmené par Iffco l’a recapitalisée en avril 2008 à hauteur de 44,5 milliards de F CFA (85 % des parts) et prévoit d’investir massivement. En 2009, la production d’acide phosphorique pourrait atteindre près de 600 000 tonnes.

    Mohamed El Kettani
    PDG d’Attijariwafa Bank, 50 ans, Maroc
    Mohamed El Kettani a terminé l’année 2008 en beauté. En rachetant les cinq filiales africaines du Crédit agricole, le patron d’Attijariwafa Bank (AWB)a largement accéléré le processus de développement de son groupe à l’international. D’un coup, il met le pied dans quatre nouveaux pays de la zone franc (Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire et Gabon) tout en s’offrant une troisième filiale au Sénégal. « Dans notre stratégie de développement, nous voulions que nos filiales africaines atteignent 27 % à 28 % du PNB du groupe à l’horizon 2012, explique-t-il. Or ce nouvel ensemble représente déjà 26 % du PNB de 2007. » Surtout, AWB prend une longueur d’avance sur son principal concurrent sur le continent, la BMCE, en passant à l’offensive en Afrique centrale, riche en pétrole. Pour la suite, Kettani compte reproduire la stratégie offensive d’Attijari, qui a déjà fait ses preuves au Maroc : ouvertures massives d’agences, développement de tous les métiers de la banque… Reste à donner un peu plus de cohésion à son groupe, présent aujourd’hui dans dix pays africains. Cela commencera par la création d’une marque pour l’ensemble de ses filiales aux consonances plus « internationales ».

    Tony Elumelu
    PDG de United Bank for Africa (UBA), 44 ans, Nigeria

    La crise financière internationale n’a ébranlé ni ses convictions ni ses appétits. À 44 ans, le président d’UBA veut faire de sa banque le premier établissement d’Afrique. Après avoir pris pied en Côte d’Ivoire, cet ancien diplômé de Harvard a pris le contrôle de la Banque internationale du Burkina (BIB), première banque burkinabè, qui commencera ses activités en 2009 sous pavillon nigérian.


    Suite (http://www.jeuneafrique.com/)

  • #2
    http://www.jeuneafrique.com/photos/0hynd-bouhia.jpgHynd Bouhia
    Directrice de la Bourse de Casablanca, 35 ans, Maroc

    En ces temps de crise, la directrice de la Bourse de Casa va devoir maintenir le cap et redorer le blason de son institution, terni par plusieurs scandales. Née à Casa, diplômée de Centrale (Paris) et de Harvard, elle a commencé sa carrière à la Banque mondiale, avant de devenir conseillère économique du Premier ministre Driss Jettou en 2004. Depuis mars 2008, elle est à la tête de la troisième Bourse d’Afrique. Celle que le magazine Forbes a classée à la 29e place des 100 femmes les plus influentes du monde doit prouver qu’elle sait s’adapter à une conjoncture difficile.
    Elle est deja virée de la Bourse de Casablanca!

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    • #3
      tu as des infos , sur ca?

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      • #4
        remplacée par Fathallah Berrada

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        • #5
          tu as des infos , sur ca?
          [...]Aux dernières nouvelles, seuls Hind Bouhia, directeur général de la Bourse de Casablanca et Omar Idrissi Kaïtouni, responsable du pôle informatique et membre du directoire, auraient démissionné de leurs postes, mercredi 26 novembre, suite à la demande du Conseil déontologique des valeurs mobilières. Fathallah Berrada préside toujours la place de Casablanca. Selon des sources bien informées, le conseil de surveillance de la Bourse lui aurait renouvelé sa confiance.]

          http://www.telquel-online.com/349/se...omie_349.shtml

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          • #6
            Il ne manquerait pas un certain Rebrab?!
            « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

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            • #7
              si il faut voir la suite pour rebrab,


              ps elle avait l'air d'etre competente avec tous ces dilomes, bizarre

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              • #8
                Il ne manquerait pas un certain Rebrab?!
                Ah il devrait etre le premier sur la liste - a mon avis- rien que pour sa maitrise des chiffres:-)

                Il a dit qu´a l´horizon 2015:

                - Son groupe peut exporter plus de 15 milliards de dollars hors hydrocarbures
                - Il prepare un megaprojet de plus de 30 milliards de dollars
                - Il prevoit la creation de 100 000 emplois directs et 1 000 000 indirects
                - (Et surtout si je me rappelle bien) il a dit une fois que l´eceonomie algerienne peut realiser une croissance de plus de 15% par an

                http://www.algerie-dz.com/forums/eco...ocarbures.html

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                • #9
                  Le plus drôle dans l'histoire est qu'il a l'habitude de tenir ses promesses.
                  « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », Abane Ramdane 1955.

