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L'Algérie et la Corée du Sud discutent de coopération

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  • L'Algérie et la Corée du Sud discutent de coopération

    «Dans le domaine de l’industrie automobile, l’Algérie veut aller plus loin que le montage, idée à laquelle nous avons longtemps résisté.» C’est en ces termes que le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements M. Abdelhamid Temmar, s’est adressé à l’assistance de la Task Force algéro-sud-coréenne qui s’est tenue, hier, au Sheraton Club des Pins.Le premier responsable du secteur a appelé les participants à cette sixième session à faire aboutir leurs discussions sur des engagements concrets. «Je souhaite que, dans les années à venir, nous puissions faire ensemble de l’Algérie un pays développé par la connaissance et que les entreprises sud-coréennes trouvent chez nous un terrain de développement de leurs affaires», dira M. Temmar.

    «L’Algérie veut aller vers plus d’investissements et surtout de partenariats technologiques», affirmera-t-il en rappelant la volonté de faire de l’Algérie une plate-forme pour les entreprises sud-coréennes et d’aller dans ce cadre de partenariat vers les marchés européens et africains. «Nos gouvernements sont mobilisés et nous souhaitons la mobilisation des entreprises coréennes pour aller ensemble vers les marchés internationaux», dira le ministre. «Nous sommes en train de rectifier et de redéployer notre politique d’investissement pour la rendre plus efficace puisqu’il est difficile pour les grandes entreprises internationales de se déployer là où elles ne peuvent pas développer leurs affaires», déclare M. Temmar. «Grâce à l’assistance technique que nous apporte la Corée du Sud, nous avons avancé dans beaucoup de domaines et nous souhaitons continuer, car le modèle sud-coréen dans l’industrie est extrêmement important pour nous», ajoutera-t-il en précisant que «certains secteurs importants à développer avec nos partenaires sont identifiés, à savoir la mécanique, l’électronique et la pétrochimie et nous pensons aussi au médicament». Le vice-ministre de l’Economie et de la Connaissance sud-coréen a, pour sa part, déclaré : «Nous avons accompli déjà pas mal de choses et ce qui est important, c’est d’identifier de nouvelles perspectives […]. Il existe beaucoup de domaines où la Corée du Sud excelle, telles l’informatique, la construction, les installations industrielles des usines…».

    «Nous ne sommes pas là pour faire des profits rapides et faciles mais pour avoir des avantages mutuels et transférer nos technologies à l’Algérie dans les domaines où la Corée excelle, à savoir l’informatique, la pétrochimie», affirme-t-il. Interrogé sur la construction automobile, il soulignera qu’«aucun projet n’est encore concrétisé dans ce domaine et que ce genre de commission mixte est une occasion pour explorer d’autres perspectives». «Il est sûr qu’il faut explorer plus de possibilités dans ce domaine puisqu’un partenariat serait bien pour permettre à la Corée d’aller conquérir d’autres marchés au sein du continent africain en se servant de la plate-forme qui est l’Algérie», conclut-il. Soulignons qu’en marge des travaux de la Task Force algéro-sud-coréennes, un accord de coopération a été signé entre le FCE (Forum des chefs d’entreprise (FCE) et la Fédération des industries coréennes (FKI). Cet accord renforcera les relations de partenariat entre les entreprises algériennes et sud-coréennes. L’organisation de séminaires, de visites et le transfert de technologies sont prévus dans ce cadre.

    source : La Tribune

  • #2
    L’Algérie veut un “partenariat technologique” avec la Corée du Sud

    Le ministre de l’Industrie et la Promotion de l’investissement, M. Hamid Temmar, a indiqué mardi que l’Algérie veut établir avec la Corée du Sud un partenariat économique basé sur le transfert de technologie.

    “Il faut aller vers un partenariat technologique avec la Corée du sud notamment dans les secteurs de l’électronique, la mécanique et la pétrochimie”, a déclaré M. Temmar lors des travaux de la 6ème session de la Task force algéro-sud coréenne, qu’il copréside avec le vice ministre sud-coréen de l’Economie et de la Connaissance, M. Kim Young Hak.

