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Classement des 150 premières entreprises Maghrébines

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  • Classement des 150 premières entreprises Maghrébines

    Classement des 150 premières entreprises Maghrébines

    Voici le classement des principales entreprises pour chaque pays du Maghreb, tous les données sont issues du hors série N°7 du Magazine jeune Afrique, consacré au 500 premières entreprises africaines.

    Comme cité dans le magazine il faut noter qu’il est évident que ce classement et loin d’être exhaustif, car toutes les entreprises des pays en questions n'ont pas forcément répondus à l'enquête de jeune Afrique, donc de nombreuses entreprises ne se sont pas manifestées pour l’occasion mais l’étude est assez large et solide pour donner une bonne vue d’ensemble sur l’état des grands groupes industrielles pour chaque pays.

    Il y'a un classement par pays, qui présente les 50 premiéres entreprises du pays en questions, en présentant le chiffre d'affaire total et moyen et le resultat net total et moyen par entreprise, avec et hors secteur des hydrocarbures.

    On retrouve aussi un tableau et un diagramme de répartition sectorielle pour chaque pays


    Classement des 50 premiéres entreprises par pays


    Classement des 50 premiéres entreprises algériennes







    Classement des 50 premiéres entreprises marocaines







    Classement des 50 premiéres entreprises tunisiennes






    Classement des 177 premiéres entreprises maghrébines


    Le classement suivant regroupe toutes les entreprises maghrebines, en présentant leurs chiffres d'affaires et leurs résultats net totale, pour l'ensemble du Maghreb et par pays.


    Classement par le chifres d'affaires pour les entreprises maghrebines






    Classement par secteur d'activité et par le chifres d'affaires pour les entreprises maghrebines






    Répartion des entreprises de chaque pays au niveau du Maghreb avec est hors secteur des hydrocarbures


    Dernière modification par mohamed100, 14 novembre 2005, 17h42.

  • #2
    Milles merci mon ami, tu es un ange...

    J'attendais comme prévu ton thread....

    Un vrai bonheur de lire ca ......je n'ai pas assez de recul pour répondre. Je le le ferais inchallah une autre fois.

    Stan

    Ps: pourrais je avoir le fichier source en Excel ?
    “If you think education is expensive, try ignorance”
    Derek Bok

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    • #3
      Merci mohamed pour le travaille que tu as fais je suis entrain de voire ces chiffre c'est vraiment interessant comme chiffre.

      Répartion des entreprises de chaque pays au niveau du Maghreb avec est hors secteur des hydrocarbures

      je suis vraiment surprie par ces chiffres surtous hors hydrocarbures la tunisie fais mieux que l'algerie, si c'etais pas detaille je le croierai pas, je crois que ces payes doivent travailler ensemble dans beacoup de domaine, par exemple faire des grandes holding dans le trasport RAM Air Algerie et Air Tunisie, dans le domaine de trains a grande vitesse un TGV maghrebin, dans les domainnes des banks, l'industie (de l'agroalimentaire a l'electronic et automobille) aussi dans le domaine de l'energie faire une industrie maghrebine dans ce domaine pour avoire une bonne valeur ajouter dans les produits petrolier algerien parceque vendre juste le brut c'est pas une bonne idee et beacoup d'autre choses.....

      l'algerie fait 52% de chiffre d'affaire dans le maghreb il faut proffiter pour developper les autres secteur.

      merci encore une fois mohamed100 je vais voire les autres chiffre.
      Dernière modification par auscasa, 10 novembre 2005, 17h57.

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      • #4
        Je n'arrive pas a visualiser les donnees de Mohammed. Qlq 1 sait-il cmt faire?
        Merci
        Les Mathematiques Sont La Poesie De La Science

        Commentaire


        • #5
          merci pour nous avoir remonter ces chiffres.
          je voudrai préciser une chose cependant, l'ensemble de ces sociétés ne sont pas à mettre aux profits des économies des états seulement car j'apperçois certaines sociétés faisants parties de pays mais les capitaux sont étrangers à ces mêmes pays et donc les bénéfices sont rapatriés ailleurs.
          donc le volumes de chiffres d'affaire de certaines compagnies se fait bien dans le pays mais aussi et surtout, contributs à un effet inverse quant aux bénéfices de son activité pour le pays ou elles exercent car la fuites des bénéfices ne permet pas de jouer son effets moteurs pour le reste de l'economie d'un pays, et ce pour des raisons diverses qu'il serait trop long à expliquer mais pour faire cour, certaines sociétés à capitaux étrangers et qui excerce dans les pays mentionnés font en sorte que ces sociétés deviennent des vaches à lait pour des besoins purement capitalistique certes mais aussi pour et souvent, les intêrets des européens.

          alors je suis heureux que l'Algérie est très peu touché par cela.