                  Commentaire


                  • #10
                    Le plus drôle dans l'histoire est qu'il a l'habitude de tenir ses promesses.
                    S´il honore ses promesse, je dirai chapeau!
                    mais je pense que certaines promesses sont vagues et moins realistes. Esperons que le temps prouvera l´inverse!

                    Quelqu´un qui promet la creation de plus de 1.100.000 d´emplois (directs ou indirects) doit etre elu president de la republique, et pas seulement un chef d´Entreprise...et si on rajoute sa promesse d´une croissance annuelle d´economie de 15%, il merite d´etre introniser roi a vie

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                    • #11
                      Je comprends pas trop, ce n'est pas un classement, c'est juste une liste de 100 personnalités, pour ma part les premiers qui devraient être en tête de liste sont immanquablement le PDG de Sonatrach et de Cevital.
                      Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                      • #12
                        J'ai lu ce numéro de Jeune Afrique. On y trouve de nombreux marocains en demi-page alors que des algériens plus puissants financièrement et/ou avec un plus gros potentiels sont soit à la fin de ce classement et en tout petit soit absents !

                        Je me pose toujours des questions sur les rapports entre ce magazine et le Maroc. A combien se monte le chèque du Maroc pour écrire que du positif sur le Maroc ? Un million ? Deux ?
                        "Celui qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour."
                        Confucius

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                        • #13
                          les marocains sont dynamiques, ils bougent et créent leurs richesses

                          comme tout marché capitaliste, libérale et moderne, c'est le peuple (sous entendre le privé) qui crée les richesses et donne des parts à l'état

                          alors qu'en algerie, c'est l'état qui crée LA richesse (pétrole + gaz) et la distribue "socialement" sur le peuple

                          Commentaire


                          • #14
                            Businessmen algériens

                            Envoyé par Alloudi
                            Les marocains sont dynamiques, ils bougent et créent leurs richesses

                            comme tout marché capitaliste, libérale et moderne, c'est le peuple (sous entendre le privé) qui crée les richesses et donne des parts à l'état

                            alors qu'en algerie, c'est l'état qui crée LA richesse (pétrole + gaz) et la distribue "socialement" sur le peuple
                            Et les patrons privés algériens, ils se roulent les pouces peut-être ?.
                            ----------------------------------------------------------------------------------------


                            D'après Jeune Afrique.

                            Aucun dirigeant d'une entreprise du secteur public ne figure parmi notre sélection des personnalités les plus influentes de la sphère économique algérienne. Notre choix n'est pas seulement lié aux performances médiocres des sociétés étatiques et aux prestations contestées des administrateurs nommés par des holdings spécialisés pour gérer les capitaux marchands de l'État.

                            Il veut aussi tenir compte de la diversité des secteurs d'activité et de l'ampleur des investissements de l'économie algérienne, ainsi que des ambitions affichées de certains chefs d'entreprise du pays. Nous avons donc privilégié une sélection de patrons dont les groupes innovent et contribuent à augmenter sensiblement la richesse du pays. Si la gent féminine y est rare, sa seule représentante fait partie des 25 femmes les plus influentes des milieux économiques arabes.



                            Abdelkader Taïeb Ezzraimi
                            60 ans, PDG du groupe SIM

                            L'histoire de cet homme est une success story à l'américaine. En 1990, Ezzraimi acquiert une parcelle de terre dans la Mitidja pour y installer une minoterie. "A l'époque, l'Algérie achetait du blé et le faisait moudre au Maroc. Je m'étais alors juré de remédier à cette situation", explique-t-il aujourd'hui.

                            Dix-huit ans plus tard, la Semoulerie industrielle de la Mitidja (SIM) est devenue un groupe industriel qui pèse des centaines de millions d'euros. Deuxième producteur mondial de couscous après le français Ferrero, la SIM couvre les tiers des besoins de l'Algérie en farine et en semoule et exporte aux quatre coins du monde. A Blida, sa ville de prédilection, Ezzraimi a multiplié les projets immobiliers et fait construire une maison d'accueil pour les femmes victimes du terrorisme.


                            Ali Haddad
                            42 ans, PDG du groupe ETRHB Haddad

                            C'est en 1987 qu'Ali Haddad a lancé son entreprise de travaux publics, alors qu'il venait tout juste de quitter l'université de Tizi-Ouzou, son diplôme d'architecte en poche. Vingt ans plus tard, il est le patron de l'un des plus importants groupes de BTP algériens. Grands travaux routiers, transports, hôtellerie : ETRHB emploie actuellement plus de 500 personnes et des milliers de saisonniers. Il réalise aussi un chiffre d'affaires ?de 100 millions d'euros par an et compte parmi ?ses partenaires les français Vinci et Alstom.