    Citant le secteur de l’automobile pour mieux illustrer ce choix dans l’orientation de la promotion des investissements, le ministre a souligné que l’Algérie entend aller, désormais, ”au delà du montage pour créer une véritable industrie automobile”.

    APS

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    • #3
      Temmar: L'Algérie veut une véritable industrie automobile

      L'Algérie aspire à créer une véritable industrie de l'automobile en partenariat avec la Corée du Sud. C'est ce qu'a déclaré hier le ministre de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement, M. Hamid Temmar. Ce dernier, qui s'exprimait lors des travaux de la 6e session de la «Task Force» algéro-sud-coréenne, qu'il copréside avec le vice-ministre sud-coréen de l'Economie et de la Connaissance, M. Kim Young Hak, a indiqué que «l'Algérie entend aller désormais au-delà du montage pour créer une véritable industrie automobile».

      Temmar a aussi insisté sur la nécessité d'aller vers un partenariat technologique avec la Corée du Sud, notamment dans les secteurs de l'électronique, de la mécanique et de la pétrochimie. Il a souhaité à ce propos que les discussions d'affaires entre les opérateurs économiques des deux pays aboutissent à des joints-ventures dans des projets de la mécanique et de la pétrochimie.

      De son côté, le ministre sud-coréen a affirmé que les deux parties se sont mises d'accord sur les nouvelles perspectives de partenariat à identifier, notamment dans les domaines où la Corée du Sud excelle particulièrement, l'informatique, la construction et les installations industrielles des usines. M. Hak a affirmé que la Corée du Sud veut un partenariat gagnant-gagnant. «On n'est pas là pour faire des profits rapides et faciles mais pour des relations basées sur des avantages mutuels consistant à transférer la technologie dans les domaines que la Corée du Sud maîtrise. Il faut partager ces expériences et les transférer à l'Algérie», a-t-il assuré.

      A propos d'investissements liés à l'automobile, et en marge de ces travaux, le directeur général de l'investissement auprès du ministère de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement (MIPI), M. Hamoud Ben Hamdine, cité par l'APS, a affirmé que l'Algérie recherche le transfert du savoir-faire sud-coréen dans le domaine de la mécanique notamment. «Pour le secteur de l'automobile, le ministère veut instaurer une chaîne de sous-traitants afin de répondre aux futurs besoins des constructeurs automobiles qui seront retenus pour la fabrication des voitures en Algérie. Plusieurs partenaires sont intéressés par le développement de ce projet», fait savoir Ben Hamdine, qui précise que «le gouvernement se penche sur les différentes possibilités. C'est un choix stratégique qui engage sur plusieurs années en termes de modèles de voitures et de partenaires».

      Selon lui, «les discussions avec les Iraniens sur ce partenariat ont bien avancé, alors que les Français, qui étaient timides au début, ont adopté une autre démarche montrant leur intérêt pour ce projet», ajoutant que «le choix d'un partenaire pour la fabrication d'une voiture est complexe. C'est un créneau qui doit être adossé à une industrie locale».

      Par ailleurs, et lors de cette 6e session de la Task Force, des experts algériens ont saisi l'opportunité pour présenter les potentialités de partenariat dans le secteur des travaux publics et dans la filière portuaire. A ce sujet, le président de la SGP Sogeports, M. Khelil Fayçal, a précisé que son groupe a inscrit au titre de son programme d'investissements plusieurs projets dans les domaines relatifs aux ports de commerce et de pêche à travers le partenariat. Selon ce responsable, Sogeports recherche actuellement des partenaires pour créer une société de réparation navale, des pôles logistiques à Skikda, Béjaia et Alger, une société de sauvetage et d'assistance en mer, ainsi que le projets de valorisation de 30 ports de pêche.

