Firminy, Haute-Loire. La boulangerie Saint-Honoré de la rue Verdié. Samedi, vers midi, un homme avec une écharpe autour de la tête entre dans le magasin… Il ne voit pas la vendeuse immédiatement… Elle est accroupie, en train de nettoyer, derrière le comptoir… Lorsqu’elle se relève, il sort un couteau d’un sac et lui dit : « Donne-moi la caisse et ne crie pas ! »… Alors, elle ne s’exécute pas… et se met à crier en vue d’alerter sa patronne qui se tient dans l’arrière boutique… indique Le Progrès. Mais, voyant la vendeuse apeurée, le braqueur s’écrit : « Je suis désolé » et s’enfuit, raconte Le Progrès.
La patronne crie après lui dans la rue et prévient la police « qu’elle va le voir passer… ». Elle l’a vu partir vers le parc Vincent-Brunon… près du commissariat… C’est un homme grand avec un pantalon de sport et un coupe-vent noir, décrit-elle.
Cette tentative de braquage rappelle étrangement, celles survenues dans une autre boulangerie et dans un tabac presse, le mardi précédent. A la seule vue du boulanger (un costaud), le braqueur avait eu peur et s’était enfui aussi…
Finalement, les commerçants, même s’ils ne le croient pas très dangereux, s’interrogent sur ce qui peut pousser cet individu à commettre ces actes ? Se demandant même s’il ne serait pas « aux abois financièrement où, s’il ne serait pas poussé par un entourage malfaisant, toujours d’après Le Progrès.
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La patronne crie après lui dans la rue et prévient la police « qu’elle va le voir passer… ». Elle l’a vu partir vers le parc Vincent-Brunon… près du commissariat… C’est un homme grand avec un pantalon de sport et un coupe-vent noir, décrit-elle.
Cette tentative de braquage rappelle étrangement, celles survenues dans une autre boulangerie et dans un tabac presse, le mardi précédent. A la seule vue du boulanger (un costaud), le braqueur avait eu peur et s’était enfui aussi…
Finalement, les commerçants, même s’ils ne le croient pas très dangereux, s’interrogent sur ce qui peut pousser cet individu à commettre ces actes ? Se demandant même s’il ne serait pas « aux abois financièrement où, s’il ne serait pas poussé par un entourage malfaisant, toujours d’après Le Progrès.
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