Dossier:
Le quartier d’affaires d’Alger (Bab Ezzouar) réalisé par l'AGERFA
Un concept multifonctionnel appelé à être l’emblème d’Alger de demain
Par Tara.B
Dans la note de présentation du méga projet élaboré par l'agence de gestion et de régulation urbaine de la wilaya d'Alger, promoteur foncier de ce programme ambitieux, Mme Fadila Lateb, directrice de l'AGERFA expose les arguments inscrits dans la stratégie urbaine de la wilaya d'Alger. «Cette opération engendrera une dynamique globale qui permettra la mise à niveau de la capitale dans un esprit de renouveau à l'exemple des villes de Barcelone, Séville, Lisbonne, Francfort ou Shanghai». Le choix de Bab Ezzouar est dicté par la proximité de l'aéroport, la présence d'une des plus prestigieuses universités (Université des Sciences et des technologies Houari Boumediene), la zone industrielle d'Oued Smar ainsi que la concentration d'une zone d'habitation qui s'étend de Dar El Beida à Bab Ezzouar. Le site bénéficie déjà d'infrastructures de transport autoroutes, gare ferroviaire, aéroport- et jouit par conséquent d'une accessibilité exceptionnelle.
A terme ce nouvel ensemble, devra «entraîner une synergie entre le tryptique industrie, recherche et sphère financière » car l'objectif même affiché par les pouvoirs publics est seule d'intéressé, par la qualité de l'aménagement, les investisseurs et notamment d'attirer les services tertiaires à intégrer ce quartier Est de la capitale qui perdra progressivement sa vocation de cité dortoir.
Sur une superficie de 70 hectares, l'AGERFA, opérateur–aménageur choisi pour ses capacités à prendre en charge un projet d'une telle envergure, a opté pour des structures un ouvertes «faites de transparence » tenant compte de l'existant, favorisant un ensemble de tours avec l'utilisation de matériaux contemporains au centre duquel s'étendra un parc urbain, poumon vert de la zone, privilégiant aussi l'aménagement de parking souterrain afin de réduire l'impact des nuisances dégagées par les véhicules. 1,5 millions de mètre carré de bureaux seront ainsi proposés à la clientèle du tertiaire auquel s'ajouteront des équipements de loisir, de commerce, d'hôtels et d'infrastructures pour les activités événementielles( modules adaptables pour les congrès, séminaires, spectacles…). 15000 emplois directs et indirects sont attendus.
En termes d'estimation financière, le coût du projet est évalué à 10 000 000 000 DA et comprend principalement les frais d'acquisition et de viabilisation des terrains, les études d'aménagements et le suivi de réalisation ...
Ce n'est pas une utopie !
Le quartier de Bab Ezzouar est déjà en phase de réalisation, depuis la première pierre posée en avril 2006 par le président de la République Abdelaziz Bouteflika, d'importantes entreprises ont investi les lieux ; l'Hôtel Ibis a ouvert ses portes dernièrement augmentant ainsi les capacités hôtelières du groupe ACCOR/ SIEHA déjà présent sur le site avec le Mercure ; d'autres entreprises ont démarré les travaux de réalisation de leur siège social ; à ce titre, on peut citer Algérie Poste, Mobilis, Maghreb CMA/CGM ; le complexe immobilier de Trust Real Estate, la tour d'affaires de la sarl ABC, le centre commercial de la SCCA…
Le marketing de l'agence a bien fonctionné puisque des entreprises de renom ont d'ores et déjà dévoilé leur intention de venir s'installer dans ce quartier, citons : Air Algérie, Aigle Azur, l'EGSA, les banques, nationales- BNA, BEA, CPA - ainsi que BNP PARIBAS, le groupe COSIDER… D'autres ont reçu l'aval de leur hiérarchie pour réaliser leur siège social : SONATRACH - Commercialisation, le groupe DORSCH Afrique, KPGM et la banque AL SALEM.
C'est dire combien la philosophie et la conviction retenues pour le développement d'un quartier moderne basé sur l'aménagement d'espaces intégrant à la fois des formes modestes aux plus ambitieuse et la motivation des premiers investisseurs font que « Bab Ezzouar city » se construit loin des tapages médiatiques utilisés par certains promoteurs.
Jusqu'à la fin des travaux de viabilisation et déléguera cette mission à l'une de ses filiales pour assumer les responsabilités de gestion envers les copropriétaires.
L'AGERFA s'est prémunie contre toute dérive, elle assurera la gestion du site
Les missions qui lui sont dévolues porteront sur :
1. L'application du règlement d'urbanisme
2. La sécurité des lieux, l'entretien, et la collecte des charges, la maintenance des équipements collectifs et ceux des espaces verts et des lieux publics...
En somme, répondre aux exigences de toute ville moderne.
