Salam alaikoum
En cette periode de jeun et de piété incha Allah, j'a voulu partager avec vous ces quelques paroles prononcés par des personnages qui on marqué l'Islam, et dont les propos meritent que l'on s'y arrete un instant et que l'on medite dessus.
Omar Ibn Al Khattab disait :
« Celui qui rit beaucoup son air imposant faiblit, et celui qui se rejouit on le méprise »
« Celui qui parle beaucoup se trompe beaucoup, sa pudeur diminue »
« Ne parle pas de ce qui ne te regarde pas, éloigne toi de ton ennemis , mefie toi de ton ami sauf s’il est de confiance… Et la seule personne de confiance est celle qui craint Allah »
Lorsque Omar mourut, Medine s’assombrit, a tel point que l’enfant questionnait le pére « Papa ! Est-ce le jour de la resurection ? Et celui-ci repondait « Non mon fils ! mais Omar a été assassiné »
Ali Ibn abi Talib disait :
« La chose que je craint le plus pour vous, c’est le fait de suivre les passions et l’espoir d’avoir une longue vie. Car le fait de suivre les passions éloigne de la vérité, et l’espoir d’une longue vie fait oublier l’au-delà »
« Doit vraiment être modeste celui qui doit mourir. Et la chose dont l’individu a besoin de la vie terrestre, c’est la nourriture alors pourquoi l’individu s’inquiete-t’il dés le matin, et œuvre d’une maniére indescriptible »
« Oh toi ! Sache que prochainement tu va partir vers des personnes dont les paroles sont le silence »
Aboullah Ibn Mas’oud disait :
« La science ne consiste pas a avoir beaucoup de connaissance, mais la science c’est craindre ALLAH »
« Malheur au non instruit, car si ALLAH l’aurais voulu, il l’aurait instruit, et malheur a celui qui est instruit et qui ne met pas en pratique ce qu’il sait » Il répéta cela sept fois.
« Dans le circuit du jour et de la nuit, vous vous dirigez vers une limite prescrite qui diminue et vers des actes qui sont gardés, alors que la mort viens subitement »
« Il convient a celui qui connait le Coran par cœur qu’il soit pleureur , triste, sage, indulgent et silencieux »
« Par Allah nul ne mérite d’être longuement emprisonné que la langue »
Mou’adh Ibn Jabal disait :
Lorsqu’il priait la nuit « O ALLAH, les yeux se sont fermés , les étoiles ont disparues, et toi, Tu es vivant et tu existe par toi-même »
« O ALLAH ! ma demande pour le Paradis est faible et ma fuite de l’enfer est lente »
« Vous allez vivre des malheurs, durant lesquels il y aura beaucoup d’argent, et le Coran sera tellement ouvert , que le lire le croyant ainsi que l’hypocrite, le grand et le petit »
« Lorsque tu prie, prie de la même maniére que la personne qui fait ses adieux, en pensant que tu ne reviendra jamais »
Lorsque la mort vint a lui il ne cessa de dire « O ALLAH je te craignait, mais aujourd’hui mon espoir est en toi, tu sais que je n’aimais pas la vie terreste et que je voulais pas y rester longtemps. Mais ce que j’aimais c’était avoir soif lors des canicules, faire preuve d’endurance durant des heures et bousculer les savants avec mes genoux dans les cercles d’etudes »
Salman al Farisi disait :
« La science est vaste , la vie est courte, alors prend de la science ce dont tu a besoin pour ta religion, et laisse le reste »
« Si tu commet un péché en privé, alors commet une bonne action en privé, et si tu commet un péché en public, alors commet une bonne action en public, afin que celle-ci efface celle là »
Zayd al Abidin Ali ibn al Houssayn Ibn Ali ibn abi Talib disait :
« Dans le passé les Corans ne se vendaient pas, mais la personne venait avec une feuille et se postait à coté de la chaire, puis une personne volontaire lui ecrivait au debut de la feuille, Puis une autre personne venait et lui ecrivait la suite et ce jusqu'à ce que le Coran soit totalement écrit »
« Je suis étonné par celui qui est orgueilleux et fier, alors qui hier, était une goutte de sperme et qui demain sera une charogne »
