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    Recherche scientifique: L'Algérie, troisième en Afrique
    par Salah-Eddine K.
    Jeudi 20 mai 2010


    Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Rachid Haroubia a procédé, hier en présence de plusieurs membres du gouvernement, à l'installation au siège de son ministère des Commissions intersectorielles (CIS) chargées de la mise en œuvre des programmes nationaux de recherche scientifique.

    C'est le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique qui parlera du rôle de ces commissions et de leur responsabilité dans la gestion des 34 programmes nationaux dont le coup d'envoi a été donné hier.

    3000 projets seront lancés dans le cadre de ces programmes pour répondre aux besoins économiques et sociaux de divers secteurs mais aussi du citoyen. Productivité de l'agriculture, traitement des maladies graves et transmissibles, énergie renouvelable, promotion des logiciels à valeur ajoutée, renforcement des sciences sociales et humaines, recherche sur l'amélioration des conditions de vie du citoyen, promotion de la recherche fondamentale, protection contre les risques majeurs et changement climatique…. figurent parmi d'autres dans la liste des programmes nationaux des recherches. Les chercheurs, indique l'intervenant, seront récompensés selon leur mérite individuel.

    Hafid Aourag, a affirmé que «notre pays est encore loin des normes en matière de ressource humaine dans le domaine de la recherche scientifique.» Selon lui, l'on compte seulement 600 chercheurs pour 1 million d'habitants. La norme universelle est actuellement à 2000 chercheurs par 1 million d'habitants. «Des pays comme le Japon sont à 5 600 chercheurs par million d'habitants, la France est à 4 300», ajoute-t-il. Pour atteindre la norme universelle de 2000 chercheurs/ 1 million, «nous devrions avoir en 2020 le nombre de 68 000 chercheurs», dira-t-il encore. Il précise qu'actuellement, 17 000 sont dans l'enseignement et dans la recherche en même temps alors que ceux qui s'adonnent uniquement à la recherche sont au nombre de 1900.

    Mais selon M.Aourag, en dépit du déficit en chercheurs, «notre pays se classe honorablement en Afrique». Ce classement, précise-t-il, est établi par des organismes onusiens selon des indices reconnus. La courbe de croissance dans la recherche est, selon lui, en progression puisque notre pays se classe en 3ème position après l'Afrique du Sud et l'Egypte dans 5 disciplines que sont la physique, chimie, informatique, science des matériaux et mathématiques. «Notre pays occupait la 8ème place dans le dernier classement», rappelle-t-il.

  • #2
    3eme en 5 desciplines sur 21 vaut pas dire 3eme en Afrique ?!!!!!
    le titre est une arnaque
    08/05/2010
    Recherche scientifique : l'Afrique à la traine !


    Environ 27 600 études publiées en dix ans par les universités africaines. Six pays de l’Afrique du Nord font plus que 30 pays de l’Afrique centrale. Championne du continent, l’Afrique du Sud dépasse largement l’Egypte et le Nigeria.
    L’Afrique du Sud, l’Egypte et le Nigeria sont les pays africains qui ont publié le plus de recherches scientifiques dans les revues spécialisées, indique un rapport de Thomson Reuter paru à la mi-avril. Selon ce document, l’Afrique centrale qui compte 30 pays, s’étendant de la ligne saharienne aux limites de l’Afrique australe, n’a publié que 7 100 recherches en dix ans. Bien loin des 6 pays de l’Afrique du Nord qui ont publiés 10 500 recherches sur la période. Pour leur part, les 14 pays de l’Afrique australe ont publié 10 000 recherches scientifiques.
    En tout, le continent a publié 27 600 recherches, soit le même score que la petite Hollande (27 000 études).
    Ce bilan de Thomson Reuters prend en compte les publications scientifiques dans 21 disciplines couvrant tous les domaines de la science, de l’agriculture, de l’environnement, de la pharmacie et de l’espace. L’Afrique du Sud remporte la première place dans 15 disciplines, l’Egypte en gagne deux (Chimie et ingénierie) et le Nigeria, une (agronomie). Le spécialiste canadien conclut sur une note positive, mettant en exergue une avancée incontestable de l’Afrique. Par exemple, le score global de l’Afrique du Sud (1,55) dépasse celui de la Russie (1,17 points), mais reste loin de la Chine (5,42 points).
    Portion congrue pour les pays francophones
    Seuls deux pays francophones figurent dans ce classement. Il s’agit du Maroc et de la Tunisie qui décrochent deux accessits. Le Maroc est classé deuxième en mathématiques et son voisin, deuxième dans les matériaux. Ce classement qui prend en compte les publications parues dans les revues scientifiques reste l’un des indicateurs de performances des 225 universités répertoriées sur le continent.
    anr.typepad*******
    Dernière modification par Nourman, 21 mai 2010, 18h48.

