Ils ont le visage buriné ,
Ils ont les pieds fissurés ,
Ils ont les regards rivés ,
Ils ont les corps fatigués .
Ils ont quitté leurs villes ,
Ils ont abandonné leurs domiciles ,
A marche forcée deux nuits entières ,
Ils ont pu rejoindre enfin la frontière .
Ils ont pu trouvé un refuge ,
Dans une tente pour les transfuges ,
Pour s’abriter , pour se couvrir ,
Pour subsister , pour se nourrir .
Les femmes versent des larmes chaudes ,
Sur leurs malheurs en cette période ,
Leurs entrailles souffrent le pire ,
Dans la douleur vécue et le souvenir .
Les hommes passent et repassent ,
Ils retournent à la même place ,
Ils guettent l’arrivée d’un camion ,
Pour obtenir quelques rations .
Les enfants ont perdu leurs jeux et leurs sourires ,
Ils découvrent que la vie n’est pas une satire ,
En observant ce monde qui va et vient ,
Réduit à la pauvreté du jour au lendemain.
Trés touché par les malheurs de nos frères pakistanais aprés ce séisme, ce drame m'a inspiré ces quelques lignes
Ils ont les pieds fissurés ,
Ils ont les regards rivés ,
Ils ont les corps fatigués .
Ils ont quitté leurs villes ,
Ils ont abandonné leurs domiciles ,
A marche forcée deux nuits entières ,
Ils ont pu rejoindre enfin la frontière .
Ils ont pu trouvé un refuge ,
Dans une tente pour les transfuges ,
Pour s’abriter , pour se couvrir ,
Pour subsister , pour se nourrir .
Les femmes versent des larmes chaudes ,
Sur leurs malheurs en cette période ,
Leurs entrailles souffrent le pire ,
Dans la douleur vécue et le souvenir .
Les hommes passent et repassent ,
Ils retournent à la même place ,
Ils guettent l’arrivée d’un camion ,
Pour obtenir quelques rations .
Les enfants ont perdu leurs jeux et leurs sourires ,
Ils découvrent que la vie n’est pas une satire ,
En observant ce monde qui va et vient ,
Réduit à la pauvreté du jour au lendemain.
Trés touché par les malheurs de nos frères pakistanais aprés ce séisme, ce drame m'a inspiré ces quelques lignes
Commentaire