Je sue comme un porc…qu’est ce qui m’arrive encore ? Je n’arrive pas à dormir comme à chaque fois que j’aie un cauchemar…Oh non, pas ce soir, je suis exténué. Pas ce soir pour la grâce du dieu.
Personne n’a choisi de naitre et après quelques années elle n’aura même pas la possibilité de choisir de mourir. C’est aussi injuste que de ne pas pouvoir se jeter librement et sans aucun préjugé dans les bras de Morphée après une longue journée, certes monotone, et une bonne partie du matin déjà entamée. Il est deux heures du matin et je suis toujours là devant mon laptop entrain de pianoter un texte lyrique qui se veut comme un cri de détresse.
Je regarde autour de moi, à travers la fenêtre et je ne vois rien, même pas un flocon de neige pour égailler ma solitude nocturne. Je m’en lasse rapidement de ce paysage désolant et j’accoure vers mon lit. Que trouve-je ? Deux couettes et une femme au visage méconnu ! C’est normal. Il fait très froid et c’est une nouvelle avec qui je n’ai pas eu le temps de lui faire la conversation. Je ne suis pas pressé. Ce genre de choses peut attendre puis je sais que je ne suis pas doué avec les femmes.
Soudainement, une pensée frôle mon esprit avec violence au point de me causer une migraine passagère. Un fantôme idéologique qui me hante et me rappelle avec brutalité que tout commence par une femme, se poursuit pour une femme et s’achève aussi par elle. Je fais un rapide bilan de ma vie et je me rend compte que celle-ci se résume à une course de collectionneur d’objets coutumiers pour qui un seul trophée ne suffit plus.
Finalement, je décide de faire demi-tour pour aller m’allonger sur mon canapé dans le salon sombre. Je me délecte un peu de cette position le temps d’un profond soupire puis j’allume ma télévision sur une émission aussi débile que son invité politique.
Une idée me vient…aller poster ce que je viens de pondre dans une rubrique de FA pus lire quelques postes qui pourront peut être me faire connaître le chemin vers la tombe…
Personne n’a choisi de naitre et après quelques années elle n’aura même pas la possibilité de choisir de mourir. C’est aussi injuste que de ne pas pouvoir se jeter librement et sans aucun préjugé dans les bras de Morphée après une longue journée, certes monotone, et une bonne partie du matin déjà entamée. Il est deux heures du matin et je suis toujours là devant mon laptop entrain de pianoter un texte lyrique qui se veut comme un cri de détresse.
Je regarde autour de moi, à travers la fenêtre et je ne vois rien, même pas un flocon de neige pour égailler ma solitude nocturne. Je m’en lasse rapidement de ce paysage désolant et j’accoure vers mon lit. Que trouve-je ? Deux couettes et une femme au visage méconnu ! C’est normal. Il fait très froid et c’est une nouvelle avec qui je n’ai pas eu le temps de lui faire la conversation. Je ne suis pas pressé. Ce genre de choses peut attendre puis je sais que je ne suis pas doué avec les femmes.
Soudainement, une pensée frôle mon esprit avec violence au point de me causer une migraine passagère. Un fantôme idéologique qui me hante et me rappelle avec brutalité que tout commence par une femme, se poursuit pour une femme et s’achève aussi par elle. Je fais un rapide bilan de ma vie et je me rend compte que celle-ci se résume à une course de collectionneur d’objets coutumiers pour qui un seul trophée ne suffit plus.
Finalement, je décide de faire demi-tour pour aller m’allonger sur mon canapé dans le salon sombre. Je me délecte un peu de cette position le temps d’un profond soupire puis j’allume ma télévision sur une émission aussi débile que son invité politique.
Une idée me vient…aller poster ce que je viens de pondre dans une rubrique de FA pus lire quelques postes qui pourront peut être me faire connaître le chemin vers la tombe…
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