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Maroc : record de la production de céréales prévu pour 2009
Enfin une bonne nouvelle dans ce monde de brut. Selon le ministre marocains de l'Agriculture Aziz Akhenouch, la récolte 2009 de céréales devrait être exceptionnelle au Maroc.
Les raisons d'une telle embellie : une pluviométrie particulièrement abondante. Assortie d'une politique ambitieuse et d'une ferme volonté du gouvernement.
Selon les estimations, la récolte pourrait ainsi atteindre 102 millions de quintaux.
"La récolte 2009 sera abondante, excellente même", si l'on en croit les propos tenus par le ministre à l'ouverture des 2èmes Assises de l'Agriculture, à Meknès.
Le ministre a par ailleurs rappelé que le Maroc s'était lancé en 2008 dans une politique agricole très ambitieuse, dite "Plan Maroc vert". La première année a été marquée par des investissements de 12 milliards de dirhams (environ 1 milliard d'euros). Ces investissements ont porté sur des projets en matière d'élevage, de cultures de céréales, de fruits et d'olives. "Nous allons accélérer la mise en oeuvre de ce plan auquel le roi Mohammed VI accorde un intérêt particulier", a ainsi ajouté Aziz Akhenouch.
De par la diversité de son climat, l'étendue de sa configuration géographique et la richesse de ses ressources naturelles, la terre marocaine recèle de grandes opportunités de développement agricole et d'atouts considérables que la stratégie pour le développement rural tente de mettre à niveau et en valeur.
Depuis l'indépendance, le secteur agricole a en effet été élevé au premier rang des priorités nationales de développement en raison de la place qu'il occupe dans le tissu économique et social du pays.
La politique agricole va s'articuler pour les années à venir autour des quatre orientations majeures : contribution à la garantie de la sécurité alimentaire, amélioration des revenus des agriculteurs, protection et conservation des ressources naturelles et intégration de l'agriculture au marché national et international.
Sur le plan national, le champ d'action de cette nouvelle stratégie vise la mise en place d'une politique d'accompagnement ciblée faisant valoir la promotion de la formation professionnelle, l'introduction des nouvelles technologies, la mécanisation de l'agriculture et une restructuration profonde de l'économie agricole.
La nouvelle stratégie vise également la "stimulation du monde rural" qui représente actuellement un peu plus de la moitié de la population du pays.
Sources : AFP, MAP
Les raisons d'une telle embellie : une pluviométrie particulièrement abondante. Assortie d'une politique ambitieuse et d'une ferme volonté du gouvernement.
Selon les estimations, la récolte pourrait ainsi atteindre 102 millions de quintaux.
"La récolte 2009 sera abondante, excellente même", si l'on en croit les propos tenus par le ministre à l'ouverture des 2èmes Assises de l'Agriculture, à Meknès.
Le ministre a par ailleurs rappelé que le Maroc s'était lancé en 2008 dans une politique agricole très ambitieuse, dite "Plan Maroc vert". La première année a été marquée par des investissements de 12 milliards de dirhams (environ 1 milliard d'euros). Ces investissements ont porté sur des projets en matière d'élevage, de cultures de céréales, de fruits et d'olives. "Nous allons accélérer la mise en oeuvre de ce plan auquel le roi Mohammed VI accorde un intérêt particulier", a ainsi ajouté Aziz Akhenouch.
De par la diversité de son climat, l'étendue de sa configuration géographique et la richesse de ses ressources naturelles, la terre marocaine recèle de grandes opportunités de développement agricole et d'atouts considérables que la stratégie pour le développement rural tente de mettre à niveau et en valeur.
Depuis l'indépendance, le secteur agricole a en effet été élevé au premier rang des priorités nationales de développement en raison de la place qu'il occupe dans le tissu économique et social du pays.
La politique agricole va s'articuler pour les années à venir autour des quatre orientations majeures : contribution à la garantie de la sécurité alimentaire, amélioration des revenus des agriculteurs, protection et conservation des ressources naturelles et intégration de l'agriculture au marché national et international.
Sur le plan national, le champ d'action de cette nouvelle stratégie vise la mise en place d'une politique d'accompagnement ciblée faisant valoir la promotion de la formation professionnelle, l'introduction des nouvelles technologies, la mécanisation de l'agriculture et une restructuration profonde de l'économie agricole.
La nouvelle stratégie vise également la "stimulation du monde rural" qui représente actuellement un peu plus de la moitié de la population du pays.
Sources : AFP, MAP