Source : eldjazaircom.dz
Le quartier d’affaires d’Alger (Bab Ezzouar) réalisé par l'AGERFA
Un concept multifonctionnel appelé à être l’emblème d’Alger de demain
Par Tara.B
Dans la note de présentation du méga projet élaboré par l'agence de gestion et de régulation urbaine de la wilaya d'Alger, promoteur foncier de ce programme ambitieux, Mme Fadila Lateb, directrice de l'AGERFA expose les arguments inscrits dans la stratégie urbaine de la wilaya d'Alger. «Cette opération engendrera une dynamique globale qui permettra la mise à niveau de la capitale dans un esprit de renouveau à l'exemple des villes de Barcelone, Séville, Lisbonne, Francfort ou Shanghai». Le choix de Bab Ezzouar est dicté par la proximité de l'aéroport, la présence d'une des plus prestigieuses universités (Université des Sciences et des technologies Houari Boumediene), la zone industrielle d'Oued Smar ainsi que la concentration d'une zone d'habitation qui s'étend de Dar El Beida à Bab Ezzouar. Le site bénéficie déjà d'infrastructures de transport autoroutes, gare ferroviaire, aéroport- et jouit par conséquent d'une accessibilité exceptionnelle.
A terme ce nouvel ensemble, devra «entraîner une synergie entre le tryptique industrie, recherche et sphère financière » car l'objectif même affiché par les pouvoirs publics est seule d'intéressé, par la qualité de l'aménagement, les investisseurs et notamment d'attirer les services tertiaires à intégrer ce quartier Est de la capitale qui perdra progressivement sa vocation de cité dortoir.
Sur une superficie de 70 hectares, l'AGERFA, opérateur–aménageur choisi pour ses capacités à prendre en charge un projet d'une telle envergure, a opté pour des structures un ouvertes «faites de transparence » tenant compte de l'existant, favorisant un ensemble de tours avec l'utilisation de matériaux contemporains au centre duquel s'étendra un parc urbain, poumon vert de la zone, privilégiant aussi l'aménagement de parking souterrain afin de réduire l'impact des nuisances dégagées par les véhicules. 1,5 millions de mètre carré de bureaux seront ainsi proposés à la clientèle du tertiaire auquel s'ajouteront des équipements de loisir, de commerce, d'hôtels et d'infrastructures pour les activités événementielles( modules adaptables pour les congrès, séminaires, spectacles…). 15000 emplois directs et indirects sont attendus.
En termes d'estimation financière, le coût du projet est évalué à 10 000 000 000 DA et comprend principalement les frais d'acquisition et de viabilisation des terrains, les études d'aménagements et le suivi de réalisation ...
Ce n'est pas une utopie !
Le quartier de Bab Ezzouar est déjà en phase de réalisation, depuis la première pierre posée en avril 2006 par le président de la République Abdelaziz Bouteflika, d'importantes entreprises ont investi les lieux ; l'Hôtel Ibis a ouvert ses portes dernièrement augmentant ainsi les capacités hôtelières du groupe ACCOR/ SIEHA déjà présent sur le site avec le Mercure ; d'autres entreprises ont démarré les travaux de réalisation de leur siège social ; à ce titre, on peut citer Algérie Poste, Mobilis, Maghreb CMA/CGM ; le complexe immobilier de Trust Real Estate, la tour d'affaires de la sarl ABC, le centre commercial de la SCCA…
Le marketing de l'agence a bien fonctionné puisque des entreprises de renom ont d'ores et déjà dévoilé leur intention de venir s'installer dans ce quartier, citons : Air Algérie, Aigle Azur, l'EGSA, les banques, nationales- BNA, BEA, CPA - ainsi que BNP PARIBAS, le groupe COSIDER… D'autres ont reçu l'aval de leur hiérarchie pour réaliser leur siège social : SONATRACH - Commercialisation, le groupe DORSCH Afrique, KPGM et la banque AL SALEM.
C'est dire combien la philosophie et la conviction retenues pour le développement d'un quartier moderne basé sur l'aménagement d'espaces intégrant à la fois des formes modestes aux plus ambitieuse et la motivation des premiers investisseurs font que « Bab Ezzouar city » se construit loin des tapages médiatiques utilisés par certains promoteurs.
Jusqu'à la fin des travaux de viabilisation et déléguera cette mission à l'une de ses filiales pour assumer les responsabilités de gestion envers les copropriétaires.
L'AGERFA s'est prémunie contre toute dérive, elle assurera la gestion du site
Les missions qui lui sont dévolues porteront sur :
1. L'application du règlement d'urbanisme
2. La sécurité des lieux, l'entretien, et la collecte des charges, la maintenance des équipements collectifs et ceux des espaces verts et des lieux publics...
En somme, répondre aux exigences de toute ville moderne.
Source : eldjazaircom.dz
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