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la montée de l'islam en Europe

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  • la montée de l'islam en Europe

    les europeens ont accepter les musulmans en pensant les rendres tous athes ou chretien ou autres religion sauf l'islam
    l'islam fait peur c'est pour cela qu'on parle de fanatique musulman(des assassins)
    le nombre de converti a l'islam leur fait peur
    il pensait que le nombre de musulman aller diminuer ou disparaitre avec le temps,mais il s'est produit l'operation inverse ils voient l'europe majoritairement musulmane dans 20ans le preuve ils n'ont jamais voulu de la turkies dans l'europe a+

    ci joint l'enquete de l'express du 08/02/2006

    Enquête sur la montée de l'islam en Europe

    par Eric Conan, Christian Makarian

    Entre immigration et conversions, la religion musulmane fait de plus en plus d'adeptes sur le Vieux Continent. Pendant des décennies, la plupart des pays ont compté sur leur force d'attraction et d'intégration pour que ces nouveaux fidèles se fondent dans leurs modèles. Ils s'aperçoivent aujourd'hui que certaines revendications remettent en question leurs propres valeurs. En France et chez ses voisins, analyse d'une confrontation qui bouleverse nombre d' idées reçues
    Si l'on cite et récite une prédiction qu'André Malraux n'a jamais écrite - «Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas» - une autre de ses prophéties semble moins connue: «C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles.» Dès 1956, à l'orée de la décolonisation, le grand visionnaire avait ainsi balayé l'horizon, ajoutant que «les formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe», que «l'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce phénomène» et que «le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème».
    Cette prescience politique pourrait nous inviter à considérer avec un peu d'inquiétude une autre de ses formules, énoncée lors de la campagne présidentielle de 1974: «Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, mais le seul ennemi commun qui pourrait exister serait l'islam.» L'actualité européenne de ces derniers mois donne en effet l'impression que dans la plupart des pays membres l'islam est devenu sinon un ennemi, du moins un problème commun (lire les reportages en Allemagne, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas et au Danemark). D'un seul coup, cet espace de tolérance ne supporte plus ce qu'il acceptait il y a encore peu. La Grande-Bretagne, qui a perdu son flegme, ne veut plus qu'on brûle les livres de Salman Rushdie à Bradford, l'Allemagne s'inquiète soudain des prières installées de longue date dans les jardins publics de Mannheim, l'Espagne se met à condamner des imams qui s'inspirent de trop près du Coran. Partout semble décrétée «la fin de la dictature de l'euphémisme», selon la formule du ministre français de l'Intérieur annonçant que nous sommes «en guerre» contre le «djihadisme global».
    Une présence inégale
    Deux événements ont précipité ce changement de climat: les massacres perpétrés au cœur du Vieux Continent par des tueurs se réclamant de l'islam et les débats sur l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne avec l'impression mitigée produite par un Premier ministre turc expliquant qu'il regrettait que ses deux filles ne puissent étudier à l'université d'Istanbul parce qu'elles étaient voilées.

    la suite le dossier de l'express lien:
    http://www.lexpress.fr/info/monde/do...asp?ida=436706
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