L'Algérie envisage d'annuler un contrat d'armement en raison des réserves américaines et de son allié le plus proche, Israël...
Selon une source du ministère de la défense, l'Algérie a informé les responsables américains au début de ce mois qu'elle serait obligé d'acquérir des armes françaises, allemandes, russes et indiennes, après les réserves de Washington qui s'est dit préoccupé par la transmission de certaines de ces armes à des pays et organisations hostiles à Israël. contrat d'armement doit rapporter aux États-Unis plus de 7 milliards de dollars.
Notre source a ajouté que l'Algérie a rejeté les conditions de contrôle des armes exigées par les États-Unis, dans le cas de livraison des armes à l'Algérie, affirmant que la délégation du Congrès américain qui avait visité le pays il y a trois jours, dirigé par le sénateur républicain Richard Burr, qui a eu des discussions avec le Président Abdelaziz Bouteflika. Au cours de ses discussions avec Bouteflika , le sénateur Richard Burr a fait une demande de ne pas priver l'industrie militaire américaine d'un contrat très important surtout en ces temps de la crise économique mondiale.
Notre source a estimé, que le différend sur l'affaire a débuté lorsque le Pentagone a exprimé une forte réserve sur le contrat de vente des armes à l'Algérie et plus particulièrement la livraision des avions sans pilote utilisés dans le opérations de contrôle aux frontières et la lutte contre le terrorisme, des équipements électroniques de haute technologie utilisés dans l'écoute, l'espionnage et des missiles à guidage de précision qui permet de cibler des objectifs avec une précision sans faille. Le motif des fortes réserves était l'inquiétude des américains que ces armes tombent entre les mains des groupes terroristes ou des pays hostiles à Israël.
De sa part, l'Algérie a arrêté les négociations pour l'achat des armes américaines après que les américains ont informé l'armée algérienne que les équipements dont ils ont besoin seront livrés en tranches, et pas avec la même qualité qui se trouve chez l'armée américaine et chez les armés en Europe, en soulignant qu'ils ne veulent pas du transfert des la nouvelles technologies militaires.
Dans ce même contexte, l'ambassadeur des États-Unis à Alger, David Pearce, l y a quelques jours, a déclaré :" qu'il y a une grande sensibilité de la présence militaire étrangère chez les Algériens, en raison de la dimension historique des problèmes liés à la souffrance de l'Algérie du colonialisme français ", en décrivant la coopération sécuritaire avec l'Algérie plus particulièrement dans le domaine de la lutte contre le terrorisme qu'il qualifie d'exemplaire.
Une délégation du ministère de la Défense à visité des usines d'armes aux États-Unis à trois reprises au cours des deux dernières années, dans le cadre des négociations sur les contrats d'achat des armes, en soulignant que l'Algérie continue de moderniser sa flotte d'hélicoptères et l'acquisition d'avions de combat "Apache" américains ou les avions " Tigres" Européens ou les Mi-28 russes.
L'Algérie compte aussi acquérir des dizaines d'avions de surveillance et des avions sans pilote qui peuvent rester dans l'atmosphère entre 15 et 24 heures de certains pays moins avancés dans ce domaines tels que l'Allemagne ou l'Afrique du Sud.L'armée Algérienne envisage aussi différentes options pour l'acquisition de frégates de la marine de guerre de la Russie, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.
En rappel, l'ambassadeur américain en Algérie, il y a quelques jours, a affirmé que l'Algérie a rejeté les conditions américaines pour l'achat d'armes, pour un motif de contrôle américains des armes après la vente. Il a indique que la vente d'armes américains est soumise aux même conditions applicables à tous les pays, nous avons imposé à Israël, l'Arabie Saoudite", at-il dit, ajoutant que les deux pays sont toujours en négociations pour trouver un moyen de surmonter leurs différences.
Le Jeune Algérien
Selon une source du ministère de la défense, l'Algérie a informé les responsables américains au début de ce mois qu'elle serait obligé d'acquérir des armes françaises, allemandes, russes et indiennes, après les réserves de Washington qui s'est dit préoccupé par la transmission de certaines de ces armes à des pays et organisations hostiles à Israël. contrat d'armement doit rapporter aux États-Unis plus de 7 milliards de dollars.
Notre source a ajouté que l'Algérie a rejeté les conditions de contrôle des armes exigées par les États-Unis, dans le cas de livraison des armes à l'Algérie, affirmant que la délégation du Congrès américain qui avait visité le pays il y a trois jours, dirigé par le sénateur républicain Richard Burr, qui a eu des discussions avec le Président Abdelaziz Bouteflika. Au cours de ses discussions avec Bouteflika , le sénateur Richard Burr a fait une demande de ne pas priver l'industrie militaire américaine d'un contrat très important surtout en ces temps de la crise économique mondiale.
Notre source a estimé, que le différend sur l'affaire a débuté lorsque le Pentagone a exprimé une forte réserve sur le contrat de vente des armes à l'Algérie et plus particulièrement la livraision des avions sans pilote utilisés dans le opérations de contrôle aux frontières et la lutte contre le terrorisme, des équipements électroniques de haute technologie utilisés dans l'écoute, l'espionnage et des missiles à guidage de précision qui permet de cibler des objectifs avec une précision sans faille. Le motif des fortes réserves était l'inquiétude des américains que ces armes tombent entre les mains des groupes terroristes ou des pays hostiles à Israël.
De sa part, l'Algérie a arrêté les négociations pour l'achat des armes américaines après que les américains ont informé l'armée algérienne que les équipements dont ils ont besoin seront livrés en tranches, et pas avec la même qualité qui se trouve chez l'armée américaine et chez les armés en Europe, en soulignant qu'ils ne veulent pas du transfert des la nouvelles technologies militaires.
Dans ce même contexte, l'ambassadeur des États-Unis à Alger, David Pearce, l y a quelques jours, a déclaré :" qu'il y a une grande sensibilité de la présence militaire étrangère chez les Algériens, en raison de la dimension historique des problèmes liés à la souffrance de l'Algérie du colonialisme français ", en décrivant la coopération sécuritaire avec l'Algérie plus particulièrement dans le domaine de la lutte contre le terrorisme qu'il qualifie d'exemplaire.
Une délégation du ministère de la Défense à visité des usines d'armes aux États-Unis à trois reprises au cours des deux dernières années, dans le cadre des négociations sur les contrats d'achat des armes, en soulignant que l'Algérie continue de moderniser sa flotte d'hélicoptères et l'acquisition d'avions de combat "Apache" américains ou les avions " Tigres" Européens ou les Mi-28 russes.
L'Algérie compte aussi acquérir des dizaines d'avions de surveillance et des avions sans pilote qui peuvent rester dans l'atmosphère entre 15 et 24 heures de certains pays moins avancés dans ce domaines tels que l'Allemagne ou l'Afrique du Sud.L'armée Algérienne envisage aussi différentes options pour l'acquisition de frégates de la marine de guerre de la Russie, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne.
En rappel, l'ambassadeur américain en Algérie, il y a quelques jours, a affirmé que l'Algérie a rejeté les conditions américaines pour l'achat d'armes, pour un motif de contrôle américains des armes après la vente. Il a indique que la vente d'armes américains est soumise aux même conditions applicables à tous les pays, nous avons imposé à Israël, l'Arabie Saoudite", at-il dit, ajoutant que les deux pays sont toujours en négociations pour trouver un moyen de surmonter leurs différences.
Le Jeune Algérien
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