L’investissement de la Chine en Algérie s’élève à quelque 900 millions de dollars. C’est du moins ce qu’a affirmé, hier, Liu Yuhe, ambassadeur de Chine à Alger, lors d’une conférence de presse organisée à l’ITHT de Tizi-Ouzou.
Il faut dire que la visite de l’ambassadeur chinois a suscité beaucoup d’intérêts dans la ville des Genêts. L’on voudra pour preuve l’assistance nombreuse qui a suivi la conférence-débat animée par le représentant de la Chine et qui a porté sur les politiques de l’investissement direct étranger en Chine.
De prime abord, Liu Yuhe indiquera que l’introduction des IDE a fait partie prenante de la reforme et l’ouverture de la Chine et à travers laquelle le pays a pu surtout accélérer la marche de sa participation à la mondialisation.
Pour justement attirer les investisseurs du monde entier, le représentant de la Chine en Algérie dira que son pays a dû partir à zéro. “Nous sommes passés des capitaux de Hong-Kong, de Macao et Taiwan à ceux de grandes entreprises multinationales des payes développés, des coopérations particulières aux investissements diversifiés, de la production de transformation simple à l’intégration des chaînes industrielles, de l’industrie de la fabrication au secteur tertiaire”.
A ce sujet, l’on apprendra que 670 000 entreprises étrangères ont été installées en Chine jusqu'à juin dernier, ce qui représente un montant d’investissement direct étranger de 940 milliards de dollars, ce qui fait d’ailleurs de la Chine le premier pays d’accueil des IDE parmi les pays en développement pendant 17 années consécutives. L’ambassadeur chinois fera par la suite une analyse rétrospective du cheminement du secteur et autres orientations économiques de son pays en mettant surtout le doigt sur l’énorme avancée qu’il a pu faire.
“Actuellement, l’investissement de la Chine dans plus de 170 pays atteint au total 180 milliards de dollars et au fur et à mesure que la Chine se développe économiquement, elle va apporter une plus grande contribution à la stabilité du monde.”
35 à 40 000 Chinois travaillent en Algérie
Au cours de la conférence de presse animée par l’ambassadeur chinois, au salon d’honneur de l’ITHT, l’hôte de la ville des Genêts est revenu sur son séjour dans la capitale du Djurdjura. “J’avoue que je suis tres impressionné par cette région de Kabylie. L’accueil très chaleureux qui nous a été réservé partout où nous sommes allés prouve l’amitié profonde qui lie nos deux pays. J’ai été surtout frappé par l’ouverture d’esprit des citoyens de Tizi-Ouzou. Cela est dû peut-être au fait que les citoyens de cette région voyagent beaucoup.” Liu Yuhe indiquera justement à propos des échanges attendus qu’il “a pris acte des propositions et autres opportunités d’affaires qu’offre la région”, tout en précisant qu’il les “soumettra tres prochainement aux différents opérateurs économiques de (son) pays” afin, dira-t-il de concrétiser sur le terrain le partenariat stratégique que les deux parties se fixent comme objectif.
A ce propos, le représentant chinois indiquera qu’il y a vraiment “une volonté d’apporter notre pierre à l’édifice dans différents secteurs d’activité. Nous encourageons nos entreprises à s’installer ici pour y investir car il y a un bon climat d’affaire”. Il ajoutera que son pays a déjà délivré cette année
16 000 visas et que le nombre des Chinois qui travaillent dans notre pays se situe entre 35 et 40 000. Il faut signaler en fin qu’en marge de la conférence, la création d’une fondation pour le développement en Kabylie a été faite sans pour autant que ses initiateurs donnent des détails ou la moindre explication sur un projet qui porte pourtant une grande importance, du moins pour sa dénomination.
Par La Dépêche de Kabylie
Il faut dire que la visite de l’ambassadeur chinois a suscité beaucoup d’intérêts dans la ville des Genêts. L’on voudra pour preuve l’assistance nombreuse qui a suivi la conférence-débat animée par le représentant de la Chine et qui a porté sur les politiques de l’investissement direct étranger en Chine.
De prime abord, Liu Yuhe indiquera que l’introduction des IDE a fait partie prenante de la reforme et l’ouverture de la Chine et à travers laquelle le pays a pu surtout accélérer la marche de sa participation à la mondialisation.
Pour justement attirer les investisseurs du monde entier, le représentant de la Chine en Algérie dira que son pays a dû partir à zéro. “Nous sommes passés des capitaux de Hong-Kong, de Macao et Taiwan à ceux de grandes entreprises multinationales des payes développés, des coopérations particulières aux investissements diversifiés, de la production de transformation simple à l’intégration des chaînes industrielles, de l’industrie de la fabrication au secteur tertiaire”.
A ce sujet, l’on apprendra que 670 000 entreprises étrangères ont été installées en Chine jusqu'à juin dernier, ce qui représente un montant d’investissement direct étranger de 940 milliards de dollars, ce qui fait d’ailleurs de la Chine le premier pays d’accueil des IDE parmi les pays en développement pendant 17 années consécutives. L’ambassadeur chinois fera par la suite une analyse rétrospective du cheminement du secteur et autres orientations économiques de son pays en mettant surtout le doigt sur l’énorme avancée qu’il a pu faire.
“Actuellement, l’investissement de la Chine dans plus de 170 pays atteint au total 180 milliards de dollars et au fur et à mesure que la Chine se développe économiquement, elle va apporter une plus grande contribution à la stabilité du monde.”
35 à 40 000 Chinois travaillent en Algérie
Au cours de la conférence de presse animée par l’ambassadeur chinois, au salon d’honneur de l’ITHT, l’hôte de la ville des Genêts est revenu sur son séjour dans la capitale du Djurdjura. “J’avoue que je suis tres impressionné par cette région de Kabylie. L’accueil très chaleureux qui nous a été réservé partout où nous sommes allés prouve l’amitié profonde qui lie nos deux pays. J’ai été surtout frappé par l’ouverture d’esprit des citoyens de Tizi-Ouzou. Cela est dû peut-être au fait que les citoyens de cette région voyagent beaucoup.” Liu Yuhe indiquera justement à propos des échanges attendus qu’il “a pris acte des propositions et autres opportunités d’affaires qu’offre la région”, tout en précisant qu’il les “soumettra tres prochainement aux différents opérateurs économiques de (son) pays” afin, dira-t-il de concrétiser sur le terrain le partenariat stratégique que les deux parties se fixent comme objectif.
A ce propos, le représentant chinois indiquera qu’il y a vraiment “une volonté d’apporter notre pierre à l’édifice dans différents secteurs d’activité. Nous encourageons nos entreprises à s’installer ici pour y investir car il y a un bon climat d’affaire”. Il ajoutera que son pays a déjà délivré cette année
16 000 visas et que le nombre des Chinois qui travaillent dans notre pays se situe entre 35 et 40 000. Il faut signaler en fin qu’en marge de la conférence, la création d’une fondation pour le développement en Kabylie a été faite sans pour autant que ses initiateurs donnent des détails ou la moindre explication sur un projet qui porte pourtant une grande importance, du moins pour sa dénomination.
Par La Dépêche de Kabylie
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