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Medelci dénonce le déni des droits des Palestiniens et des Sahraouis

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  • Medelci dénonce le déni des droits des Palestiniens et des Sahraouis

    évoquant les avancées algériennes dans le domaine des droits de l’Homme
    Medelci dénonce le déni des droits des Palestiniens et des Sahraouis
    17-03-2009

    Par Amar Rafa

    Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a souligné hier à Genève l’adhésion pleine et entière de l’Algérie aux valeurs universelles des droits de l’Homme, évoquant le déni dont font l’objet les peuples palestiniens et sahraouis.

    Intervenant devant la 10ème session ordinaire du Conseil des Nations unies des droits de l’Homme, il a rappelé le message adressé par le chef de l’Etat à la nation, dont la finalité était de marquer sa volonté d’engager de nouvelles réformes, aux plans politique, économique, social et culturel, pour faire régner, en tout lieu et à tout moment, la démocratie et l’Etat de droit.

    Selon M. Medelci, la priorité accordée par l’Algérie à la promotion et à la protection des droits de l’Homme s’est traduite par son adhésion à l’ensemble des instruments internationaux, tout en intégrant «la promotion et la protection des droits de l’Homme et des libertés fondamentales dans son entreprise stratégique d’édification d’un Etat moderne».

    Il précisera que cette démarche politique s’est traduite par de multiples accomplissements démocratiques à la faveur de la mise en œuvre d’une importante initiative de réformes structurelles de l’Etat qui ont touché notamment les secteurs de l’administration, de l’éducation et de la justice. Au premier rang de ces reformes, il citera les mesures prises pour renforcer l’indépendance de la justice, à travers l’adoption et la promulgation de deux lois organiques : l’une portant statut de la magistrature et l’autre relative au Conseil supérieur de la magistrature.

    Au deuxième rang figure la mise à jour du dispositif législatif, qui a notamment concerné le code pénal, le code de la nationalité et le code de la famille. A cela s’est ajouté, en novembre dernier, à la faveur de la révision constitutionnelle, la décision d’«œuvrer à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d’accès à la représentation dans les assemblées élues».

    Au troisième rang se situent toutes les reformes induites par la politique de concorde civile et de la réconciliation nationale. Le ministre des AE a en outre évoqué la mise en place de mécanismes internes d’alerte, de promotion, de protection et de surveillance du respect des normes internationales relatives aux droits de l’Homme.

    Il a aussi signalé que l’Algérie s’est dotée d’une commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme. En évoquant les luttes menées par l’Algérie pour l’émancipation des peuples, il a rappelé la dramatique situation du peuple palestinien. A ce propos, il exprimera les félicitations de l’Algérie pour la décision prise par le Conseil des droits de l’Homme de mettre en place une commission d’établissement des faits suite à l’agression d’Israël contre Ghaza.

    M. Medelci a également attiré l’attention sur le sort réservé au peuple sahraoui qui attend de la communauté internationale la mise en œuvre de son droit à l’autodétermination et la protection de ses droits humains. Selon M. Medelci, «la poursuite et l’aggravation des violations des droits de l’Homme au Sahara occidental commandent que des dispositions soient prises par les Nations unies pour la publication» du rapport du haut commissaire aux droits de l’Homme élaboré en 2006, «injustement maintenu jusqu’ici sous embargo, et pour la mise en place d’un mécanisme approprié de promotion et de protection des droits de l’Homme dans les territoires occupés».

    En définitive, le ministre algérien des AE a souligné l’importance qu’accorde l’Algérie à la conférence d’examen de Durban, qui devrait déboucher sur une prise en charge responsable de la question de l’impunité pour les actes de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et d’intolérance, y compris leurs manifestations contemporaines. A ce titre, il a annoncé une contribution volontaire de 50 000 dollars pour le financement des activités entrant dans le cadre du processus de Durban.

  • #2
    évoquant les avancées algériennes dans le domaine des droits de l’Homme
    par exemple ?

    des ONG, associations ?
    audiovisuel ?
    réconciliation nationale ?


    il dit n'importe quoi celui là

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    • #3
      blablabla


      du khorti fumeux

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      • #4
        Au deuxième rang figure la mise à jour du dispositif législatif, qui a notamment concerné le code pénal, le code de la nationalité et le code de la famille. A cela s’est ajouté, en novembre dernier, à la faveur de la révision constitutionnelle, la décision d’«œuvrer à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d’accès à la représentation dans les assemblées élues».
        mwahaha, qui parlait encore de fou rire? Voila la definition de l'etat de droit de Medelci: Nous sommes un etat de Droit, nous changeons la constitution "legalement" pour permettre a notre president un 3eme mandat....