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    • #3
      Jawzia
      Recherche scientifique: L'Algérie, troisième en Afrique
      _______________________________

      Franchement, a quoi ca servit dans le cas de l'Algérie d'être 3 éme en Afrique, en Recherche scientifique...!!
      Est ce qu'il y avait des retombées réel sur le terain!!!!

      Commentaire


      • #4
        Franchement, a quoi ca servit dans le cas de l'Algérie d'être 3 éme en Afrique, en Recherche scientifique...!!
        Est ce qu'il y avait des retombées réel sur le terain!!!!
        Recherche scientifique.

        LASER / PHOTONIQUE.

        Projet NOUR 21

        - Alltech (Algerian Laser Technology) (voir page 27 revue el bahth)
        - Almatech (Algerian Materials Technology)
        - Alfatech (Algerian Fiber and Applications Technology).
        Etc..
        http://www.nour21.org/

        Algerie: Revue El Bahth
        http://www.bibsci.com/dgrsdt/elbahth...v_Mar_2010.pdf

        http://www.bibsci.com/

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        • #5
          L’Algérie demeure en retard dans la recherche scientifique avec seulement 600 chercheurs pour un million d’habitants.

          vendredi 21 mai 2010.

          L'Algérie en retard dans la recherche scientifique. Intervenant lors d’une rencontre organisée au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le directeur général de la recherche scientifique, Abdelhafid Ourad, a rappelé, pour sa part, que l’Algérie, avec un ratio de 600 chercheurs pour 1 million d’habitants est loin de répondre à la norme internationale qui est de 2 000 chercheurs, le Japon arrivant en tête avec 5 000 chercheurs pour 1 million d’habitants. « Actuellement, nous disposons de 17 000 chercheurs, au lieu de 60 000. Nous escomptons en avoir 68 000 en 2020 pour répondre aux normes universelles », a souligné l’intervenant, ajoutant toutefois qu’« en dépit du déficit en effectifs de chercheurs, les indicateurs sont positifs en Algérie ». Ce même responsable précisera que 12 comités sectoriels permanents seulement ont été installés à ce jour sur les 23 prévus. « Il faudrait mener une vaste campagne d’information pour sensibiliser les chercheurs. Et au regard du grand déficit en matière de développement technologique, il conviendrait de mettre en place des mécanismes permettant un transfert de technologies.

          En outre, les chercheurs doivent être rémunérés à leur juste valeur. Quant à leur évaluation, elle sera désormais individuelle », a longuement expliqué M. Ourad. Pour ce qui est du volet budget, il est de 3 millions de dinars par programme de recherche et peut atteindre les 10 millions si le projet est de première importance, a-t-il indiqué. Et d’ajouter que 5 milliards de dinars sont consacrés à tous les programmes de recherche en Algérie, tout en faisant savoir que les projets ne peuvent être acceptés que s’ils concernent un secteur économique. « Quand on donne plus de moyens aux chercheurs, les compétences explosent », a tenu à souligner l’intervenant. Pour sa part, Rachid Harraoubia a rappelé que les grandes orientations de la politique scientifique de l’Algérie pour les prochaines années sont identifiées dans la loi-programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique. Les domaines stratégiques à cibler, selon le ministre, sont relatifs à la promotion de la productivité agricole et aquacole en vue de préserver la sécurité alimentaire, avec une gestion rigoureuse des ressources en eau, la prévention et le traitement des maladies graves transmissibles à travers une amélioration de la couverture sanitaire et de la situation épidémiologique, ainsi que la production de médicaments à base de générique.

          Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
          D’après le Soir d’Algérie

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          • #6
            En Algérie, le taux d’analphabètes est passé de 85% en 1962 à 21,39% en 2005. Relevant que le colonialisme reste l'une "des causes directes" de l'analphabétisme en Algérie et dans le monde arabe, Mme Barki s'est félicitée du travail réalisé par son association consistant à instruire près de 570.000 personnes dont 474.689 femmes.

