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“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
Je t'en prie Atri N'Assouf signifie "étoile du désert"
J'adore le clip il est SUBLIME
Sur la vidéo apparait Maassa du groupe TARTIT (L'union) un groupe du Mali
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“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
"étoile du désert" c'est Beau...thank's pour la traduction miss
j'aime bien le clip, leur façon de danser, j'aime aussi, le look des femmes, surtout le foulard qu'elle mettent sur leur tête c'est original, c'est beau...
Le souvenir c'est ce qu'il reste de mémoire à l'oubli
Que je te comprends, ce travail est Magnifique clip + musique.
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“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
C'est un groupe Touareg, nomade d'essence . Ils ne se présentent pas sous l'égide d'un État-Nation. Ils passent aisément de l'Algérie, au Niger, en faisant un détour par le Niger mais aussi bien le Mali sans oublier la Libye.
17-01-2010. LA TRIBUNE.
(Au-delà des retards et des soucis techniques avant le concert)...Le groupe Atri N’assouf a relevé le défi d’enflammer la piste de la scène qui a été dressée en plein air à proximité de la maison de la culture de la wilaya de Tamanrasset. Ce groupe, qui se produit pour la première fois en Algérie, est né il y a une année lors d’une rencontre musicale ayant réuni Rissa et Plume. Ces deux musiciens se découvrent des influences communes. Conscients de l’importance d’une telle complicité musicale, ils décident de monter le groupe et le baptise Atri N’assouf, qui veut dire «étoile du désert» en tamacheq.
L’aventure commence pour les «Atri», qui, armés de leurs instruments, se battent pour faire valoir leur art. Ils développent un son original qui rassemble diverses sonorités. Entre blues, rock et musique targuie, le cœur des Atri ne balance pas, mais se balade.
Pourquoi s’en priver quand on a grand plaisir à croiser des musiques venues de différents horizons dans un creuset culturel du pays ? C’est sur les coups de 18 h que Plume, Rissa, Ahmed et le bassiste rejoignent la scène pour des moments de pure joie. Le public..(Le public, jusque-là réticent), commence à affluer vers la scène pour enfin se libérer et se laisser aller sur une musique qu’il reconnaît. C’est sa musique. Preuve que la fusion n’a pas sacrifié l’authenticité. Un groupe de jeunes choristes venues du Niger ajouteront une touche d’authenticité. Quelques riffs endiablés, une envolée de blues très vite effacée par un concentré de musique festive.
C’est à croire que le groupe joue avec son public et l’entraîne dans son voyage musical. Une manière particulière et sincère de partager. Et pour couronner le tout, les talentueux musiciens ont véritablement l’esprit artiste. Le talent, le succès ou les compliments ne sont pas monnayés. Ces artistes demeurent d’une modestie parfois agaçante.
«Le groupe existe seulement depuis une année, nous sommes à un stade embryonnaire, nous ne sommes que des musiciens comme d’autres qui sont peut-être plus talentueux mais on aime bien faire de la musique», déclare le bassiste en ajoutant : «Le seul secret pour percer dans le domaine, il faut jouer, faire des scènes et aller vers le public.»
Ils nous feront découvrir des extraits de leur premier album Akal pour lequel ils ont fait appel à plusieurs collaborations, dont "Abdallah el Housseyni" de Tinariwen (elle avait mis: dont Ibrahim Ag Lahbib) et j'ai corrigé entre") et les chanteuses du groupe Tartit.
L’ambiance est à son summum, les gens continuent à danser, subjugués par le charme de cette formation. A quelques mètres de la scène, à l’entrée de la maison de la culture, un atelier de peinture se tient durant le festival afin de permettre aux gens de s’initier à cet art et, pourquoi pas, s’y mettre. Entre concert de musique africaine et peinture en plein air, cet espace souvent négligé est devenu, le temps d’un événement, le cœur battant de la ville, irrigué, qui plus est, par la culture.
“La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf
Malheuresement, beaucoup de touareg se sont sédentarisés aujourd'hui.
Et ceux qui sont encore nomades, ne le sont que dans le cercle fermé de leur pays.
C'est dommage, les frontieres sont devenus des prisons pour les gens épris de libérté.
Les touareg sont aussi présents au Burkina Faso et au Nigeria.
Rhissa a vraiment une belle voix, c'est la vie qui forge les gens, parti du Niger de la ville d'Arlit plus precisement, il s'est exilé dans les années 90 en Algerie, puis en Lybie, fuiyant probablement la misére et la guerre.
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