Des personnes de Medine vivaient sans savoir d’où provenait leur subsistances. Lorsqu’il mourut, elle perdirent ce qu’elles recevaient la nuit. A sa mort ils le lavèrent et constatèrent des traces noires sur son dos et ils dirent : La nuit il portait les sac de farine sur son dos et les distribuait aux pauvre de Medine »
Al Hassan al Basri disait :
« Nous avons vécu avec des personnes qui s’eloignaient des choses qu’ALLAH leur avaient permises , plus que vous ne le faites avec les choses qui vont été interdites »
« Les critique que se fait l’individu en public sont en fait des éloges »
Lorsqu’il s’asseyait, il s’asseyait comme un prisonnier, et lorsqu’il parlait, il parlait de la même maniére que l’homme qui doit etre diriger vers l’enfer »
« Tant que l’individu espére vivre longtemps, il fera des mauvaises actions »
« O être humain ! Certes tu n’est qu’un nombre, chaque jour c’est une partie de toi qui pars »
« Vos dirigeants sont semblables a vos actes, et vous serez gouvernés de la même maniére que vous vous comporterez »
« Celui qui te concurrence dans la religion concurrence le, et celui qui te concurrence dans les biens terrestres, jettes-les lui au cou ! »
« J’ai vu 70 personnes qui ont assisté a la bataille de Badr, si vous les auriez vu, vous auriez dit « Ils sont fous !Et s’ils avaient vu les meilleurs d’entre vous, ils auraient dit « Ceux là, ils n’ont aucune part dans l’au-delà . Et s’ils avaient vu les plus mauvais d’entre vous, ils auraient dit « Ceux là, ils ne croient pas au jour du jugement »
« Le fait d’avoir beaucoup d’ami est un signe de faiblesse de religiosité »
Il ne s’asseyait jamais a la tête d’une assemblée, mais il s’asseyait sur les cotés, a coté du mur et il pliait les jambes.
« Ceci est une époque où tu doit t’occuper de toi-même, et où tu doit abandonner les gens »
Hassan al basri recitait ce verset S 23 V 104 :
« Le feu leur brulera le visage et ils auront les lévres crispées » Puis il dit : « Quelle image, O serviteurs d’ALLAH. Comme elle est terrible, alors prenez y garde . On rapporte que l’enfer brulera leurs visages de maniére a ne laisser ni chair, ni peau sans la jeter sur les chevilles et il laissera les visages sombres » Puis il pleura et dit : « O ALLAH ! Nous cherchons refuge auprés de toi contre les chatiments de l’enfer quel mauvais devenir »
En cette periode de jeun et de piété incha Allah, j'a voulu partager avec vous ces quelques paroles prononcés par des personnages qui on marqué l'Islam, et dont les propos meritent que l'on s'y arrete un instant et que l'on medite dessus.
Omar Ibn Al Khattab disait :
« Celui qui rit beaucoup son air imposant faiblit, et celui qui se rejouit on le méprise »
« Celui qui parle beaucoup se trompe beaucoup, sa pudeur diminue »
« Ne parle pas de ce qui ne te regarde pas, éloigne toi de ton ennemis , mefie toi de ton ami sauf s’il est de confiance… Et la seule personne de confiance est celle qui craint Allah »
Lorsque Omar mourut, Medine s’assombrit, a tel point que l’enfant questionnait le pére « Papa ! Est-ce le jour de la resurection ? Et celui-ci repondait « Non mon fils ! mais Omar a été assassiné »
Ali Ibn abi Talib disait :
« La chose que je craint le plus pour vous, c’est le fait de suivre les passions et l’espoir d’avoir une longue vie. Car le fait de suivre les passions éloigne de la vérité, et l’espoir d’une longue vie fait oublier l’au-delà »
« Doit vraiment être modeste celui qui doit mourir. Et la chose dont l’individu a besoin de la vie terrestre, c’est la nourriture alors pourquoi l’individu s’inquiete-t’il dés le matin, et œuvre d’une maniére indescriptible »
« Oh toi ! Sache que prochainement tu va partir vers des personnes dont les paroles sont le silence »
Aboullah Ibn Mas’oud disait :
« La science ne consiste pas a avoir beaucoup de connaissance, mais la science c’est craindre ALLAH »
« Malheur au non instruit, car si ALLAH l’aurais voulu, il l’aurait instruit, et malheur a celui qui est instruit et qui ne met pas en pratique ce qu’il sait » Il répéta cela sept fois.
