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Biadillah: Le Polisario "otages de l'Algérie"

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  • Biadillah: Le Polisario "otages de l'Algérie"

    Rabat- Le Polisario est un groupe de personnes "otages" de l'Algérie dont ils "servent les causes", a souligné M. Mohamed Cheikh Biadillah, Secrétaire général du parti Authenticité et Modernité (PAM) et Président de la Chambre des conseillers.




    "Ce sont des personnes qui, à l'époque, avaient des idéaux mais les choses ayant changé, il faut maintenant qu'ils réfléchissent et qu'ils reprennent l'envers de la thèse qu'ils avaient développée", a affirmé M. Biadillah qui était l'invité de Hamid Berrada dans l'émission "Mais encore" diffusée, lundi soir, sur la deuxième chaine 2M.
    Natif de Smara, M. Biadillah qui a été mêlé de près à la naissance du "Polisario" et considère que sa "Sahraouité est dissoute dans (ma) marocanité", a ajouté qu'il parle du "Polisario" "avec une certaine tristesse", parce que ses dirigeants étaient ses "amis à Rabat".
    "Ce sont des Marocains dont les parents étaient dans l'armée de libération et ils le savent pertinemment bien", a-t-il dit, donnant l'exemple du père du chef du "Polisario" Mohammed Abdelaziz, qui, a-t-il dit, est " un vétéran de l'armée de libération marocaine".
    S'agissant du ralliement au Maroc d'un grand nombre de sahraouis de Tindouf, M. Biadillah a souligné que c'est une "hémorragie terrible" pour le "Polisario", estimant que leur nombre "entre 6.000 et 7.000", "un chiffre énorme", à ses yeux, surtout qu'il concerne des cadres supérieurs du "Polisario" c'est-à dire, "des cadres qui avaient théorisé et qui avaient un rayonnement".
    Abordant le nombre de la population de Tindouf, que le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) n'a pas été autorisé à la recenser par l'Algérie et le "Polisario", M. Biadillah a indiqué qu'elle représente "le tiers de la population du Sahara, c'est-à-dire entre 30.000 et 50.000".
    M. Biadillah a également souligné que la régionalisation va impulser la démocratie, notant que la question du Sahara "va être réglée grâce à la régionalisation élargie".
    "La régionalisation est l'apogée d'un processus de réforme qu'a connu le Maroc depuis 10 ans", a-t-il soutenu, soulignant que ce chantier, impulsé par SM le Roi Mohammed VI, "est la réponse à ce monde multipolaire et l'espoir des nouvelles générations qui ont besoin de participer à la gestion des affaires de l'Etat".
    map

  • #2
    Que voulez vous qu'ils raconte, autrement c'est la disgrace.
    En plus c'est le responsable du PAm;
    C'est comme si Belkhadem le responsable du FLN fait une declaration chantant les bienfaits qu'apporte boutef à l'Algérie.

    C'est 0+0+0 =
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #3
      À part parler bien sûr la réalité du sahara, comme étant du Smara,
      la PAM est une ramassis d'arrivistes qui lèchent la main d'Alhimma le prochain 1er ministre en 2012.
      Il n'a pas osé dire que c'est lui le chef de la PAM.
      La haine aveugle

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      • #4
        En plus c'est le responsable du PAm;
        ca n'empeche que c'est un ancien polisarien,et c'est un homme sage , il sait de quoi il parle,

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        • #5
          "ca n'empeche que c'est un ancien polisarien,et c'est un homme sage , il sait de quoi il parle,"

          Oh, je n'en doute pas, mais quel a été son prix.
          Les traitres ça s'achéte .
          On a vu le dernier en date, entourée de"serveuses" .
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • #6
            Oh, je n'en doute pas, mais quel a été son prix.
            boucoup moins du prix qu'offre alger au autres marionnette
            Les traitres ça s'achéte .
            je te le fait pas dire , puisque vous êtes des experts



            Commentaire


            • #7
              traitre pour l'Algerie, y en a plein lhamdoulah
              La haine aveugle

              Commentaire


              • #8
                Biadillah n'a jamais ete dans le Polisario.
                SVP un peu de credibilite.

