Un jeune homme a poignardé son frère à Bir- El-Ater au premier jour du Ramadan, un groupe de jeunes a violé une adolescente. Des faits rapportés par la presse qui renseignent sur la recrudescence de la criminalité en Algérie.
Est-ce lié au mois de Ramadan ?
Une revue des crimes commis ces dernières semaines ne permet pas de l’affirmer avec certitude.
Les raisons de cette hausse de la criminalité sont à chercher ailleurs que dans des considérations liées au stress que peut provoquer une journée de jeûne chez certains.
Et pour cause, selon les statistiques établies en juin dernier, plusieurs crimes avaient été enregistrés. A Aïn-el-Kebira, à 25 km, au nord du cheflieu de la wilaya de Sétif, un père a égorgé sa fille âgée de 22 ans avant de lui asséner plusieurs coups de couteau à la poitrine.
Dans la commune de Mesdour, dans la wilaya de Bouira, c’est un jeune homme de 21 ans qui a mortellement poignardé son oncle âgé de 36 ans pour cause d’un différend sur une parcelle de terrain. A Oran, un jeune homme a assassiné son frère à l’intérieur du domicile familial en le poignardant au ventre. A l’origine de ce drame, une simple dispute sur qui prendra le premier sa douche.
En juillet, il y a eu tout autant de crimes. A Aïn-Turc, un jeune adolescent de 17 ans a assassiné son cousin de 16 ans après une altération au sujet d’un téléphone portable. A Alger, dans la commune de Gué-de- Constantine, un quadragénaire dépressif a tué à coups de couteau son père, âgé de 65 ans, pendant son sommeil.
A Taguedit, un homme de 60 ans a tué sa femme à l’aide d’une grosse pierre tandis qu’un septuagénaire a été sauvagement assassiné par son neveu à l’aide d’une arme blanche.
Des crimes qui renseignent sur le degré de violence dans lequel baigne la société algérienne et qui méritent toute l’attention des sociologues, qui peuvent décrypter ces signaux alarmants lancés par une société en perte de repères.
Par le soir
Est-ce lié au mois de Ramadan ?
Une revue des crimes commis ces dernières semaines ne permet pas de l’affirmer avec certitude.
Les raisons de cette hausse de la criminalité sont à chercher ailleurs que dans des considérations liées au stress que peut provoquer une journée de jeûne chez certains.
Et pour cause, selon les statistiques établies en juin dernier, plusieurs crimes avaient été enregistrés. A Aïn-el-Kebira, à 25 km, au nord du cheflieu de la wilaya de Sétif, un père a égorgé sa fille âgée de 22 ans avant de lui asséner plusieurs coups de couteau à la poitrine.
Dans la commune de Mesdour, dans la wilaya de Bouira, c’est un jeune homme de 21 ans qui a mortellement poignardé son oncle âgé de 36 ans pour cause d’un différend sur une parcelle de terrain. A Oran, un jeune homme a assassiné son frère à l’intérieur du domicile familial en le poignardant au ventre. A l’origine de ce drame, une simple dispute sur qui prendra le premier sa douche.
En juillet, il y a eu tout autant de crimes. A Aïn-Turc, un jeune adolescent de 17 ans a assassiné son cousin de 16 ans après une altération au sujet d’un téléphone portable. A Alger, dans la commune de Gué-de- Constantine, un quadragénaire dépressif a tué à coups de couteau son père, âgé de 65 ans, pendant son sommeil.
A Taguedit, un homme de 60 ans a tué sa femme à l’aide d’une grosse pierre tandis qu’un septuagénaire a été sauvagement assassiné par son neveu à l’aide d’une arme blanche.
Des crimes qui renseignent sur le degré de violence dans lequel baigne la société algérienne et qui méritent toute l’attention des sociologues, qui peuvent décrypter ces signaux alarmants lancés par une société en perte de repères.
Par le soir
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