Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L'Algérie à la 168ème place au niveau mondial

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L'Algérie à la 168ème place au niveau mondial

    Encore un mauvais score pour l'Algérie qui vient d'être classée au 168ème rang au niveau mondial, en matière de fiscalité.

    Selon la quatrième édition de l'étude Paying Taxes 2010, réalisée dans 183 pays par PricewaterhouseCoopers (le cabinet d'avocats Landwell), en partenariat avec la Banque mondiale, l'Algérie occupe la 168e place au niveau mondial, et le 15e rang à l'échelle arabe.

    L'étude en question porte sur le classement annuel de la fiscalité appliquée aux entreprises et l'évaluation de son influence sur les activités économiques nationales.

    En ce qui concerne le climat des affaires, les données de Doing Business 2010 pour l´économie algérienne démontrent un recul net de l'Algérie par rapport aux indicateurs et indices de l'année 2009.

    L'Algérie est classée 136e sur un total de 183 économies, un baromètre qui concerne le climat des affaires et les facilitations dont doivent bénéficier les investisseurs et les opérateurs économiques.

    Le classement de la facilité de faire des affaires de Doing Business 2009 a été recalculé afin de refléter les changements de méthodologie ainsi que l'addition de deux nouveaux pays.

    L'économie algérienne a reculé de deux points puisque le Doing Business 2009 la situe à la 134e position, tandis que dans le classement de 2010 elle ne pointe qu'à la 136e place. Le calcul de la qualité du climat des affaires tient compte de plusieurs indicateurs et indices économiques.

    Il s'agit, entre autres, des conditions de création d'entreprises, d'octroi de permis de construire, d'embauche des travailleurs, du transfert de propriété, d'obtention de prêts, de la protection des investisseurs, du paiement des impôts, du commerce transfrontalier, d'exécution des contrats et de la fermeture d'entreprises.

    S'agissant, de l'étude "Paying Taxes 2010", les leaders en matière d'attractivité fiscale sont l'Ile Maurice (1er, 12ème à l'échelle internationale), le Botwana (2ème, 18ème), l'Afrique du Sud (3ème, 23ème), le Malawi (4ème, 24ème), les Seychelles (5ème, 34ème), la Zambie (6ème, 36ème), les Comores (7ème, 41ème), l'Ethiopie (8ème, 42ème), le Swaziland (9ème, 54ème), et le Rwanda (10ème, 59ème).

    A l'échelle arabe, on retrouve le Qatar (1er parmi les pays arabes et 2ème dans le monde), les Emirats arabes unis (2ème, 4ème), l'Arabie Saoudite (3ème, 7ème) et Oman (4ème, 8ème).

    Ces pays sont suivis par le Koweït (5ème, 11ème), Bahreïn (6ème, 13ème), la Jordanie (7ème, 26ème), le Liban (8ème, 34ème), les Comores (9ème, 41ème), l'Irak (10ème, 53e), Djibouti (11ème, 65ème), la Tunisie 118éme), le Maroc (25ème, 126ème), l'Egypte (13ème, 140ème), le Yémen (14ème, 148ème) et l'Algérie (15ème, 168ème).

    L'édition 2010 de "Paying Taxes" met en exergue le fait que la crise n'a pas freiné le rythme des réformes fiscales dans le monde puisque "20 pays ont diminué le taux de l'impôt sur les bénéfices des sociétés, 18 ont simplifié leurs procédures fiscales" et que "la crise risque de renforcer la concurrence fiscale entre les pays autres que les paradis fiscaux".

    Le rapport indique également qu'"au niveau global, la pression fiscale et sociale porte principalement sur l'impôt sur les bénéfices même si les cotisations sociales et les autres taxes ont un poids relativement significatif".

    Il ressort du rapport de "grandes disparités dans le poids relatif des impôts et cotisations, notamment dans les pays développés où la protection sociale des individus est très forte".

    Dans les pays développés, la pression fiscale reste très forte et au-dessus de la moyenne mondiale. Dans les autres régions, "l'importance des autres impôts semble liée à la structure des administrations fiscales", estime le rapport.

    Samira H. lemaghrebdz

  • #2
    Bonnement dernière!

    Commentaire


    • #3
      Puissance africaine gualike

      ou est l'autre ISKAR le plus grand économiste du forum pour nous éclairer un peux sur cette situation
      En tout homme se trouve une part de solitude qu'aucune intimité humaine ne peut remplir, c'est là que dieu nous rencontre.

      Commentaire


      • #4
        Mais l'Algérie ne peut quand demander à la Sonatrach de payer des impôts?

        Personnellement, je suis opposé à toute taxation fiscale car ce sont les petites gens qui en sont lésées et alors, tant mieux que l'Algérie soit la dernière en étant la seconde économie d'Afrique malgré tout!

        Commentaire


        • #5
          Personnellement, je suis opposé à toute taxation fiscale car ce sont les petites gens qui en sont lésées
          Citation du jour.

          Commentaire


          • #6
            Iskra

            Comment explique tu que la deuxiemme économie en Afrique a "peur" d'ouvrir sa frontières ou encore plus son marché intérieur ?
            En tout homme se trouve une part de solitude qu'aucune intimité humaine ne peut remplir, c'est là que dieu nous rencontre.

            Commentaire


            • #7
              L'Algérie et ses 150 milliards de réserves n'a pas besoin d'ouvrir son marché. Note qu'elle importe beaucoup, comme le Japon du reste.

              Commentaire


              • #8
                150 M$ doivent être investis et pour les investir tu dois accepter l'ouverture et le jeux de l'investissment. Sinon Khal3ouhoum hadouk les milliards
                Parles pas du japon, hchouma eux ils produisent et vous vous creusez.
                La haine aveugle

                Commentaire


                • #9
                  Mais non. On a vu le Maroc qui a ouvert son marché et son textile a été mis K.O. par la Chine. Tu penses que c'est malin?

                  Pourquoi "devoir" puisque l'Algérie prouve qu'en étant protectionniste, elle est néanmoins le seconde économie africaine?

                  Je ne comprends pas vos raisonnements.

                  Commentaire


                  • #10
                    Quand on parle d'une puissance économique, on parle d'entreprises. Dixit jenesaisplus.
                    Allez voir le classement des 500 entreprises africaines.

                    Commentaire


                    • #11
                      Entreprise? Alors l'algérienne Sonatrach étant la première entreprise africaine depuis cinq (5) ans; alors son peuple peut rire des réussites du continent africain!!

                      Commentaire


                      • #12
                        Oui, mais....

                        Le petrole! encore et toujours le petrole! N'y a-t-il pas autre chose dans ce pays ?

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X