                Commentaire


                • #9
                  Biadillah n'a jamais ete dans le Polisario.
                  SVP un peu de credibilite.
                  c'est un ancien membre fondateur du polisario, voici une partie se son entretien avec jeuneafrique
                  Vous étiez parmi les étudiants qui, à Rabat, fin des années 1960-début des années 1970, ont jeté les bases de ce qui allait devenir le Polisario…
                  Au départ, nous avons formé un groupe qui s’appelait le Mouvement embryonnaire pour la libération du Sahara, et c’est moi, étudiant en médecine, qui avais suggéré d’introduire le qualificatif « embryonnaire » pour marquer que nous n’étions qu’au début et que notre action devait se développer. Il faut rappeler que l’objectif que nous nous assignions, « la libération du Sahara », ne signifiait nullement l’indépendance. L’intégration du « Sahara espagnol » au Maroc allait de soi. Le Sahara devait rejoindre le royaume comme l’avaient déjà rejoint les autres zones du Sud occupées par l’Espagne : Tarfaya en 1958 ou Sidi Ifni en 1969. L’expression « libération du Sahara » n’était pas entachée de la suspicion et de l’ambiguïté, qui ne sont apparues qu’à partir de 1975.
                  Donc, c’était à Rabat en 1969. Il y avait Omar Hadrami [qui s’appelait encore Mohamed Ali Al Adhmi, l’un des principaux dirigeants du Polisario, qui se ralliera au Maroc à la fin de 1980], Mustapha Sayed El Ouali [le premier chef du Polisario, mort au combat en Mauritanie en 1976], Ma’laïnine Ma’laïnine [qui siège au Corcas, le Conseil royal consultatif des affaires sahariennes] et moi-même. En 1972, El Ouali sort du Maroc et fait un périple qui le conduit en Europe, en Algérie et en Libye. Le royaume vivait entre deux tentatives de coup d’État : Skhirat en juillet 1971 et l’attentat du Boeing royal en août 1972. Une manifestation organisée à notre initiative en juin 1972 à Tan Tan, dans le Sud, précipite les événements. El Ouali nous fait parvenir un message pour nous dire qu’il a des « informations stratégiques » à nous communiquer mais qu’il ne peut le faire qu’à l’extérieur. Parmi ceux qui ont reçu le message, Mohamed Salem Ould Salek [dirigeant du Polisario] et Mohamed Abdelaziz [son actuel chef] qu’on appelait à l’époque Mohamed Reguibi, alias H’Medtou. Je suis sorti clandestinement à travers le Sahara et la Mauritanie, où j’ai été arrêté en mars 1973. J’ai retrouvé en prison, à Bir Moghrein, Omar et Abdelaziz. C’est là que j’ai appris les événements de Dar Bouazza [tentative d’implantation de maquis par le Fqih Mohamed Basri]. Libéré après dix jours, je n’ai pas revu El Ouali. Auprès des autres, j’ai défendu l’idée de revenir au Maroc. Ils ne m’ont pas écouté, convaincus qu’ils seraient liquidés à leur arrivée. El Ouali avait opté pour la révolution armée, qui, disait-il alors, devait embraser toute la région.
                  Je suis rentré par Laayoune, où j’ai été interpellé par l’armée espagnole, qui m’a livré aux autorités marocaines. Après quelques péripéties pénibles, j’ai été libéré.
                  Vous avez un frère au Polisario…
                  Pas un, trois ! Notre famille a été déchiquetée par le conflit du Sahara. L’aîné, Mohamed, vit en Mauritanie. Un autre, Hassan, a représenté le Polisario à Madagascar avant de s’installer en Espagne. Brahim est le chef de la 2e région militaire et siège au bureau politique du Polisario. J’ai un quatrième frère, Daha, qui a fait des études à Cuba et enseigne aujourd’hui à Tindouf.
                  Vous gardez des relations avec vos frères Polisario ?
                  J’ai eu l’occasion de les voir pendant le « processus d’identification » du corps électoral organisé par l’ONU en vue du référendum qui s’est déroulé entre 1994 et 1998 à Tindouf. Je représentais le Maroc et eux étaient de l’autre côté.
                  Vous avez parlé avec Brahim ?
                  Pas vraiment. Mais j’ai soigné ses filles – mes nièces. L’histoire de notre famille est très douloureuse.