            "Comparativement aux pays arabes, l’Algérie se targue d’avoir réussi à réduire ce phénomène", précise Mme Barki. Selon elle, tous les pays arabes doivent s’unir pour l’élaboration d’une stratégie relative à la prise en charge des illettrés dans le monde arabe. Ceux-ci sont au nombre de 78 millions dont la majorité sont des femmes et 8 millions d’enfants.

            http://www.**************/revue-de-p...nde-arabe.html

            ---------------------------------

            a voir le chemin parcouru en deux generations seulement...

            je me rejouis que lon puisse a present polemiquer sur le nombre de chercheurs en algerie (post-doctorat) !!!

            cest tres encourageant

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            • #7
              L’Algérie demeure en retard dans la recherche scientifique avec seulement 600 chercheurs pour un million d’habitants.
              vis à vis
              Des pays comme le Japon sont à 5 600 chercheurs par million d'habitants, la France est à 4 300», ajoute-t-il.
              Le chemin est long
              Pour atteindre la norme universelle de 2000 chercheurs/ 1 million, «nous devrions avoir en 2020 le nombre de 68 000 chercheurs», dira-t-il encore. Il précise qu'actuellement, 17 000 sont dans l'enseignement et dans la recherche en même temps alors que ceux qui s'adonnent uniquement à la recherche sont au nombre de 1900.

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              • #8
                norme universelle de 2000 chercheurs/ 1 million
                -----------------------------------------

                universelle...qui donc atteint cette norme aujourdhui hors europ de louest, amerique du nord et japon...

                pas beaucoup de pays...voila qui met en prespective le mot universel

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                • #9
                  La recherche en Algérien n'attire pas, car les conditions mais surtout les salaires des chercheurs sont trop misérables et atteignent rarement les 400€/mois.

                  Par sa faible taille l'industrie algérienne n'est pas une industrie qui a besoin de la recherche.

                  Au niveau des classements mondiaux les universités algériennes sont mal classées. La plupart des chercheurs font de la recherche de seconde zone voir de troisiéme zone.

                  Cet article reprend juste la déclaration d'un ministre qui n'engage que lui même.

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                  • #10
                    La recherche en Algérien n'attire pas,
                    Je suis tenté d'arrêter la discussion à ce niveau parce que le "gap" est trop grand. Il faut un minimum de pré-requis pour aborder ce sujet !

                    Cet article reprend juste la déclaration d'un ministre qui n'engage que lui même.
                    Plutôt, celle du directeur de la recherche scientifique et du développement technologique. Un personnage dont tu n'as aucune idée sur sa crédibilité .... scientifique!

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                    • #11
                      Plutôt, celle du directeur de la recherche scientifique et du développement technologique. Un personnage dont tu n'as aucune idée sur sa crédibilité .... scientifique!
                      Jawzia ne joue pas au vierge effarouché je te dis face à toutes les satistiques l'université et la recherche algérienne n'a pas l'envergure que toi et tes articles lui prétendent.

                      Si tu as des données chiffrés comparatives et contradictoires CREDIBLES n'hésite pas une seconde.

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                      • #12
                        Gounalek : Pré-requis d'abord.

                        Gallou la recherche n'attire pas !!! La recherche c'est comme "El Hadj ce n'est pas fardh ... c'est liman Ista3a". Et ce n'est pas donné à tout le monde.

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                        • #13
                          Au secour quel niveau

                          Gounalek : Pré-requis d'abord.

                          Gallou la recherche n'attire pas !!! La recherche c'est comme "El Hadj ce n'est pas fardh ... c'est liman Ista3a". Et ce n'est pas donné à tout le monde.
                          Jawzia toi tu es la pour t'amuser.

                          Tu balances des propos que tu n'es même pas capable de prouver, aprés tu noyes la discution avec tes histoires de Hadj.... :22: :22: :22: Quel niveau, quel niveau, mon dieu !!!!

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                          • #14
                            vos universités ne sont pas bien lotie en afrique, je ne vois pas comment vous etes 3eme en afrique...mais bon c'est un article pour la conso locale...

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                            • #15
                              Mais selon M.Aourag, en dépit du déficit en chercheurs, «notre pays se classe honorablement en Afrique». Ce classement, précise-t-il, est établi par des organismes onusiens selon des indices reconnus. La courbe de croissance dans la recherche est, selon lui, en progression puisque notre pays se classe en 3ème position après l'Afrique du Sud et l'Egypte dans 5 disciplines que sont la physique, chimie, informatique, science des matériaux et mathématiques. «Notre pays occupait la 8ème place dans le dernier classement», rappelle-t-il.
                              Si tu as quelque chose qui contredit les propos "soulignés" du personnage marhba .... sinon adopte la devise des curés "que tu te taises à jamais" !

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