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Le dodo est l'oiseau emblématique de l'île Maurice. Il a disparu depuis trois siècles. C'est un animal légendaire avec son look si atypique et on vient de découvrir des ossements de Dodo . Le rêve peut donc continuer.
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Le dodo s'est définitivement endormi il y a trois cents ans, mais il passionne toujours autant. Cet oiseau aux ailes atrophiées, emblème de l'île Maurice, reste un mystère ornithologique. La découverte faite par des paléontologues néerlandais et mauriciens pourrait apporter un nouvel éclairage sur cette espèce disparue: les squelettes d'une vingtaine de spécimens adultes et de poussins ont été mis au jour lors de fouilles dans une ancienne plantation de canne à sucre, à l'est de l'île de l'archipel des Mascareignes.
Le gisement contenait plus de 700 ossements de tortues géantes et de dodos - dont un bec supérieur. Vieux de deux mille à trois mille ans, ces restes étaient conservés dans une même couche souterraine remplie de résidus organiques (feuilles, graines, plantes disparues, etc.). Autant d'indices sur l'environnement dans lequel vivait l'oiseau avant d'être exterminé en moins d'un siècle par les colons portugais et hollandais.
Sa morphologie, considérée comme disgracieuse - le dodo serait plus gros qu'un cygne, court sur pattes, à bec de pélican - n'était connue qu'à travers quelques gravures d'époque et de rares ossements authentifiés en Grande-Bretagne, en République tchèque, aux Pays-Bas et à l'île Maurice. Le dernier spécimen empaillé avait, lui, brûlé en 1755 dans l'incendie du musée Ashmolean, à Londres. Cette découverte historique va donc permettre de détecter les faux exposés dans certains musées.
Source: lexpress
Le dodo
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Le dodo s'est définitivement endormi il y a trois cents ans, mais il passionne toujours autant. Cet oiseau aux ailes atrophiées, emblème de l'île Maurice, reste un mystère ornithologique. La découverte faite par des paléontologues néerlandais et mauriciens pourrait apporter un nouvel éclairage sur cette espèce disparue: les squelettes d'une vingtaine de spécimens adultes et de poussins ont été mis au jour lors de fouilles dans une ancienne plantation de canne à sucre, à l'est de l'île de l'archipel des Mascareignes.
Le gisement contenait plus de 700 ossements de tortues géantes et de dodos - dont un bec supérieur. Vieux de deux mille à trois mille ans, ces restes étaient conservés dans une même couche souterraine remplie de résidus organiques (feuilles, graines, plantes disparues, etc.). Autant d'indices sur l'environnement dans lequel vivait l'oiseau avant d'être exterminé en moins d'un siècle par les colons portugais et hollandais.
Sa morphologie, considérée comme disgracieuse - le dodo serait plus gros qu'un cygne, court sur pattes, à bec de pélican - n'était connue qu'à travers quelques gravures d'époque et de rares ossements authentifiés en Grande-Bretagne, en République tchèque, aux Pays-Bas et à l'île Maurice. Le dernier spécimen empaillé avait, lui, brûlé en 1755 dans l'incendie du musée Ashmolean, à Londres. Cette découverte historique va donc permettre de détecter les faux exposés dans certains musées.
Source: lexpress
Le dodo