                  Commentaire


                  • #10
                    http://www.telquel-online.com/396/actu_maroc2_396.shtml

                    Profil. Docteur Mohamed Cheikh et Mister Biadillah


                    Mohamed Cheikh Biadillah, du Polisario au secrétariat général du PAM et, désormais, au perchoir de la deuxième chambre. ( DR/TNIOUNI)

                    Ancien compagnon de Mohamed Abdelaziz, longtemps chirurgien, ex-wali et ministre de la Santé, le numéro 1 du PAM, Mohamed Cheikh Biadillah, vient d’être porté à la tête de la deuxième chambre du parlement. En attendant de devenir, un jour, Premier ministre ?


                    L’année 2009 est faste pour Mohamed Cheikh Biadillah. En février, et contre toute attente, il est élu secrétaire général du Parti authenticité et modernité (PAM). Le roi le reçoit alors pour le féliciter. “A ma demande, après un appel téléphonique de Sa Majesté”, précise-t-il, probablement pour éviter que le geste de Mohammed VI ne soit interprété comme une faveur accordée au parti de Fouad Ali El Himma. En juin, il se présente aux communales, dans son fief à Smara. Et gagne. En octobre, il surprend encore en se faisant élire président de la Chambre des conseillers, poste qui semblait pourtant promis à un candidat RNI. Il est de nouveau reçu par le roi, juste avant un Conseil des ministres. Mais qui est donc cet homme dont l’étoile n’a pas fini de monter dans le ciel de la politique marocaine ?

                    De Tindouf à Casablanca

                    Biadillah est originaire de la tribu des Rguibate, la même dont est issu un certain Mohamed Rguibi, plus connu sous le nom de Mohamed Abdelaziz, actuel chef du Polisario. A la fin des années 1960, les deux hommes, rejoints par un groupe d’étudiants sahraouis de Rabat, lancent le “Mouvement” qui allait devenir quelques années plus tard le Polisario.
                    “Dès le début, je me suis opposé à l’idée de l’indépendance du Sahara”, explique toutefois le jeune homme, qui finit par claquer rapidement la porte. Il tente alors de rallier le Maroc mais se fait arrêter à la frontière mauritanienne et séjourne quelque temps en prison, avant d’être livré aux autorités (coloniales) espagnoles qui le transfèrent à leur tour au Maroc. Libéré, il peut reprendre son internat à la faculté de médecine de Casablanca. Nous sommes dans les années 1970 et Biadillah est parti pour devenir un brillant médecin chirurgien.

                    “Fils d’un grand alem nationaliste, il a vite compris que l’aventure du séparatisme ne mènerait nulle part”, dit de lui une vieille connaissance. Le jeune homme a basculé très vite pour choisir définitivement son camp : le Maroc. A l’inverse d’une bonne partie de son clan. Son cadet, Brahim Ahmed, est resté fidèle au Polisario. Hassan, un autre de ses frères, a longtemps représenté le Polisario à Madagascar avant de s’installer en Espagne. Daha, lui aussi membre de la fratrie, a étudié à Cuba et enseigne aujourd’hui à Tindouf.

                    “Je n’aime pas regarder dans le rétroviseur, je n’aime pas parler de ces choses, elles me font mal. A moi comme à ma famille”, explique notre homme. Les dernières rencontres avec ses frères remontent au milieu des années 1990. A cette époque, le Maroc et le Polisario sont engagés dans un processus d’identification du corps électoral, étape préalable à un référendum qui n’aura jamais lieu finalement. Mohamed Biadillah y représentait alors le Maroc, son frère Brahim négociait pour le compte du Polisario…

                    Un docteur au service du PAM

                    C’est en 1977 que Biadillah a effectué son entrée au parlement, en tant que député de Smara. Il est élu, dans la foulée, président de la commission des Affaires étrangères, de la coopération, des frontières, des zones occupées et de la défense. Pour la petite histoire, c’est un certain Fouad Ali El Himma qui occupera le même poste 30 ans plus tard, en 2007.

