Village agricole de Adila
Enfin, une clôture pour l’unité de soins !
Les infrastructures de l’ex village agricole dit “socialiste” sont dans un délabrement avancé.
Si au début des années 80, cette cité était la plus fréquentée pour son souk el fellah, son hammam, son bureau de poste et pour son Centre culturel, aujourd'hui, seules l’unité de soins, la mosquée et l’école primaire sont opérationnelles. “Il ne reste rien dans ce village. Vous voyez même, les accès sont impraticables”, nous dit un habitant du village rencontré tout près du carré des martyrs. “la poste est fermée depuis des années. Notre courrier se perd dans les cafés et les épiceries du coin”, a-t’il ajouté.
Dans une virée à l’intérieur de cette cité, nous avons quand même appris que l’unité de soins a bénéficié d’une clôture en dur.
Si cette opération réjouit les habitants du village agricole, ils attendent toujours que le bureau de poste soit remis en service.
“Nous avons saisi les autorités ainsi que le receveur de Tizi-Gheniff. En vain. Il n'y a même pas un facteur pour distribuer le courrier. Combien de personnes ayant déjà perdu leur courrier?”, s’est interrogé le même interlocuteur.
Tous les habitants que nous avons approchés étaient unanimes à nous parler de “la belle époque” du village agricole. “Nous avions toutes les commodités. on n’avait jamais cru un jour que cette cité serait à l’abandon.
C’est vraiment, une faillite entière”, s’est lamenté l’un des premiers agriculteurs ayant habité dans ce quartier. De loin, on peut voir les portes défoncées du Centre culturel et plus loin l’ex-dépôt de la défunte SEMPAC (lieu où l’on vendait la semoule et ses dérivés).
Avant de quitter les quelques personnes regroupées en ce jour de Ramadan une épicerie au centre du VAS (village agricole socialiste), l’une d'elles se rapprocha de nous pour interpeller les autorités à s’occuper un peu plus d’eux.
Amar Ouramdane
Enfin, une clôture pour l’unité de soins !
Les infrastructures de l’ex village agricole dit “socialiste” sont dans un délabrement avancé.
Si au début des années 80, cette cité était la plus fréquentée pour son souk el fellah, son hammam, son bureau de poste et pour son Centre culturel, aujourd'hui, seules l’unité de soins, la mosquée et l’école primaire sont opérationnelles. “Il ne reste rien dans ce village. Vous voyez même, les accès sont impraticables”, nous dit un habitant du village rencontré tout près du carré des martyrs. “la poste est fermée depuis des années. Notre courrier se perd dans les cafés et les épiceries du coin”, a-t’il ajouté.
Dans une virée à l’intérieur de cette cité, nous avons quand même appris que l’unité de soins a bénéficié d’une clôture en dur.
Si cette opération réjouit les habitants du village agricole, ils attendent toujours que le bureau de poste soit remis en service.
“Nous avons saisi les autorités ainsi que le receveur de Tizi-Gheniff. En vain. Il n'y a même pas un facteur pour distribuer le courrier. Combien de personnes ayant déjà perdu leur courrier?”, s’est interrogé le même interlocuteur.
Tous les habitants que nous avons approchés étaient unanimes à nous parler de “la belle époque” du village agricole. “Nous avions toutes les commodités. on n’avait jamais cru un jour que cette cité serait à l’abandon.
C’est vraiment, une faillite entière”, s’est lamenté l’un des premiers agriculteurs ayant habité dans ce quartier. De loin, on peut voir les portes défoncées du Centre culturel et plus loin l’ex-dépôt de la défunte SEMPAC (lieu où l’on vendait la semoule et ses dérivés).
Avant de quitter les quelques personnes regroupées en ce jour de Ramadan une épicerie au centre du VAS (village agricole socialiste), l’une d'elles se rapprocha de nous pour interpeller les autorités à s’occuper un peu plus d’eux.
Amar Ouramdane
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