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Sarkozy veut des discussions pour stabiliser les prix du pétrole

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  • Sarkozy veut des discussions pour stabiliser les prix du pétrole

    REUTERS | 26.05.2009 | 10:12 ABOU DHABI (Reuters) - Nicolas Sarkozy propose que pays producteurs et consommateurs d'énergie se concertent sur un "niveau souhaitable" de prix afin de lutter contre la spéculation et éviter des mouvements trop erratiques.
    Dans un discours prononcé à Abou Dhabi, il a indiqué que la France et les Emirats arabes unis pourraient prendre rapidement des initiatives communes à ces fins et que Paris entendait porter le sujet devant le G8, dont le prochain sommet se tient en juillet en Italie.
    "Pourquoi ne pas se mettre d'accord, entre pays producteurs et consommateurs, sur une orientation de prix générale à donner au marché, je dirais même une fourchette de prix qui assurerait la pérennité des investissements (des pays producteurs) mais n'accablerait pas les économies consommatrices", a-t-il dit.
    Yann Le Guernigou
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    faut laisser faire le marche
    je vois que l inquietue gagne
    un baril a 300 a l horizon 2013-2014
    est plus que probable
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      quand il etait au plus bas pendant des années personne n'a proposer des prix a un
      " niveau souhaitable" .....
      pourquoi on ferai pas de meme avec tout les produits ....on refait toute l'economie de marché quoi !

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      • #4
        et bien qu'il commence par discuter et s'accorder sur les prix du blé, des médicaments, des tous le produits a haute technologie etc...
        plus hypocrite que ces occidentaux je ne pense pas que sa puisse exister, on est ultra liberale quand ca nous chante et uniquement pour nos interets, mais tres protecteurs et conservateurs quand il s’agit de ceux des autres.
        mais bon je sais que les dirigeants arabes dont les notres vont courber l'echine comme d'habitude, rien que pour ca je dirais vivement Chavez et ahmadi nadjad

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        • #5
          se concertent sur un "niveau souhaitable" de prix afin de lutter contre la spéculation et éviter des mouvements trop erratiques.
          Trés bonne idée......un prix du baril à 50-60$ arrangerait tous le monde et garantirait la pérennité des investissements.

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          • #6
            faut laisser faire le marche
            je vois que l inquietue gagne
            un baril a 300 a l horizon 2013-2014
            est plus que probable

            Solas

            .........................................

            C'est le meilleur moyen de pousser les gens à opter pour autres choses et le pétrole ne vaudra que des prunes après.

            L'entente sur un prix qui satisfasse et les producteurs et les consommateurs vise à mettre un terme aux spéculations .

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            • #7
              Sarko reve en couleur...

              L'Alberta, ici, au prix actuel, ne rentre même pas dans ses frais avec le pétrole des sables bitumineux.

              C'est l'offre et la demande qui fixera les prix, as usual.

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              • #8
                Un prix du baril qui passe de 40 dollars à 150 dollars ( en l'espace de 6mois) pour revenir subitement à moins de 40 dollars n'a rien à voir avec l'offre et la demande.

                Ce sont les spéculateurs qui font et défont le marché.

                Il est préférable pour un pays (qu'ils soit producteur où consommateur) de s'en tenir à un prix (arrêté d'un commun accord et revu toujours d'un commun accord) pour pouvoir maitriser sa croissance au lieu de revoir à chaque fois ses plans au gré de l'humeur des spéculateurs qui sont uniquement des parasites et des profiteurs.

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                • #9
                  je propose 100 euros le baril a taux fixe pendant 3 ans

                  serieusement laissons le marche fixe le prix
                  surtout que physiquement le petrole se tarit a grande vitesse
                  The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                  • #10
                    tout comme pour les autres produits, si on veut reguler a l'international qu'on le fait pour tous les produits sinon comme il a dit lui bachi t'a repondu, l'offre et la demande et rien d’autre l’ami.