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          • #6
            Trés bien vu Borntolive. Je partage ton point de vue.


            ...la fuites des bénéfices ne permet pas de jouer son effets moteurs pour le reste de l'economie d'un pays, et ce pour des raisons diverses qu'il serait trop long à expliquer
            Aussi longue, soit elle, c'est avec plaisir que je lirais ton explication.

            Amitiés
            “If you think education is expensive, try ignorance”
            Derek Bok

            Commentaire


            • #7
              Aussi longue, soit elle, c'est avec plaisir que je lirais ton explication.
              merci Stanislas

              alors par ou commencer...des exemples, non?

              les pays voisins de l'Algérie ont joués à un jeu très dangeureux économiquement avec les investisseurs étrangers, voulant attiré à tous pris des IDE et bien ils ont données des avantages exorbitants à ces mêmes investisseurs, comme la diminution des impots sur les bénéfices, liberté de pouvoir les rapatrier sans aucuns contrôles, ventes de terrains défiant toutes concurence ( si ce n'est donné gratuitement),et le plus grave la possibilté de ne pas avoir d'autres concurrents.
              alors le Maroc et la Tunisie s'attendaient à recevoir des investissement sur des secteurs d'activités et de productions qui n'existait pas chez eux.
              malheureusement pour eux la plupart de ces investissement ce sont fait sur des entreprises et secteurs d'acvités existants, et le fait d'avoir eu des IDE sur ces entreprises seulement, qui de toute façon auraient fait des bénéfices, et bien ces mêmes bénéfices partent à l'étrangers, cependant il faut bien savoir aussi que ces investissement ont pu aussi avoir eu un côté positif sur la gestion et la compétitivité de ces mêmes entreprises mais toujours pour rationnaliser l'investissement interne seulement et rarement pour l'amener à l'accompagner, à grandir à l'étranger.
              de plus la globalisation mondial et la réductions des coûts fait que la recherche et la gestion statégiques de "cette filliale" ne sont plus du ressort du pays qui pourtant apporte du chiffre d'affaire et les bénéfices non négligeable.
              ex: Maroc telecom absorbé par VU alors que MT était une entreprise d'état qui rapportait beaucoup au trésors marocains et permettait aux marocains de pouvoir construire un grand groupe internationnal Marocain avec des possibilités de conquérir d'autres marchés mondiaux comme l'Egyptien ORASCOM, mais aujourd'hui c'est VU et la stratégie d'expention ce fait par rapport aux intêrets Français et pas Marocain.
              mais le pire c'est que VU fait en sorte qu'il n'y ai pas d'autres opérateurs de téléphonie mobile au Maroc, ce qui est incroyable pour ce pays qui était en avance sur l'Algérie en matière de téléphonie mobile mais ne compte que deux opérateurs alors que chez nous c'est trois.

              pour revenir au sujet principale sur la taille des entreprises nord-africaine et bien elle sont souvent le résultat d'une polique désastreuse de concentration d'activité qui ont pour principale avantage de permette à des sociétés étrangères de prendre le contrôle de secteurs statégiques à moindres coûts, d'en tirer un bénéfice immédiate et futurs en ferrouillant la concurrence futur.

              alors l'Algérie aujourd'hui comme hier et contrairement aux autres pays de la région, n'a pas ouvert l'investissement étranger sans "garde fou" et c'est pour cela que l'investissement étranger n'est pas important en matière de participation dans nos entreprises, pour la bonne et première raison, c'est que les investisseurs ne peuvent rapatriés leurs futur bénéfices comme cela,en dehors du retour sur l'investissement initial.