« Dans le circuit du jour et de la nuit, vous vous dirigez vers une limite prescrite qui diminue et vers des actes qui sont gardés, alors que la mort viens subitement »
« Il convient a celui qui connait le Coran par cœur qu’il soit pleureur , triste, sage, indulgent et silencieux »
« Par Allah nul ne mérite d’être longuement emprisonné que la langue »
Mou’adh Ibn Jabal disait :
Lorsqu’il priait la nuit « O ALLAH, les yeux se sont fermés , les étoiles ont disparues, et toi, Tu es vivant et tu existe par toi-même »
« O ALLAH ! ma demande pour le Paradis est faible et ma fuite de l’enfer est lente »
« Vous allez vivre des malheurs, durant lesquels il y aura beaucoup d’argent, et le Coran sera tellement ouvert , que le lire le croyant ainsi que l’hypocrite, le grand et le petit »
« Lorsque tu prie, prie de la même maniére que la personne qui fait ses adieux, en pensant que tu ne reviendra jamais »
Lorsque la mort vint a lui il ne cessa de dire « O ALLAH je te craignait, mais aujourd’hui mon espoir est en toi, tu sais que je n’aimais pas la vie terreste et que je voulais pas y rester longtemps. Mais ce que j’aimais c’était avoir soif lors des canicules, faire preuve d’endurance durant des heures et bousculer les savants avec mes genoux dans les cercles d’etudes »
Salman al Farisi disait :
« La science est vaste , la vie est courte, alors prend de la science ce dont tu a besoin pour ta religion, et laisse le reste »
« Si tu commet un péché en privé, alors commet une bonne action en privé, et si tu commet un péché en public, alors commet une bonne action en public, afin que celle-ci efface celle là »
Zayd al Abidin Ali ibn al Houssayn Ibn Ali ibn abi Talib disait :
« Dans le passé les Corans ne se vendaient pas, mais la personne venait avec une feuille et se postait à coté de la chaire, puis une personne volontaire lui ecrivait au debut de la feuille, Puis une autre personne venait et lui ecrivait la suite et ce jusqu'à ce que le Coran soit totalement écrit »
« Je suis étonné par celui qui est orgueilleux et fier, alors qui hier, était une goutte de sperme et qui demain sera une charogne »
Des personnes de Medine vivaient sans savoir d’où provenait leur subsistances. Lorsqu’il mourut, elle perdirent ce qu’elles recevaient la nuit. A sa mort ils le lavèrent et constatèrent des traces noires sur son dos et ils dirent : La nuit il portait les sac de farine sur son dos et les distribuait aux pauvre de Medine »
Al Hassan al Basri disait :
« Nous avons vécu avec des personnes qui s’eloignaient des choses qu’ALLAH leur avaient permises , plus que vous ne le faites avec les choses qui vont été interdites »
« Les critique que se fait l’individu en public sont en fait des éloges »
Lorsqu’il s’asseyait, il s’asseyait comme un prisonnier, et lorsqu’il parlait, il parlait de la même maniére que l’homme qui doit etre diriger vers l’enfer »
« Tant que l’individu espére vivre longtemps, il fera des mauvaises actions »
« O être humain ! Certes tu n’est qu’un nombre, chaque jour c’est une partie de toi qui pars »
« Vos dirigeants sont semblables a vos actes, et vous serez gouvernés de la même maniére que vous vous comporterez »
« Celui qui te concurrence dans la religion concurrence le, et celui qui te concurrence dans les biens terrestres, jettes-les lui au cou ! »
« J’ai vu 70 personnes qui ont assisté a la bataille de Badr, si vous les auriez vu, vous auriez dit « Ils sont fous !Et s’ils avaient vu les meilleurs d’entre vous, ils auraient dit « Ceux là, ils n’ont aucune part dans l’au-delà . Et s’ils avaient vu les plus mauvais d’entre vous, ils auraient dit « Ceux là, ils ne croient pas au jour du jugement »
« Le fait d’avoir beaucoup d’ami est un signe de faiblesse de religiosité »
Il ne s’asseyait jamais a la tête d’une assemblée, mais il s’asseyait sur les cotés, a coté du mur et il pliait les jambes.
« Ceci est une époque où tu doit t’occuper de toi-même, et où tu doit abandonner les gens »
Hassan al basri recitait ce verset S 23 V 104 :
« Le feu leur brulera le visage et ils auront les lévres crispées » Puis il dit : « Quelle image, O serviteurs d’ALLAH. Comme elle est terrible, alors prenez y garde . On rapporte que l’enfer brulera leurs visages de maniére a ne laisser ni chair, ni peau sans la jeter sur les chevilles et il laissera les visages sombres » Puis il pleura et dit : « O ALLAH ! Nous cherchons refuge auprés de toi contre les chatiments de l’enfer quel mauvais devenir »
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