Elle ne supporte le jour que dans l'attente de la nuit
Qui au crépuscule éveille en elle les plus viles des pensées
Elle ne croit plus aux douces rêveries contées par la lune
Au fin fond de son âme abîmée se loge une douce et mélodieuse douleur
Qui ne se nourrit que des espoirs fanés avant même l'éclosion
Elle se complait dans sa solitude, que bien d'autres nomment arrogance
Un habit dans elle se pare pour ériger sa défense.
Au bonheur elle fait face car de lui découle bien des déconvenues
lui dont le dessein se révèle au jour de sa fin.
Riant des regrets et larmes de tous ces dupes qui y' ont cru.
Au rendez-vous des aurores elle voit le ciel et la terre s'embrasser ne faisant qu'un
Pour oppresser cette âme confinée dans son corps devenant de plus en plus étroit.
Là où l'air fait défaut donnant a chaque battement de son coeur sa raison d'être.
Murmurant au néant le blasphème de ces vies moroses et ternes
Qui n'ayant trouvé pour refuge que l'addition des années insipides.
ET dont l'existence n'a eu de sens que pendant l'éternité de ses secondes de tiraillement
Dédicace a tous les psycho- névrosés de la dernière heure
Qui au crépuscule éveille en elle les plus viles des pensées
Elle ne croit plus aux douces rêveries contées par la lune
Au fin fond de son âme abîmée se loge une douce et mélodieuse douleur
Qui ne se nourrit que des espoirs fanés avant même l'éclosion
Elle se complait dans sa solitude, que bien d'autres nomment arrogance
Un habit dans elle se pare pour ériger sa défense.
Au bonheur elle fait face car de lui découle bien des déconvenues
lui dont le dessein se révèle au jour de sa fin.
Riant des regrets et larmes de tous ces dupes qui y' ont cru.
Au rendez-vous des aurores elle voit le ciel et la terre s'embrasser ne faisant qu'un
Pour oppresser cette âme confinée dans son corps devenant de plus en plus étroit.
Là où l'air fait défaut donnant a chaque battement de son coeur sa raison d'être.
Murmurant au néant le blasphème de ces vies moroses et ternes
Qui n'ayant trouvé pour refuge que l'addition des années insipides.
ET dont l'existence n'a eu de sens que pendant l'éternité de ses secondes de tiraillement
Dédicace a tous les psycho- névrosés de la dernière heure
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