              ex: ORASCOM, avec Djezzy en Algérie, ils ont investi un marché pratiquement inexistent, ont payé une licence pour 700 millions de dollards, et des centaines d'autres millions pour s'implanter, mais malgré cela leur bénéfice hors investissement initial et réglementé et le gateaux sur la cerise, il a permis à notre apérateur moribon à l'époque, Algérie telecom de re-naître de ces cendres et de s'élever aux critères de qualités que Djezzi à installé dans la pays en matière de téléphonie moblile et nous avons même lancé une autre licence.
              alors maintenant imagines-toi si à l'époque l'Algérie avait s'implement vendu Algérie télécom aux Egyptiens....

              pour finir il est injuste de toujours vouloir enlever le secteur des hydrocarbures Algérien du classement des entreprises, vous savez nous avons construit un véritable savoir faire autour du pétrole et créé des entreprises national chargés de trouver le pétrole, de l'extraire, de la raffiner, de l'exporter, de la distribuer d'une façon unique dans les pays arabes exportateur de pétrole, qui pour la plupart existe avec la participation de sociétés étrangères dans leur capital.à bientôt.

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              • #8
                trés trés enrichissante ton intervention.....

                A bientôt l'ami .....
                “If you think education is expensive, try ignorance”
                Derek Bok

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                • #9
                  borntolive merci pour votre analyse, mais je suis pas d'accord avec toi sur des point:

                  ORASCOM, avec Djezzy en Algérie, ils ont investi un marché pratiquement inexistent, ont payé une licence pour 700 millions de dollards, et des centaines d'autres millions pour s'implanter, mais malgré cela leur bénéfice hors investissement initial et réglementé et le gateaux sur la cerise, il a permis à notre apérateur moribon à l'époque, Algérie telecom de re-naître de ces cendres et de s'élever aux critères de qualités que Djezzi à installé dans la pays en matière de téléphonie moblile et nous avons même lancé une autre licence.
                  si orascom a paye 700 millions de $ en 2003 je crois medi telecom a paye 1.2 milliard $ en 1998 et pour ce qui est de maroc telecom le maroc ne l'a pas vondue comme tu dis a un ptit prix mais a un prix fort c'est 2.3 milliard de $ pour 35% alors le gouvernement marocain ne vend pas des milliers de societe a 1dh simbolique mais avec le prix fort.

                  je vois la liste des 50 entreprises marocaines
                  il y a maroc telecom , regis des tabacs vendue au espagnol a un prix fort, shell maroc, lyonnaise des eaux , medi telecom, lafarge, renaut maroc que le gouverment viens de vendre. alors il y a que 7 sur les 50 qui sont pas marocain et 5 des 7 ont etais vondue dans les 4 derniere anne. le reste c'est marocains a 100% ou a majorite marocainne.

                  le gouverenemt marocain fait plus d'argent sur maroc telecom que ce qu'ils fesait avant au nivaux de tax.

                  tous le monde cherche les invistisement international, je comprend pas comment tu dis que les invistisement international ne sont pas bien pour les pays, je crois c'est pour sa les arabes ont investis 1 trillion $ dans d'autre paye parcequ'ils sont libre de prendre leur argents quand ils veulent et si tous le monde pense comme toi l'argents des arabes resterons en europe et au usa.

                  bon c'est juste un point de vue n'oublions pas que l'algerie c'est un paye riche il faut pas faire la comparaison avec le maroc .
                  le maroc ou la tunisie n'ont pas d'autre solution qu'a ouvrire leur frontiere mais pour l'algerie ils peuvent ce permetre de ne pas le faire.

                  si ont voie bien ce n'est que dans les 2 derniere anne que vivandi a prix 51 % de maroc telecom
                  et la meme chose pour renaut lyonnaise des eux .... alors le maroc a etais comme l'algerie mais il a change de politique economique.

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                  • #10
                    L’intérêt d’attirer les investisseurs étrangers en masse.



                    Actuellement le manque de visibilité et la rigidité du marché financier et du marché des changes figurent comme étant les principaux facteurs entravant l’investissement étranger dans le pays.

                    Malgré un coût de la main d’œuvre et un coût de l’énergie inférieur aux voisins, le pays reste à la traîne au niveau des investissements industriels.