                    Dans le privé, le citoyen Biadillah a emprunté la même courbe ascendante : doctorat en 1979 et agrégation en 1987. Comme le rappelle l’un de ses proches, il se targue de figurer parmi les “tout premiers médecins et enseignants en médecine d’origine sahraouie”. Le docteur Biadillah a d’ailleurs longtemps exercé à Casablanca, au Centre hospitalier Ibn Rochd.

                    Mais c’est en politique, évidemment, que son ascension a été la plus spectaculaire. Après deux mandats de parlementaire, le député de Smara a embrassé une longue et fructueuse carrière au ministère de l’Intérieur. “Il a été récompensé pour son acharnement à défendre le Maroc sur la scène internationale et notamment auprès des Nations Unies”, analyse un ancien cadre de l’Intérieur. De 1992 à 1998, Biadillah hérite du poste de gouverneur de Salé, puis wali de Doukkala-Abda. En 2002, il est nommé ministre de la Santé dans le gouvernement Jettou, et en profite pour lancer, enfin, la fameuse AMO (Assurance maladie obligatoire).

                    Quand il quitte le gouvernement en 2007, Biadillah retombe dans un relatif anonymat dont il émerge, une année plus tard, avec le MTD (Mouvement pour tous les démocrates) qui donnera naissance, bien entendu, au PAM. L’ancien ministre est alors aux premières loges, au point de finir par devenir secrétaire général du parti de Si Fouad.

                    A l’ombre d’El Himma

                    Question : que pèse réellement Biadillah face à El Himma, dont il est théoriquement le supérieur hiérarchique ? “Nos relations sont excellentes et je ne suis l’esclave de personne”, coupe l’intéressé. Ses compagnons au PAM ne disent pas autre chose : “C’est un homme de dialogue et de consensus mais il n’aime pas se faire marcher sur les pieds. Il fait en sorte de mettre tout le monde d’accord, de préserver les équilibres. Il fait preuve de beaucoup de tact, surtout envers les femmes”.

                    Homme de consensus, donc. Et de tradition. “Mes convictions et ma formation font que je suis conservateur, mais je suis ouvert aux valeurs universelles qui ne mettent pas en péril mon identité”, nous explique l’homme, qui se fend régulièrement de violentes tribunes pour défendre, par voie de presse, ce qu’il appelle “les constantes sacrées de la nation” : comprenez la monarchie, l’islam, l’intégrité territoriale. Biadillah est allé jusqu’à dénoncer, dans le même élan, “le complot” (ourdi, selon lui, par une partie de la presse indépendante, les dé-jeûneurs du MALI, etc). On peut qualifier cela de “téléphoné”, lui s’en défend bien sûr : “Le Maroc est un laboratoire de mutations, mais il a besoin de quelques liens solides, comme les valeurs familiales et la cohésion sociale”. Au PAM, comme ailleurs, ces sorties figurent parmi les rares points qui n’emportent pas l’adhésion générale.

                    Pronostic. Un Sahraoui à la primature ?

                    Au rythme où vont les choses, avec un rouleau compresseur comme le PAM, qui a tout gagné partout où il est passé (communales, régionales, deuxième chambre), le chemin semble balisé pour le parti de Biadillah et El Himma pour 2012. Il suffirait (un jeu d’enfant, ou presque) que le PAM gagne les prochaines législatives pour que Biadillah, numéro 1 du parti, se retrouve Premier ministre au nom de la logique démocratique. Pour cela, évidemment, Mohamed Cheikh Biadillah a besoin de rester à la tête du PAM. Ce qui est possible à condition qu’un éventuel deuxième congrès du PAM (le 1er s’est tenu en février 2009) le reconduise à la tête du parti. D’ici 2012, donc, ce serviteur de l’Etat aura le temps de faire ses preuves à l’un des postes-clés du royaume : la présidence de la Chambre des conseillers, qu’il occupe depuis trois semaines.