      En marge des travaux de cette session, le Forum des chefs d'entreprises (FCE) a signé, hier, un mémorandum de coopération avec la Fédération des industriels sud-coréens (FKI), la plus importante organisation patronale sud-coréenne, regroupant plus de 400 entreprises les plus performantes. Aux termes de cet accord, les deux parties se sont engagées à encourager, élargir et renforcer les relations de partenariat mutuellement avantageuses par l'organisation de visites, de séminaires, de tables rondes qui pourraient déboucher sur des partenariats entre les entreprises sud-coréennes et algériennes.

      Les deux parties ont également convenu d'oeuvrer à concrétiser le transfert de la technologie, notamment pour les entreprises algériennes, dans tous les secteurs d'activité.

      Le Quotidien d'Oran

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      • #4
        6e session de la Task Force algéro-sud-coréenne

        L’Algérie dégèle les dossiers de l’industrie automobile

        «Nous avons jusque-là résisté au montage des véhicules mais là nous discutons comment y aller au-delà du montage. Ce dernier est une voie pour installer une industrie mécanique en Algérie».

        C’est ce qu’a déclaré hier le ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement, Hamid Temmar, qui a souligné que l’Algérie n’a pas la technologie, ni les marchés ni la connaissance ni le savoir-faire industriel pour construire son industrie mécanique et l’expérience sud-coréenne servira dans les domaines de l’électronique, la mécanique, la pétrochimie et le médicament.

        Il a invité les entreprises privées et publiques à sortir des travaux de la Task Force, qui ont duré deux jours, avec des projets et des engagements concrets dans l’industrie mécanique et pétrochimique avec les partenaires sud-coréens.
        Pour sa part, le directeur général de l’Investissement au sein du MIPI, Hamoud Benhamdine, a relevé qu’«il y a lieu de développer toutes les activités périphériques à la construction mécanique» en soulignant que «les grands groupes sont des concepteurs d’automobile. Ce ne sont plus des constructeurs ou fabricants». Donc, c’est pourquoi, selon lui, il y a toute cette chaîne de sous-traitance qui va être identifiée pour répondre aux besoins d’un grand constructeur quand il sera choisi. Car un véhicule nécessite au moins une centaine d’intervenants en termes de PME et PMI.

        Plusieurs constructeurs s’intéressent à ce créneau en Algérie dont les Iraniens, les Chinois, les Japonais, les Français et les Américains.

        La Corée du Sud veut baser son partenariat avec l’Algérie sur le transfert de technologie. Dans ce sens, le vice-ministre sud-coréen de l’Economie et de la Connaissance, a indiqué qu’«il y a beaucoup de domaines où la Corée du Sud excelle, telle que l’informatique, la construction, la pétrochimie et les installations industrielles, comme les usines. Les domaines de coopération sont nombreux, il reste les nouvelles perspectives à explorer», a-t-il indiqué. Il a poursuivi que son pays voudra partager et transférer ce savoir-faire technologique en Algérie.

        «L’Algérie est un pays qui possède des potentialités avec une passion de développer son économie que nous ressentons et nous partageons avec le monde de l’entreprise coréenne», s’est-il enthousiasmé. Il en est de même pour les entreprises coréennes qui sont animées d’aller de l’avant pour s’investir dans un partenariat stratégique, de gagnant- gagnant en Algérie. Le ministre sud-coréen dira : «Nous ne sommes pas là pour faire des profits rapides et faciles. Nous voulons un partenariat basé sur des avantages mutuels et réciproques».

        Toutefois, pour l’instant, aucun projet n’a été concrétisé en Algérie dans le domaine de la mécanique et notamment dans l’industrie automobile, mais c’est l’une des perspectives à explorer, a-t-il ajouté.

        La Corée du Sud voudra conquérir d’autres marchés sur le continent africain à partir de la plate-forme Algérie.

        Le Jour d'Algérie

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        • #5
          temmar et ses blagues !

          tant que cet ignare est sur la tete de ce ministere, aucun investissement ne se realisera, en 10 ans il a eu plus de 4 ou 5 stratégies completement différentes sur papier et qui finissent toujours dans les corbeilles.
          maintenant galou on a resisté au montage des vehicules, ce serait plutot les constructeurs qui nous boudent a cause de ses strategies debiles.

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