                    Actuellement les pays maghrébins dans leur ensemble ne sont pas capables de créer directement leur propre développement pour de nombreuses raisons.

                    La solution la plus efficace et là plus rapide est d’attirer le maximum d’investisseurs dans les secteurs qui sont les plus porteurs, et les plus pourvoyeurs en main d’œuvre, pour réduire le chômage.

                    Donc je pense que le pays doit attirer un maximum de grandes entreprises et de multinationales, car à l’heure actuelle se sont les seules entreprises capables de créer de véritable synergie au niveau d’un pays.

                    Pour illustrer la chose si l’on prend le cas des derniers investissements de Renault en Roumanie on peut constater, que cette multinationale de l’automobile a totalement vue, revues et corrigé l’industrie automobile de ce pays. (En caricaturant un peu il y’a de cela quelques années la charrette était le premier moyen de transport en Roumanie et aujourd’hui grâce à ses réformes économique faite très rapidement le pays produit plus de 200 000 voitures par ans et Renault réfléchit encore au montage d’une nouvelle usine pour augmenter le niveau de production.)

                    Pour une entreprise le chiffre d’affaire (CA) représente la totalité des ventes effectuées durant un exercice fiscale.

                    Le CA = Coût de reviens + bénéfice.

                    Ce coût de reviens englobe :

                    Le coût des matières premières (locales ou importés).
                    Le coût de l’énergie.
                    Le coût de la masse salariale (Salaires et primes des ouvriers).
                    Le coût des services financiers locaux.
                    Le coût des impôts sur le bénéfice soit en France 33,33% !!!!! Ce qui n’est pas rien.
                    Le coût des fournisseurs locaux ou internationaux, les sous traitants.
                    Le coût des services que l’entreprise externalise (Recrutement, recours à des cabinets spécialisés, recours à des agences intérim, recours a des entreprises spécialisés dans le domaine de la gestion des ressources informatiques, le transport, le stockage, la manutention, etc… la liste peu être longue.)

                    De plus avant de s’installer dans un pays une entreprise et souvent contrainte à de très lourds investissements, pour l’acquisition du terrain le mise en place de l’outil de production (usines, locaux, machines etc…), de plus l’investissement en question peut contraindre l’entreprise à produire durant plusieurs années pour rembourser les dépense totales et pouvoir dégager un bénéfice. C’est ce que l’on appel en anglais le (ROI) : return on investment.

                    Donc avec toutes ces contraintes il est tout à fait normal que ces entreprises là se tournent tout naturellement vers des pays ayant des marchés structurés libres et ouverts et où les capitaux circulent librement pour pouvoir investir et contrôler en toute liberté leurs propres entreprises. Il est claire et naturel qu’un industriel qui va investir plusieurs millions ou plusieurs milliards de dollars n’est pas assez fou pour aller s’enchaîner dans un système qui ne lui donne aucune marge de manœuvre concernant ses propres biens et concernant le fruit de son propre labeur.

                    Il est tout à fait normal qu’un investisseur, qui offre :

                    De l’emploi, à des milliers de personnes,
                    Qui contribue à la réduction du chômage dans le pays,
                    Qui permet au pays de bénéficier d’un transfert technologique,
                    Qui permet au pays d’augmenter ses exportations,
                    Qui offre de nouveau débouché au fournir locaux. (Dans les usines de Dacia plus de 35% des pièces sont fournis par des sous traitants roumains.)
                    Qui paye des taxes locales et étatiques sur ses bénéfices,
                    Qui permet la création d’emplois indirectes (Transport, manutention, stockage, sous traitance, finance, etc…..),

                    Puise rapatrier c’est bénéfices, qui en générale s’élèvent en proportion à environ 10% du chiffre d’affaires

                    Et d’ailleurs un investisseur ne rapatrie jamais 100% des bénéfices puisque il est souvent associé, à d’autres investisseurs locaux, ou au gouvernement local, de plus il doit toujours resté de l’argent disponible pour les utiliser dans le circuit de production, ou pour l’investir dans le marché financier local quand celui-ci offre un bon dynamisme et de bonne perspective de croissance.

