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Un Bosniaque, qui avait tiré avec un lance-roquette antichar sur sa belle-mère, qu'il tenait pour responsable de l'échec de son mariage, a été condamné à six ans et demi de prison, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Miroslav Miljic, 26 ans, a été reconnu coupable de "tentative de meurtre" par un tribunal de Doboj, dans le nord de la Bosnie, a dit un responsable de la cour.
Après avoir été quitté par son épouse, en novembre, M. Miljic s'est violemment disputé avec sa belle-mère, l'accusant d'avoir poussé sa fille à mettre fin à leur relation conjugale.
Après cette dispute, il a quitté le domicile de sa belle-mère, à Doboj, pour revenir peu après, armé d'un lance-roquettes et un fusil automatique. Il a alors tiré une roquette antichar sur la maison.
Sa belle-mère a été grièvement blessée dans l'explosion. Son épouse et son beau-père, qui se trouvaient également dans la maison en ce moment, ont essuyé des blessures légères.
Le forcené a ensuite tenté d'achever sa belle-mère par des tirs de kalachnikov, mais il l'a ratée. Les supplications de cette dernière l'ont finalement convaincu de lui laisser la vie.
Les autorités bosniaques tentent toujours de récupérer les armes en circulation depuis la fin de la guerre intercommunautaire de 1992-1995. Beaucoup d'armes sont détenues illégalement par des civils.
Après avoir été quitté par son épouse, en novembre, M. Miljic s'est violemment disputé avec sa belle-mère, l'accusant d'avoir poussé sa fille à mettre fin à leur relation conjugale.
Après cette dispute, il a quitté le domicile de sa belle-mère, à Doboj, pour revenir peu après, armé d'un lance-roquettes et un fusil automatique. Il a alors tiré une roquette antichar sur la maison.
Sa belle-mère a été grièvement blessée dans l'explosion. Son épouse et son beau-père, qui se trouvaient également dans la maison en ce moment, ont essuyé des blessures légères.
Le forcené a ensuite tenté d'achever sa belle-mère par des tirs de kalachnikov, mais il l'a ratée. Les supplications de cette dernière l'ont finalement convaincu de lui laisser la vie.
Les autorités bosniaques tentent toujours de récupérer les armes en circulation depuis la fin de la guerre intercommunautaire de 1992-1995. Beaucoup d'armes sont détenues illégalement par des civils.
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