Je n'ai plus le début de la chanson et sais plus qui est l'auteur
À Alger c'est toujours l'été
On s'amuse bien sur les trottoirs
On va au marchand d'à côté
Et on achète des olives noires
Il y a les rues il y a le port
En bas c'est la casbah
Les Enfants les Macs les Fathmas
Et la mer Méditerranée
Derrière chez moi à El Biar
Il y a le marché noir
Les vieux sont assis en tailleur
Les femmes qui vendent des porte-bonheur
Si tu voyais la marchandise
Les bijoux et les friandises
Les couteaux super acérés
Sur les tapis dans les paniers
À l'aide on tue le mouton
Il y a du sang sur les balcons
Après pour enlever la peau
On gonfle avec la pompe à vélo
Allah ya baba
Allah ya baba
Asmah la darbouka
Asmah la darbouka
Hier y a eu la migration
Les bédouins avec leurs moutons
Ont envahi toute la cité
Toutes les rues étaient bloquées
Si t'avais vu la gueule des flics
Devant les rues embouteillées
Les bédouins tranquilles prenaient le thé
Devant la tente sans s'énerver
Et puis hier j'te jure mon frère
Y a neigé hier à Alger
Les oiseaux pour se réchauffer
Allaient se jeter sur la chaussée
Et puis là là oui par centaines
Se faisaient écrabouiller Hé
J'te jure mon frère il a neigé
Il a neigé hier à Alger
C'est là aussi que j'l'ai connue
La première fille que j'l'ai perdue
La première fille que j'ai aimée
La première fille j'l'ai caressée
En face il y avait la casbah
Les Enfants les Mac les Fathmas
Les olives et les oliviers
Et la mer Méditerranée
Et la mer Méditerranée
À Alger c'est toujours l'été
On s'amuse bien sur les trottoirs
On va au marchand d'à côté
Et on achète des olives noires
Il y a les rues il y a le port
En bas c'est la casbah
Les Enfants les Macs les Fathmas
Et la mer Méditerranée
Derrière chez moi à El Biar
Il y a le marché noir
Les vieux sont assis en tailleur
Les femmes qui vendent des porte-bonheur
Si tu voyais la marchandise
Les bijoux et les friandises
Les couteaux super acérés
Sur les tapis dans les paniers
À l'aide on tue le mouton
Il y a du sang sur les balcons
Après pour enlever la peau
On gonfle avec la pompe à vélo
Allah ya baba
Allah ya baba
Asmah la darbouka
Asmah la darbouka
Hier y a eu la migration
Les bédouins avec leurs moutons
Ont envahi toute la cité
Toutes les rues étaient bloquées
Si t'avais vu la gueule des flics
Devant les rues embouteillées
Les bédouins tranquilles prenaient le thé
Devant la tente sans s'énerver
Et puis hier j'te jure mon frère
Y a neigé hier à Alger
Les oiseaux pour se réchauffer
Allaient se jeter sur la chaussée
Et puis là là oui par centaines
Se faisaient écrabouiller Hé
J'te jure mon frère il a neigé
Il a neigé hier à Alger
C'est là aussi que j'l'ai connue
La première fille que j'l'ai perdue
La première fille que j'ai aimée
La première fille j'l'ai caressée
En face il y avait la casbah
Les Enfants les Mac les Fathmas
Les olives et les oliviers
Et la mer Méditerranée
Et la mer Méditerranée
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