                    Donc pour nous et pour les pays arabes l’excuse qui veut que les investissements étrangers ne servent pas le pays, car c’est dernier rapatrie leurs bénéfices, n’est qu’une pure tromperie, que notre gouvernement utilise pour masquer ses incompétences flagrantes à pouvoir développer correctement le pays.
                    Ou alors dans ce cas là nous devons nous poser un question et nous demander pourquoi lorsque nos marchés étés encore protégés nos propres entreprises nationales n’était elle pas arrivées à crées cette fameuse croissance que nous attendions tant ?

                    Aujourd’hui il est indéniable de dissocier développement et investissements étrangers, les exemples de l’Espagne, ou de la Corée du Sud, sont éloquents.

                    D’ailleurs le fait qu’un industriel rapatrie jusqu'à 100% de ces bénéfices ne peut en aucun cas pénaliser le pays, loin de là. Car la synergie que ce dernier à apporter permet au pays de faire de considérable avancé sur de nombreux plans, par exemple l’amélioration du taux de bancarisation, en permettant aux salariés d’avoir des ressources stables leur ouvrant les portes du monde de la banque, du crédit et de la consommation, en bref on fait revivre une région en créant un cercle vertueux.

                    Aujourd’hui en Algérie le secteur de l’industrie pharmaceutique et celui qui présente la parfaite incohérence de la politique économique du pays. Car en verrouillant le secteur aux investissements étrangers durant de longues années, dans l’objectif de protéger la production locale le résultat à faite qu’aujourd’hui le pays se subvient seulement qu’à 40% de ses besoins en médicaments, et le reste doit être importé en devise à prix d’or.

                    Par contre si le gouvernement aurait dans un premier temps soutenus la production national pour la mettre à niveau et aurait autorisé l’implantation des investisseurs qui produirait localement leurs propres gammes de médicaments, le pays aurait atteint une autosuffisance pouvant aller peut être jusqu’a de 80 des besoins, et le pays aurait même pus servir de plate forme de réexportation vers les pays européens ou maghrébins, car le faible coût de l’énergie et de la main d’œuvre, ainsi que la proximité géographique avec l’Europe (très gros marché de consommation), favorise l’implantation de telle entreprise en grande masse. Car aujourd’hui Saidal reste encore petit par rapport aux autres laboratoires des pays voisins, et le implantation des laboratoires étrangers reste très faibles en nombre et en valeur.

                    Commentaire


                    • #11
                      Ide

                      Les investissements étrangers sont bien pour le pays, ils apportent les capitaux, le savoir faire et permettent d'ouvrir de nouveaux segments de marche comme ce qui s'est passe au maroc pour la gestion déléguée des services municipaux, tout a commence avec lydec a casa, maintenant des groupes marocains s'y intéressent aussi.

                      Il faut traiter cette question au cas par cas, parfois ces groupes après leur installation agissent en tant que véritables entreprises citoyennes, et se développent a l'international en prenant le maroc comme plattforme, a titre d'exemple lafarge maroc a acheté des cimenteries en egypte, accror maroc va gérer un grand hotel a mekka et lydec(filiale de suez) s'intéresse aux marches de la gestion déléguée des services municipaux en bolivie.

                      Elles peuvent servir aussi comme tête de pont pour la maison mère afin de développer d'autres activités,je vient d'apprendre aujourd'hui que la banque BMCI filiale de BNP PARIBAS contait investir au maroc 12 millions de dollars pour développer l'offshore informatique a partir du maroc pour toute la BNP.

                      Les investissements étrangers ne sont jamais négatifs, et au risque de me répéter encore une fois ,une entreprise étrangère quand elle s'installe dans un pays n'est plus étrangère, elle s'adapte a la culture du pays et devient une entreprise locale, non pas par philantropie mais par propre intérêt pour être en harmonie avec son environnement.

                      Commentaire


                      • #12
                        tres bonne analyse des invistisement internationaux, je suis tous a fais d'accord avec toi.

