Ali Bongo, le fils de son père dirigererait le Gabon dans l'ombre de la présidente par interim. Il serait l'homme choisi par la France pour assurer la continuté de la France Afrique chére à son père.
Au des décision prise par la presidente par intérim et de l'influance plus que presente de Monsieur Ali Bongo , on se demande aujourd'hui qui diraige réellement le Gabon.
Sitôt le défunt président Oumar Odimba Bongo, accompagné à sa dernière demeure, la Cour constitutionnelle du Gabon semble bien pressé de régler la question de sa succession en programmant les élections anticipées pour le 6 septembre prochain, mettant ainsi sur le qui-vive les différents prétendants. Passant outre, selon mes sources, la pertinente proposition du candidat PIERRE MAMBOUNDOU de l’UPG (Union du Peuple Gabonais) de régler d’abord la question des LISTES ÉLECTORALES.
Question cruciale quand on sait que ces listes sont loin d’être fiables, puisque enregistrant 2 millions d’électeurs, alors que le petit pays du Gabon ne compte qu’environ 1 million 400 000 habitants, voire moins selon certaines sources.
On me parle même de listes électorales où figurent des morts, enterrés depuis des lustres, et aussi d’enfants nés récemment, et même des rejetons non encore nés. Comme si les MORTS, les VIVANTS et les ÂMES EN DEVENIR participent tous à un SIMULACRE ÉLECTORAL surréaliste visant à la pérennité de la DYNASTIE BONGO…
« LE ROI EST MORT! VIVE LE ROI! » COMME AU TOGO ?
Ce problème de listes électorales truquées, on le sait, est l’une des méthodes fétiches pour FAUSSER LES ÉLECTIONS et « introniser » des ROITELETS contre la volonté populaire. Et le souci actuel de la plupart des Gabonais de la diaspora, que j’ai entendus, est de voir resurgir dans leur pays, malmené depuis des lustres, le vieux spectre du « ROI EST MORT! VIVE LE ROI! ». Autrement dit : « BONGO EST MORT! VIVE BONGO! ». La frayeur de voir resurgir un autre Bongo à la place du précédent Bongo! C’est un secret de polichinelle la volonté princière de ALI BONGO de succéder à son défunt père, consacrant ainsi une MONARCHIE déguisée en République. Un STATU QUO malicieusement entretenu par ces donneurs de leçons démocratiques qui effacent avec la main gauche ce qu’ils écrivent avec la main droite. Et se gaussent nuitamment des discours diurnes qu’ils tiennent sur les ondes.
Les amis gabonais craignent donc, à juste raison, de voir rééditer dans leur pays la même PIÈCE DE THÉÂTRE qui agite le TOGO où un EYADEMA a tôt fait de succéder à un autre EYADEMA, avec les conséquences que l’on sait. Le désespoir d’un pays renouant avec une époque trouble du moyen-âge africain avec ses guerres de succession sans fin. Et ce douloureux constat se dédouble de l’amer et humiliant sentiment d’être sous l’EMPRISE PÉDÉRASTE d’un ÉTAT SODOMITE : l’inévitable et incorrigible FRANCE. Plus exécrable que jamais!
Au des décision prise par la presidente par intérim et de l'influance plus que presente de Monsieur Ali Bongo , on se demande aujourd'hui qui diraige réellement le Gabon.
Sitôt le défunt président Oumar Odimba Bongo, accompagné à sa dernière demeure, la Cour constitutionnelle du Gabon semble bien pressé de régler la question de sa succession en programmant les élections anticipées pour le 6 septembre prochain, mettant ainsi sur le qui-vive les différents prétendants. Passant outre, selon mes sources, la pertinente proposition du candidat PIERRE MAMBOUNDOU de l’UPG (Union du Peuple Gabonais) de régler d’abord la question des LISTES ÉLECTORALES.
Question cruciale quand on sait que ces listes sont loin d’être fiables, puisque enregistrant 2 millions d’électeurs, alors que le petit pays du Gabon ne compte qu’environ 1 million 400 000 habitants, voire moins selon certaines sources.
On me parle même de listes électorales où figurent des morts, enterrés depuis des lustres, et aussi d’enfants nés récemment, et même des rejetons non encore nés. Comme si les MORTS, les VIVANTS et les ÂMES EN DEVENIR participent tous à un SIMULACRE ÉLECTORAL surréaliste visant à la pérennité de la DYNASTIE BONGO…
« LE ROI EST MORT! VIVE LE ROI! » COMME AU TOGO ?
Ce problème de listes électorales truquées, on le sait, est l’une des méthodes fétiches pour FAUSSER LES ÉLECTIONS et « introniser » des ROITELETS contre la volonté populaire. Et le souci actuel de la plupart des Gabonais de la diaspora, que j’ai entendus, est de voir resurgir dans leur pays, malmené depuis des lustres, le vieux spectre du « ROI EST MORT! VIVE LE ROI! ». Autrement dit : « BONGO EST MORT! VIVE BONGO! ». La frayeur de voir resurgir un autre Bongo à la place du précédent Bongo! C’est un secret de polichinelle la volonté princière de ALI BONGO de succéder à son défunt père, consacrant ainsi une MONARCHIE déguisée en République. Un STATU QUO malicieusement entretenu par ces donneurs de leçons démocratiques qui effacent avec la main gauche ce qu’ils écrivent avec la main droite. Et se gaussent nuitamment des discours diurnes qu’ils tiennent sur les ondes.
Les amis gabonais craignent donc, à juste raison, de voir rééditer dans leur pays la même PIÈCE DE THÉÂTRE qui agite le TOGO où un EYADEMA a tôt fait de succéder à un autre EYADEMA, avec les conséquences que l’on sait. Le désespoir d’un pays renouant avec une époque trouble du moyen-âge africain avec ses guerres de succession sans fin. Et ce douloureux constat se dédouble de l’amer et humiliant sentiment d’être sous l’EMPRISE PÉDÉRASTE d’un ÉTAT SODOMITE : l’inévitable et incorrigible FRANCE. Plus exécrable que jamais!
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