                    Commentaire


                    • #11
                      ils sont forts au PAM et ce biadtrucmuche aussi

                      voila comment ils ont commencé attaquer Aminatou.

                      on connait la suite

                      __________________________________________________ _________________

                      Le PAM dénonce les propos de la dénommée Aminatou Haidar
                      Publié le 15/11/2009 à 18:58:34 GMT


                      Le Parti Authenticité et Modernité (PAM) a dénoncé énergiquement, samedi à Tanger, les propos "ennemis et séparatistes" de la dénommée Aminatou Haidar.
                      Lors d?une rencontre de communication avec les élus du parti dans la région de Tanger-Tétouan, la direction du PAM a dénoncé les propos "provocateurs" et offensant le sentiment patriotique des Marocains, de la dénommée Aminatou Haidar soutenue en cela par des parties étrangères.
                      Pour sa part, le secrétaire général du parti, M. Mohamed Cheikh Biadillah, a indiqué que le PAM est indigné par l?exploitation par certaines parties du climat de liberté qui prévaut sous le règne de SM le Roi Mohammed VI à des fins hostiles à l?intégrité territoriale, qualifiant ces agissements de "haute trahison" au moment ou l?ensemble des Marocains sont unis derrière SM le Roi Mohammed VI pour défendre l?intégrité et la souveraineté du Maroc.
                      La dénommée Aminatou Haidar, a-t-il poursuivi, profite de ce climat de liberté et voyage avec un passeport et des fonds marocains, tout en s?obstinant à ne pas reconnaître les procédures des autorités marocaines sur les frontières.
                      De son côté, M. Fouad Ali El Himma, membre du bureau national du PAM, a dénoncé les harcèlements de certains individus qui font appel au soutien de parties étrangères allant ainsi à l?encontre de l?esprit de citoyenneté et du dialogue politique prévalant au Maroc.
                      Les élus du parti dans la région ont également appelé, dans un communiqué rendu public à l?issue de cette rencontre, à l?application stricte des dispositions juridiques garantissant l?intégrité de la patrie et sa souveraineté, à l?encontre de la dénommé Aminatou Haidar.
                      D?autre part, la direction du PAM a insisté sur la dynamique créée par le parti sur la scène politique ce qui lui a permis d?occuper les premières places lors des différentes échéances électorales passées.
                      Dans ce cadre, M. Biadillah a souligné la nécessité d?agir, dans un futur proche, pour la préservation de ces résultats à travers la mise en place d?une organisation efficace au niveau national et local, et de réfléchir à créer des organisations parallèles (les secteurs des jeunes et des femmes), après avoir mis en place 4 commissions pour aider le parti à gérer ses structures et accompagner ses élus.
                      Dans ce cadre, M. El Himma a souligné que le parti a de nombreuses responsabilités en tant que première force politique du pays, assurant que cette formation joue un rôle d?avant garde dans la dynamisation du paysage politique et la lutte contre la corruption.
                      Grâce au PAM, a-t-il dit, plusieurs pôles ont apparu permettant à 9 partis grands et moyens, de maîtriser environ 90 pc des composantes du paysage politique marocain, ce qui en fait un levier important dans la construction d?un paysage politique clair au service du projet sociétal auquel a adhéré le Maroc.
                      MAP : 15.11.2009 -
                      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                      • #12
                        je me demande comment le pauvre polisario va faire pour parler au nom des sahraoui devant un premier ministre sahraoui aussi.

                        comment tu peus parler des sahraouis alors que tu representes meme pas ta famille qui vie a casablanca rabat et bni melal. de toutes facon c'est rare quand un maskhoute lwalidine gagne dans la vie.

                        vraiment c'est domage ce que fait l'algerie a ma famille et les gens de ma tribut .

                        d3itkoum lillah.

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                        • #13
                          A partir du moment ou l'Algerie refuse le recencement des sahraouis, et donc une etape de la resolution du conflit, le qualificatif de prise d'otage est legitime.
                          "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                          • #14
                            BI YADI ALLAH? ce ancien ministre de la santé a ce moment les marocains disaient : la santé au maroc est entre la main de dieu," saha f elmaghrib bi yadi allah"
                            ca veut dire si tu tombe malade compte sur allah w tleb chfa men aando , au maroc makayen ni santé ni ministre de de la santé
                            المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

                            Commentaire


                            • #15
                              l'émission est maintenant sur 2M monde nilesat
                              .
                              .
                              ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                              Napoléon III

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