                        Commentaire


                        • #13
                          c'est dommage j'ai cherché en vain une étude sur les investissement étrangers en Argentine à l'époque ou ce pays avait le vent en poupe et avant sa triste banqueroute.
                          et bien à défaut regardez la façon dont les IDE ce sont fait dans ce pays et comment il a sombrait financièrement car ils se sont uniquement fait sur des activités existantes et non fait qu'accentuer une pression financière de rentabilté sur des secteurs d'activités internes et concidérés comme bijoux de famille de cette état qui s'est retrouvé à nu.
                          cependant des IDE investis judicieusement dans des secteurs d'activités non encore exploités dans un pays donnent des miracles comme pour le Mexique, et le deal gagnant/gagnant perrénise pour longtemps l'investissement rentable pour les uns et l'essor économique pour les autres.

                          alors plutôt que de parler d'action s'alvatrice de l'IDE sur des secteurs existant et bien le seul IDE perrene pour l'état qui les reçoit c'est bien sur des activités inexistantes dans ce même pays.

                          en cela la Tunisie s'en sort plûtot bien et à su faire preuve d'atractivité pour les IDE en élargisant des activités existantes (confection, tourisme) et surtout à fait en sorte de faire émerger des activités inconnus dans ce pays comme pour la fabrication d'accessoires automobile entre autre.

                          quant à l'Algérie, malgré la pessanteur des ex-entreprises d'état qui n'attire guère d'investisseurs, le secteur privé naisant apportent des activités encore inconnu chez nous par des unités de production viable économiquement, performante et en étant toujours majoritaire par rapport à des investisseurs étrangers.

                          bien sûr les choses ne vont pas aussi vite comme beaucoup le souhaiteraient et "les freins et vieux réflexes" ne manques pas, mais ça avance, doucement mais surement, c'est l'Algérie quoi !
                          les projets les plus ambitieux s'aditionnent ( usine de fabrication de verre plat, de fibre optique...), mais surtout la volonté d'ouvrir sans limite les portes de notre pays et de façon anarchique n'est pas d'actualité et la chasse à l'importation et réel ( pas assez énergique à mon goût), et le manque de capacité à s'alimenter par une production locale sera révolu.

                          rdv dans 5 ans
                          Dernière modification par borntolive, 11 novembre 2005, 19h51.

                          Commentaire


                          • #14
                            Bonsoir Borntolive.

                            Pour l'argentine, notre ami AVUCIC pourra nosu eclairer il connait trés bien ce pays.

                            J'avais des questions à te poser:

                            1- Quel est le mécanisme du rappatriment des bénéfices des groupes internationaux qui sont présent en Algérie ?

                            2- Quel droit de regard à l'Algérie sur ces rappatriments, du moment que nous allons accéder à l'OMC ?

                            3- Le trésor public pourra t il supporter de convertir du DA en $ ou € les bénéfices faits sur le sol Algérien par les groupes internationaux pour que ces derniers puissent les rappatrier ?

                            4- y' a t il une obligation légale faite à ces entreprises installées en Algérie pour réinvestir une partie de leurs bénéfices, ou bien est ce laissé au bon vouloir de ces boites internationales ?


                            Merci d'avance
                            “If you think education is expensive, try ignorance”
                            Derek Bok

                            Commentaire


                            • #15
                              bonsoir Stanislas,

                              les questions fort pertinentes qui tu viens de poser me donne le sentiment que tu es très au fait de l'actualité économique en Algérie car tu relèves par ces questionnements les mécanismes nécessaires à la viabilité d'investissement d'étranger en Algérie .

                              pour être clair, et bien je suis intimement convaincu qu'en Algérie fait tout pour que l'investisseur ne puisse rentrer au pays sans partenaire Algérien et que depuis 1 ans la primauté d'investir tels ou telles secteurs d'activité ce fait pour, et uniquement des...Algériens, avec des partenaires étrangers ou non, excepté des domaines d'activités nécessaire à la relance immédiate du pays mais viendra le temps de reprendre la main, j'en suis sûr.
                              c'est une bonne chose selon,car il nous faut un peu de temps pour avoir des entreprises privées national qui récoltent en premier l'argent du pétrole afin de pouvoir exporter par la suite.

                              par contre l'investisseur étranger qui vient en Algérie pour occuper une activité qui ne s'appuie pas seulement sur notre marché intérieure, bénéficie de toute les largesses et liberté de rapartrier ses bénéfices.


                              alors entre le réglementaire et le quotidien ???????

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