        M. Medelci a également attiré l’attention sur le sort réservé au peuple sahraoui qui attend de la communauté internationale la mise en œuvre de son droit à l’autodétermination et la protection de ses droits humains. Selon M. Medelci, «la poursuite et l’aggravation des violations des droits de l’Homme au Sahara occidental commandent que des dispositions soient prises par les Nations unies pour la publication» du rapport du haut commissaire aux droits de l’Homme élaboré en 2006, «injustement maintenu jusqu’ici sous embargo, et pour la mise en place d’un mécanisme approprié de promotion et de protection des droits de l’Homme dans les territoires occupés».
        T'as vu Bachi, rien de neuf, je te l'avais dit, des qu'Alger n'a plus rien a dire, elle fait le parallelle sahara/palestine Un classique.. A part ca, un message vide, il ne peut repondre a Hilale qu'en faisant dans les generalites parce que tout ce qui a ete dit a propos de l'Algerie etait vrai. Tout simplement.

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        • #5
          Là-dessus, tu as raison, Ayoub

          Medelci ne voit de déficit de droits de l'homme qu'avec le SO et la Palestine.
          Il semble être aveugle sur ce qui se passe en Tunisie, en Lybie, Egypte, Toute l'Afrique, quoi....

          Allah ghaleb alina, nous ne méritons pas d'aussui médiocres représentants.

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          • #6
            La dessus, tu as raison, Ayoub

            Medelci ne voit de déficit de droits de l'homme qu'avec le SO et la Palestine.
            Il semble être aveugle sur ce qui se passe en Tunisie, en Lybie, Egypte, Toute l'Afrique, quoi....

            Allah ghaleb alina, nous ne méritons pas d'aussui médiocres représentants.
            Tu sais j'aurai aime que les 2 pays s'affrontent intelligement sur la question, je n'ai aucun probleme avec la confrontation, si au moins il en naissait une rivalite "positive" et de bonnes choses en ressortent. mais tout ce que fait Alger la, c'est qu'elle permet au maroc de la trainer dans la boue a un moment ou elle pourrait vraiment s'en passer... De l'autre cote, Alger essaie aussi de trainer dans la boue le Maroc en l'accusant de manquements aux droits de l'homme etc.. Le seul hic, c'est que le maroc n'a non seulement aucun probleme a reconnaitre cela, mais il travaille avec plusieurs instances nationales et internationales avec chiffres, echanges d'experience et une ouverture sans pareil de toute son histoire pour remedier a cela et avancer. C'est pour cela que je dis que dans cette histoire, l'Algerie y laissera des plumes.. Et tout cela, avant meme que le Maroc ne siege dans la commission des droits de l'homme europeenne...

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            • #7
              Le premier des droits que Medelci devrait donner aux algériens c'est le droit d'aller voter librement afin de décider de leur avenir.

              C'est marrant !Comme d'habitude dans son discours Il n'y en a que pour les sahraouis ,les autres vrais persécutés de la planète ils n'ont qu'à aller se rhabiller

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              • #8
                a mise à jour du dispositif législatif, qui a notamment concerné le code pénal, le code de la nationalité et le code de la famille.
                Gallek le code de la famille pfrrrrrrrrr
                Une femme algérienne quelque soit son rang dans la société algérienne, doit avoir l'avale de son père pour se marier et demander l'autorisation à son mari pour voyager....c'est bien... c'est bien ça le droit des hommes
                à Genève on devrait bien se marrer

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                • #9
                  Meldeci en parlant des droits de l'homme a oublié ça:

                  GENÈVE CORRESPONDANCE
                  Ils sont là pour parler encore et toujours des proches dont ils ne peuvent faire leur deuil malgré le temps : frères, maris, fils, mères ou soeurs qui, dans les années 1990, ont disparu en Algérie après avoir été raflés par les forces de sécurité ou les groupes armés islamistes. Au total, ils seraient entre 8 000 et 15 000 personnes, selon les sources, à avoir subi ce sort à une époque où le pays était déchiré par une guerre civile qui ne disait pas son nom. Le 5 et 6 mars, l'Organisation mondiale contre la torture (OMCT) et le collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA), en partenariat avec les associations algériennes Djazairouna et Somoud, qui défendent les victimes du terrorisme, se sont réunis à Genève pour une conférence intitulée "Vérité en Algérie : bilan et perspectives un an après les recommandations onusiennes".
                  "Nous voulons que nos cris et notre quête de vérité soient entendus", explique Nacera Dutour, porte-parole du CFDA, dont le fils de 21 ans a disparu en janvier 1997. Tous réclament pour l'Algérie une commission vérité sur le modèle de celles instaurées en Afrique du Sud et en Amérique latine.
                  Depuis trois ans, l'exigence de justice des familles des disparus algériens se heurte à la "Charte pour la paix et la réconciliation nationale" présentée par les autorités et adoptée par référendum en septembre 2005.
                  Les textes d'application de cette charte, qui est censée "tourner la page" de la décennie sanglante, prévoient l'extinction des poursuites contre la plupart des anciens combattants islamistes, et l'interdiction de présenter à la justice les membres des forces de sécurité - pourtant responsables, selon les ONG, de la majorité des disparitions.
                  Les proches d'un disparu peuvent prétendre au versement d'indemnités financières, mais le texte stipule aussi que celui qui "instrumentalise les blessures de la tragédie nationale" - autrement dit celui qui soulève ce problème publiquement - risque la prison.
                  En février 2007, un séminaire organisé par les familles des disparus sur une possible commission vérité pour l'Algérie a ainsi été interdit à Alger. Quelques jours auparavant, le pays avait pourtant ratifié la Convention de l'ONU contre les disparitions forcées.
                  A Genève, deux jours durant, la chape de plomb qui pèse sur la question des disparus en Algérie s'est soulevée dans le cadre du Conseil des droits de l'homme, dont la dixième session se tient à jusqu'au 27 mars. Les intervenants ont parlé du manque et de la douleur, de l'impossibilité d'oublier, évoquant les plaintes et les requêtes en justice déposées sans succès.
                  "Nos absents présents continuent à peupler nos jours", a témoigné Hassan Ferhati, dont la mère a disparu en juin 1996 à Constantine, à l'âge de 68 ans, après avoir été arrêtée par les forces de sécurité. "Nous sommes tous devenus fous et malades, et nous devons faire des kilomètres et des kilomètres pour témoigner", a résumé Ali Merabet, le président de Somoud, dont les deux frères ont été enlevés en 1996 par les islamistes.
                  Seuls les deux membres de la Commission nationale consultative de protection et de promotion des droits de l'homme (CNCPPDH) - l'organe officiel algérien - se sont félicités à Genève des efforts accomplis par leur pays. Ils ont fourni de nouveaux chiffres des disparus : 8 023 cas recensés à présent, contre 6 146 précédemment.
                  Agathe Duparc
                  Le monde le 10/03/09

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                  • #10
                    Tu sais j'aurai aime que les 2 pays s'affrontent intelligement sur la question, je n'ai aucun probleme avec la confrontation, si au moins il en naissait une rivalite "positive
                    ne t'énerve pas trop Ayoub ça viendra une génération de gens positifs qui veulent construire et ne pas faire une fixation sur leur voisin en occultant le reste de la région. J'aimerais bien qu' Alger nous épingle et nous conseille sur le droit de l'homme, comme un vrai frère, sans mauvaise foie et sans arrière pensé pour des raisons politicienne malsaine, tout en faisant l'impasse sur ses propres droits de l'homme.
                    Mais là, plus Alger nous critique pour nous dénigrer plus il nous renforce dans notre unité autour du trône qui est pour nous reste le symbole de l'unité et de la défense de l'intégrité du pays.

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                    • #11
                      moi ce qui me fait rire, c'est que nos amis marocains se servent de la situation interne de l'algerie pour dire qu'on doit pas s'interesser à ce qui se passe à l'étranger, au sahara occidental, en palestine, dans le monde arabe etc !

                      dans le cas present, ni le maroc ni l'algerie n'ont à bomber le torse, seuls ceux qui ont lancé un houra à la demande de la CPI sur oumar al bechir peuvent se targuer d'un peu de moralité politique !

                      sinon tout le reste n'a qu'à se taire à mon avis !

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                      • #12
                        moi ce qui me fait rire, c'est que nos amis marocains se servent de la situation interne de l'algerie pour dire qu'on doit pas s'interesser à ce qui se passe à l'étranger,
                        ça se voit que vous vous intéressez aux droits de l'homme en Tunisie et en Lybie et pourtant votre autres voisins.. et en Afrique et pourtant vous êtes membre fondateur de l'union africain....
                        De tous les peuples il n'y a que les sahraouis marocains qui vous intéressent et de tous les pays il n'y a que le Maroc qui vous turlipine
                        Alors là je dis arrêtez votre hypocrysie et votre mauvaise fois

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                        • #13
                          les arabes ont pu reconcilié moubarak et assad, ils doivent faire quelque choses pour arreter ce cirque de el fassi et medelssi

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                          • #14
                            Ya rabbi oustourna men les autres Arabes...
                            A nous deux, c'est déjà la hrira... Imagine qu'il y ait d'autres qui mettent leur nez dans nos affaires. héhéhé

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                            • #15
                              hihi diablo, tu crois que ce qui s'était passé au rwanda a laissé les algeriens de marbre ? les algeriens sont integrés au monde et son interpellés sur toutes les scenes du monde, en tout cas les mieux informés et les plus justes !

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