Le général Nezzar a déclaré, lors d’une conférence de presse, avant-hier, que le président de la république Abdel Aziz Bouteflika devait exploiter la victoire sportive sur l’Egypte, pour améliorer ses relations avec la jeunesse algérienne et ce, en trouvant des solutions pour réduire le taux de chômage et de « Harga » et d’accorder au peuple algérien plus de liberté d’expression.
M Nezzar n’a pas omis l’idée que le sport peut être une carte électorale pour Bouteflika, « je pense que les chances du président ont augmenté de 40%, parce qu’il était derrière la victoire de l’EN, en envoyant 13000 supporters au Soudan, mais il doit accompagner cette politique par une autre qui pourrait rééquilibrer la société algérienne », insistant sur le fait que les algériens était solides de nature mais qu’ils avaient juste besoin d’être orientés.
Il a, par ailleurs, reconnu que l’atteinte des égyptiens aux symboles nationaux a accéléré la parution de son sixième livre « pour préciser certains événements historiques », soulignant que « la nouvelle génération égyptienne n’a aucune idée de la présence d’algériens et de leurs participation à la guerre de 67 et celle de 73 et ce, malgré le fait que nous ayons perdu 3500 hommes et que nous avons fourni tout le matériel de guerre en notre possession, à l’époque, sans parler de notre participation financière »
Le général pense, après relecture de la période 67-73 que les arabes n’ont jamais remporté de victoire, puisqu’ils n’ont pas atteint leur principal objectif, c’est-à-dire, Israël, déclarant « je peux dire, avec le recul que la guerre de 73 a éclaté prématurément, le manque d’expérience et de formation a desservi les égyptiens, sans parler du fossé séparant le simple militaire et l’état-major ». Evoquant dans le même contexte, la guerre du Liban 2006, en précisant que « si les arabes veulent s’organiser, ils doivent prendre exemple sur le Hezbollah dont les méthodes de résistance ressemblent à celles du FLN, pendant la guerre. A ce moment là, nous pourrons parler d’armée arabe unifiée ».
Elkhabar.
M Nezzar n’a pas omis l’idée que le sport peut être une carte électorale pour Bouteflika, « je pense que les chances du président ont augmenté de 40%, parce qu’il était derrière la victoire de l’EN, en envoyant 13000 supporters au Soudan, mais il doit accompagner cette politique par une autre qui pourrait rééquilibrer la société algérienne », insistant sur le fait que les algériens était solides de nature mais qu’ils avaient juste besoin d’être orientés.
Il a, par ailleurs, reconnu que l’atteinte des égyptiens aux symboles nationaux a accéléré la parution de son sixième livre « pour préciser certains événements historiques », soulignant que « la nouvelle génération égyptienne n’a aucune idée de la présence d’algériens et de leurs participation à la guerre de 67 et celle de 73 et ce, malgré le fait que nous ayons perdu 3500 hommes et que nous avons fourni tout le matériel de guerre en notre possession, à l’époque, sans parler de notre participation financière »
Le général pense, après relecture de la période 67-73 que les arabes n’ont jamais remporté de victoire, puisqu’ils n’ont pas atteint leur principal objectif, c’est-à-dire, Israël, déclarant « je peux dire, avec le recul que la guerre de 73 a éclaté prématurément, le manque d’expérience et de formation a desservi les égyptiens, sans parler du fossé séparant le simple militaire et l’état-major ». Evoquant dans le même contexte, la guerre du Liban 2006, en précisant que « si les arabes veulent s’organiser, ils doivent prendre exemple sur le Hezbollah dont les méthodes de résistance ressemblent à celles du FLN, pendant la guerre. A ce moment là, nous pourrons parler d’armée arabe unifiée ».
Elkhabar.
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