                    Commentaire


                    • #11
                      je ne comprend pas pourquoi il faudra fixer les prix du petrole seulement ,
                      on devrait alors fixer ceux des autres produits se mettre d'accord entre producteurs et consomateurs !
                      si sarkozy pensait au bien de ces citoyens ,il aurait fallu quand les prix ont atteint des records de baisser la taxe sur l'essence (la TIPP...)...qui n'est pas fixe et qui depend du prix du petrole (essence)...+ petrole augmente ;+ elle augmente
                      elle represente plus que 50 % du prix de l'essence...:22:

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                      • #12
                        tout comme pour les autres produits, si on veut reguler a l'international qu'on le fait pour tous les produits sinon comme il a dit lui bachi t'a repondu, l'offre et la demande et rien d’autre l’ami.

                        amicalement
                        ....................................

                        Les prix des produits manufacturés sont étroitement liés à la hausse où la baisse du prix du baril.

                        En tout cas c'est une décision qui sera arrêtée entre les puissances économiques de ce monde et les poids lourds du pétrole.

                        Les autres suivront.


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                        • #13
                          Le coût (politique) du pétrole
                          par Mahrez Iliès


                          Combat éculé que celui entamé ces derniers jours par des faiseurs d'opinions et des leaders politiques mondiaux sur le dossier toujours stratégique du pétrole. A quelques jours de la réunion de l'OPEP sur la situation du marché pétrolier et le sens à lui donner pour garder le cap sur des prix avantageux pour les énormes investissements consentis par les pays producteurs, dont ceux de l'OPEP, des voix issues des grands pays industrialisés s'inquiètent soudain de la volatilité des prix, des investissements pétroliers et de la stabilité du marché.

                          A Rome et ailleurs, présidents de grands groupes pétroliers mondiaux et chefs d'Etat se concertent ainsi sur le prix du brut, réclamant sa maîtrise et son accès à des prix relativement bas pour satisfaire les exigences de la reprise économique mondiale. Que peut-on déduire de la déclaration d'un président lorsqu'il revendique une lutte globale contre «la volatilité» des prix pétroliers et s'inquiète de cette instabilité qui nuirait aux économies des pays développés, notamment de l'Union européenne ?

                          La proposition de Nicolas Sarkozy, le président français, de lutte contre la volatilité des prix du pétrole «qui ne fait l'affaire de personne», est à prendre par son sens politique. Cette proposition qu'il compte soumettre au prochain G8, le sommet des pays industrialisés, englobe, selon lui, les intérêts des pays producteurs et consommateurs. Sauf que pour les pays industrialisés, le seuil admis des hausses des cours du brut ne saurait dépasser les 60 dollars, sinon moins que cette fourchette, pour ne pas pénaliser les pays consommateurs. Et verser des larmes de crocodile sur un niveau moyen acceptable pour les pays producteurs n'est que la face cachée d'appétits monstrueux des grands groupes industriels européens notamment, qui voudraient avoir accès à un pétrole pas cher pour ne pas bloquer la reprise économique, ni «accabler les économies consommatrices».

                          En fait, l'enjeu, comme depuis que l'or noir a été découvert, est immense. Car au moment où les pays du G8 s'agitent pour ramener à la baisse le prix du brut après des hausses à plus de 60 dollars/baril ces derniers jours, Ryadh a estimé, par la voix du roi Abdallah, que le juste prix du baril est entre 75 et 80 dollars. Une réponse diplomatique mais franche, en quelque sorte, à la sortie à Abou Dhabi du président français, qui voudrait que les pays du G8 planchent, lors de leur prochaine réunion à Rome, sur les moyens de stabiliser à un prix «fixe» les cours pétroliers.

                          Cette guerre médiatique est menée en fait à la veille de la réunion ministérielle de l'OPEP à Vienne, qui ne devrait pas déboucher sur des décisions sensationnelles, ni sur un changement de niveau de production. Mais le fait est que cette réunion met le marché et les grands décideurs politiques sur des charbons ardents, mais pas au point de vouloir la fin de la poule aux oeufs d'or. A qui profiterait un baril à bas prix ?
                          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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