                            Arezki Idjerouidène
                            53 ans, patron d'Aigle Azur

                            Lorsqu'il quitte l'Algérie, en 1977, pour s'installer en France, ce jeune juriste était loin de se douter qu'il deviendrait, trois décennies plus tard, un influent patron. Il y est parvenu en lançant, en 1983, une société de services logistiques et de transit avant de racheter, en 2001, une compagnie aérienne moribonde : Aigle Azur. Sept ans après ce coup de poker, ses avions desservent l'Europe, le Maghreb et l'Afrique subsaharienneÂÂÂ…


                            Djillali Mehri
                            70 ans, PDG du Groupe Mehri

                            Agroalimentaire, hôtellerie, informatique, audiovisuel : Djillali Mehri est un capitaine d'industrie qui brasse large. Natif de la ville d'El-Oued, dans le Sud algérien, il est aussi le partenaire du géant mondial de l'hôtellerie Accor pour la réalisation de 36 établissements Ibis dans plusieurs régions d'Algérie. Amateur d'art, possédant une prestigieuse collection de tableaux de maîtres orientalistes, Mehri partage sa vie entre sa résidence parisienne et son immense propriété à El-Oued.


                            Issad Rebrab
                            64 ans, président du conseil d'administration de Cevital

                            Il n'est pas peu fier quand il affirme que son groupe, Cevital, est la seule entreprise algérienne privée à disposer du crédit corporate, un statut qui lui permet d'accéder directement aux financements internationaux sans passer par la caution de l'État algérien. « Seul le groupe pétrolier public Sonatrach disposait de ce privilège », se réjouit-il. La réussite de cet ancien comptable tient à son redoutable sens des opportunités économiques. Cevital pèse désormais plusieurs milliards d'euros et domine la filière agroalimentaire algérienne. Issad Rebrab ambitionne un développement à l'international avec, entre autres, des projets industriels en Libye et en Arabie saoudite.


                            Réda Hamiani
                            61 ans, Patron des patrons

                            Le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE) est le descendant d'une famille miraculée de l'ère socialiste. À la tête d'une entreprise de textiles, les Hamiani ont toujours su résister aux vagues de nationalisations qui ont régulièrement touché les unités industrielles privées lors des deux premières décennies de l'Algérie indépendante. Et c'est tant mieux : les produits Redman (contraction des prénoms Réda et Abderrahmane, deux membres de la fratrie) sont, en effet, particulièrement appréciés des Algériens et ont habillé des générations de cadres et de fonctionnaires. Le savoir-faire de Réda Hamiani lui a valu, en 1994, de devenir ministre des PME-PMI. À la tête du patronat depuis 2006, il participe à tous les débats portant sur l'avenir économique du pays.


                            Soraya et Abdelwahab Rahim
                            49 et 56 ans, investisseurs

                            Ils forment le couple le plus en vue du Tout-Alger. Propriétaires du prestigieux hôtel Hilton implanté à côté de l'aéroport international d'Alger, associés au géant de la grande distribution Carrefour à travers leur groupe Arcofina, ils ont construit une tour d'affaires dans la capitale. Un pôle qu'ils projettent de développer en y ajoutant un centre commercial de standing, une marina, des espaces socioculturels, des parkings et un parc de loisirs. Abdelwahab est également propriétaire d'une florissante entreprise d'assurances (2A). Soraya figure parmi les 25 *femmes les plus influentes du monde arabe, selon un classement établi en 2007 par le Financial Times.


                            Famille Hamoud Boualem
                            Héritiers des limonades Boualem

                            Pour avoir su conserver le goût de leur boisson préférée et sauvegarder le label Boualem malgré les vicissitudes du temps et les crises à répétition, les Algériens sont pleins de reconnaissance à l'égard des héritiers de Hamoud Boualem, ce limonadier qui a créé, au début du siècle dernier, un soda qui porte son nom. Le breuvage, qui fait la fierté des Algériens, a réussi à résister aux bulles américaines Coca-Cola et Pepsi Cola, tandis que le groupe familial est parvenu, lui, jusqu'à présent, à échapper aux tentatives de rachat et à garder intact le secret de fabrication du breuvage qui a fait sa réputation.

                            10/09/2008. Jeune Afrique
                            Dernière modification par zek, 30 janvier 2009, 20h50.
                            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                            Commentaire


                            • #15
                              Et les patrons privés algériens, ils se roulent les pouces peut-être ?.
                              il faut dire que les marocains les dépassent un peu

                              Commentaire

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